(…) Entre la Côte d’Ivoire et la France, où en est-on avec le dossier sur la révision des accords de défense ?
Le dossier est bouclé. Cela fait plus d’un mois que les dossiers ont été parafés à Abidjan. Ce projet d’accord a été validé par les deux parties et a fait l’objet d’un paraphe par le ministre des Affaires étrangères d’une part et l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, d’autre part. A présent, cet accord va être signé par les deux chefs d’Etat, la semaine prochaine, à Paris.
D’où le départ du chef de l’Etat à Paris?
Oui, c’est l’une des raisons. Sinon, il y a plusieurs volets. C’est une visite d’Etat. Nous sommes très heureux que nous débouchions 50 ans après sur un nouvel accord de partenariat qui ouvre d’autres perspectives à la coopération entre nos deux pays, dans une vision régionale.
Cet accord va voir le jour très bientôt, quelles sont les lignes qui ont été défendues par la Côte d’Ivoire ?
L’analyse de base qui a été faite, nous a permis d’aller très vite. D’abord, de grands principes de respect de la souveraineté des uns et des autres. Aussi, la vision stratégique d’intégrer d’autres nouvelles dimensions, d’autres nouvelles menaces. On parle de terrorisme, de piraterie, tout cela fait partie des nouvelles menaces. On parle de la formation, c’est très important. Nos hommes ont besoin d’être formés, avoir une école de renommée internationale à vocation régionale. Comme en Libye : c’est une avancée notable. Des gens qui ont pu se former des officiers. On a aussi des grandes écoles en Occident. Quand l’accord sera signé, on verra les détails. Pour le moment, on laisse la primeur au chef de l’Etat d’en parler.
Vous parlez de terrorisme, de nouvelles menaces. Est-ce que dans ces cas la France pourrait intervenir ?
Je n’en dis pas plus.
Propos par O.T sur Onuci-Fm
Le dossier est bouclé. Cela fait plus d’un mois que les dossiers ont été parafés à Abidjan. Ce projet d’accord a été validé par les deux parties et a fait l’objet d’un paraphe par le ministre des Affaires étrangères d’une part et l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, d’autre part. A présent, cet accord va être signé par les deux chefs d’Etat, la semaine prochaine, à Paris.
D’où le départ du chef de l’Etat à Paris?
Oui, c’est l’une des raisons. Sinon, il y a plusieurs volets. C’est une visite d’Etat. Nous sommes très heureux que nous débouchions 50 ans après sur un nouvel accord de partenariat qui ouvre d’autres perspectives à la coopération entre nos deux pays, dans une vision régionale.
Cet accord va voir le jour très bientôt, quelles sont les lignes qui ont été défendues par la Côte d’Ivoire ?
L’analyse de base qui a été faite, nous a permis d’aller très vite. D’abord, de grands principes de respect de la souveraineté des uns et des autres. Aussi, la vision stratégique d’intégrer d’autres nouvelles dimensions, d’autres nouvelles menaces. On parle de terrorisme, de piraterie, tout cela fait partie des nouvelles menaces. On parle de la formation, c’est très important. Nos hommes ont besoin d’être formés, avoir une école de renommée internationale à vocation régionale. Comme en Libye : c’est une avancée notable. Des gens qui ont pu se former des officiers. On a aussi des grandes écoles en Occident. Quand l’accord sera signé, on verra les détails. Pour le moment, on laisse la primeur au chef de l’Etat d’en parler.
Vous parlez de terrorisme, de nouvelles menaces. Est-ce que dans ces cas la France pourrait intervenir ?
Je n’en dis pas plus.
Propos par O.T sur Onuci-Fm