ADDIS ABEBA - L`Afrique va accélérer la construction de ses infrastructures et mettre en oeuvre des politiques et des lois permettant d`impulser son processus d`intégration, selon un document publié mardi par l`Union africaine (UA) à l`issue de son 18e sommet tenu à Addis Abéba, capitale éthiopienne.
Le document, baptisé "Déclaration sur le Programme de développement des infrastructures en Afrique", précise que le sommet reconnaît "le rôle vital des infrastructures et des services s`y rapportant dans le développement politique et socio-économique du continent ainsi que dans son intégration", en raison notamment de sa croissance démographique et de ses besoins économiques.
Les Etats membres de l`organisation panafricaine doivent augmenter le financement public des infrastructures, mettre en œuvre des grands projets d`énergie tels que l`hydroélectricité, la raffinerie de pétrole et les gazoducs. Ils sont aussi appelés à accélérer la construction des réseaux de transport qui manquent, à moderniser les chemins de fer et à accroître les capacités des ports, indique le document.
Les pays africains doivent également développer des ressources énergétiques nouvelles et renouvelables pour se procurer une énergie propre, fiable et abordable ainsi que l`énergie nucléaire à usage pacifique, ajoute la même source.
Le sommet a également recommandé de développer des réseaux à haut débit régionaux et continentaux et d`installer des câbles sous-marins afin de promouvoir l`économie numérique.
Soucieux d`atteindre ces objectifs, le sommet appelle les institutions internationales comme la Commission économique des Nations Unies pour l`Afrique, la Banque africaine de Développement (BAD) et la Banque mondiale (BM) à soutenir la mise en œuvre de ces projets ambitieux.
Le document estime à 60 milliards de dollars le coût de ses besoins en infrastructures pour les 10 prochaines années.
En effet, les populations africaines pâtissent du faible niveau de la connexion des réseaux d`infrastructures et du manque d`accès aux services d`énergie et d`information, rappelle le document.
Le document, baptisé "Déclaration sur le Programme de développement des infrastructures en Afrique", précise que le sommet reconnaît "le rôle vital des infrastructures et des services s`y rapportant dans le développement politique et socio-économique du continent ainsi que dans son intégration", en raison notamment de sa croissance démographique et de ses besoins économiques.
Les Etats membres de l`organisation panafricaine doivent augmenter le financement public des infrastructures, mettre en œuvre des grands projets d`énergie tels que l`hydroélectricité, la raffinerie de pétrole et les gazoducs. Ils sont aussi appelés à accélérer la construction des réseaux de transport qui manquent, à moderniser les chemins de fer et à accroître les capacités des ports, indique le document.
Les pays africains doivent également développer des ressources énergétiques nouvelles et renouvelables pour se procurer une énergie propre, fiable et abordable ainsi que l`énergie nucléaire à usage pacifique, ajoute la même source.
Le sommet a également recommandé de développer des réseaux à haut débit régionaux et continentaux et d`installer des câbles sous-marins afin de promouvoir l`économie numérique.
Soucieux d`atteindre ces objectifs, le sommet appelle les institutions internationales comme la Commission économique des Nations Unies pour l`Afrique, la Banque africaine de Développement (BAD) et la Banque mondiale (BM) à soutenir la mise en œuvre de ces projets ambitieux.
Le document estime à 60 milliards de dollars le coût de ses besoins en infrastructures pour les 10 prochaines années.
En effet, les populations africaines pâtissent du faible niveau de la connexion des réseaux d`infrastructures et du manque d`accès aux services d`énergie et d`information, rappelle le document.