Depuis environ une semaine, un riche commerçant de Daoukro se trouve aux mains de ravisseurs à la BAE à Yopougon. Ces kidnappeurs réclament 1,5 million FCFA pour le relâcher.
Abébayor Ganiyu Arisekol vit des moments difficiles dans les geôles de la Brigade anti-émeute (Bae) d’Abidjan. Il a été enlevé par trois individus identifiés comme des éléments appartenant au Lt Koné Sampagno. Abébayor a été pris en otage dans la nuit du vendredi à samedi à Daoukro, à son domicile. Les ravisseurs sont arrivés chez le riche commerçant tard dans la nuit. Selon des témoins contactés sur place, ils ont commencé à tirer des coups de feu en air. L’homme ne se reprochant rien est sorti de chez lui pour s’informer. C’était l’erreur à ne pas commettre. Il est aussitôt appréhendé, déshabillé, bastonné et jeté à l’arrière du véhicule de type 4x4 de ses ravisseurs qui prennent aussitôt la route d’Abidjan. La famille de l’homme d’affaires prend attache, le lendemain, avec la gendarmerie. Le cdt de brigade diffuse un message d’enlèvement sur le réseau et informe sa hiérarchie. Les recherches entreprises par la marée-chaussée permettent de savoir que Abébayor est détenu dans une cellule de la Bae, non loin du Chu de Yopougon. Les éléments de Sampagno rentrent en négociation avec la famille du commerçant. Ils exigent 1,5 million Fcfa pour libérer l’infortuné. Les parents refusent le chantage et demande la libération sans condition du commerçant. Selon notre source, le commandant de la brigade de gendarmerie aurait signifié aux ravisseurs qu’ils ne sont pas compétents pour agir de la sorte surtout que l’homme a été arrêté sans mandat. De plus, on ignore la cause de cette séquestration. Qu’a fait Adebayor pour être traité ainsi ? Ce sont autant de questions à élucider pour laver les agresseurs militaires de tout arbitraire. Eux qui sont censés protéger les personnes et les biens. Aux derrières nouvelles, les ravisseurs ont été identifiés par la gendarmerie. Il s’agit d’un certain Pascal (civil), des frères Coulibaly (militaires). Tout ce monde obéit aux ordres d’un certain Sampagno qui serait basé à Noé.
Bahi K.
Abébayor Ganiyu Arisekol vit des moments difficiles dans les geôles de la Brigade anti-émeute (Bae) d’Abidjan. Il a été enlevé par trois individus identifiés comme des éléments appartenant au Lt Koné Sampagno. Abébayor a été pris en otage dans la nuit du vendredi à samedi à Daoukro, à son domicile. Les ravisseurs sont arrivés chez le riche commerçant tard dans la nuit. Selon des témoins contactés sur place, ils ont commencé à tirer des coups de feu en air. L’homme ne se reprochant rien est sorti de chez lui pour s’informer. C’était l’erreur à ne pas commettre. Il est aussitôt appréhendé, déshabillé, bastonné et jeté à l’arrière du véhicule de type 4x4 de ses ravisseurs qui prennent aussitôt la route d’Abidjan. La famille de l’homme d’affaires prend attache, le lendemain, avec la gendarmerie. Le cdt de brigade diffuse un message d’enlèvement sur le réseau et informe sa hiérarchie. Les recherches entreprises par la marée-chaussée permettent de savoir que Abébayor est détenu dans une cellule de la Bae, non loin du Chu de Yopougon. Les éléments de Sampagno rentrent en négociation avec la famille du commerçant. Ils exigent 1,5 million Fcfa pour libérer l’infortuné. Les parents refusent le chantage et demande la libération sans condition du commerçant. Selon notre source, le commandant de la brigade de gendarmerie aurait signifié aux ravisseurs qu’ils ne sont pas compétents pour agir de la sorte surtout que l’homme a été arrêté sans mandat. De plus, on ignore la cause de cette séquestration. Qu’a fait Adebayor pour être traité ainsi ? Ce sont autant de questions à élucider pour laver les agresseurs militaires de tout arbitraire. Eux qui sont censés protéger les personnes et les biens. Aux derrières nouvelles, les ravisseurs ont été identifiés par la gendarmerie. Il s’agit d’un certain Pascal (civil), des frères Coulibaly (militaires). Tout ce monde obéit aux ordres d’un certain Sampagno qui serait basé à Noé.
Bahi K.