La hiérarchie militaire des Frci a décidé de déployer la police militaire à l’intérieur du pays. Bouaké sera la première étape.
Bonne nouvelle. La police militaire se déploie à Bouaké à partir du 1er février. Après avoir fait disparaître les kalachnikovs, les treillis bigarrés et les voitures non immatriculées correctement d’Abidjan, le patron de la police militaire, Koné Zakaria, et ses hommes se déploient dans la capitale du centre du pays. Après que la chasse aux faux éléments des Frci a permis de nettoyer Abidjan, nombre de brebis galeuses se sont repliées sur les villes de l’intérieur où elles continuent de sévir au grand dam de la population et au mépris des instructions de la hiérarchie militaire.
Nos sources indiquent que la décision a été prise de déployer la police militaire sur l’ensemble du pays. Le premier acte sera posé ce 1er février dans l’ex-fief des ex-Forces nouvelles. Les populations du grand centre doivent désormais s’habituer à voir des patrouilles des forces mixtes qui composent la police militaire avec leurs casques blancs estampillées « PM », police militaire. Il ne se passe plus de jour sans que des éléments incontrôlés habillés en treillis militaire ne posent des actes délictueux quelque part. A Ferké, Katiola et villes alentours, il y a assez d’exactions commises. Les coupeurs de route et agents racketteurs non munis d’ordre de mission font florès.
C’est donc pour nettoyer les écuries d’Augias que la hiérarchie militaire a demandé à l’homme fort du Camp du Génie d’Adjamé, qui a effacé les miliciens du Gpp de ce site, de se déployer à l’intérieur du pays. Après Bouaké, ce sera le tour d’autres grandes villes du pays de recevoir la police militaire. Cette police est fournie en hommes par toutes les unités de l’armée ivoirienne : militaire, gendarme, police, eaux et forêts etc. Assurément, le déploiement de cette force devrait considérablement faire baisser les indices de sécurité. Qu’il en soit ainsi !
Après avoir mis de l’ordre à Abidjan, Koné Zakaria et ses hommes mettent le cap sur l’intérieur du pays.
Traoré M. Ahmed
Bonne nouvelle. La police militaire se déploie à Bouaké à partir du 1er février. Après avoir fait disparaître les kalachnikovs, les treillis bigarrés et les voitures non immatriculées correctement d’Abidjan, le patron de la police militaire, Koné Zakaria, et ses hommes se déploient dans la capitale du centre du pays. Après que la chasse aux faux éléments des Frci a permis de nettoyer Abidjan, nombre de brebis galeuses se sont repliées sur les villes de l’intérieur où elles continuent de sévir au grand dam de la population et au mépris des instructions de la hiérarchie militaire.
Nos sources indiquent que la décision a été prise de déployer la police militaire sur l’ensemble du pays. Le premier acte sera posé ce 1er février dans l’ex-fief des ex-Forces nouvelles. Les populations du grand centre doivent désormais s’habituer à voir des patrouilles des forces mixtes qui composent la police militaire avec leurs casques blancs estampillées « PM », police militaire. Il ne se passe plus de jour sans que des éléments incontrôlés habillés en treillis militaire ne posent des actes délictueux quelque part. A Ferké, Katiola et villes alentours, il y a assez d’exactions commises. Les coupeurs de route et agents racketteurs non munis d’ordre de mission font florès.
C’est donc pour nettoyer les écuries d’Augias que la hiérarchie militaire a demandé à l’homme fort du Camp du Génie d’Adjamé, qui a effacé les miliciens du Gpp de ce site, de se déployer à l’intérieur du pays. Après Bouaké, ce sera le tour d’autres grandes villes du pays de recevoir la police militaire. Cette police est fournie en hommes par toutes les unités de l’armée ivoirienne : militaire, gendarme, police, eaux et forêts etc. Assurément, le déploiement de cette force devrait considérablement faire baisser les indices de sécurité. Qu’il en soit ainsi !
Après avoir mis de l’ordre à Abidjan, Koné Zakaria et ses hommes mettent le cap sur l’intérieur du pays.
Traoré M. Ahmed
