Abidjan -Le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Bandama, a nommé un conseil de restructuration d’une quinzaine de membres à la Bureau ivoirien des droits d’auteur (BURIDA) en proie à un problème de fonctionnement depuis quelques mois.
Présidé par l’artiste comédien Léonard Groguhet, ce comité de restructuration aura, dans un délai de six mois à un an, selon la décision ministérielle lue à la télévision nationale, pour faire, entre autres, "le toilettage des textes juridiques régissant le Burida et sa mise en conformité avec la réglementation internationale, l'assainissement de la gestion administrative et financière, la perception et la répartition des droits d'auteurs, l'établissement des statuts et règlement intérieur au sein de l'institution et la rédaction d' une charte d'éthique et de déontologie des membres".
A l’issue d’une assemblée extraordinaire terminée en queue de poisson, samedi, le ministre de la Culture, "sur recommandations de la mission dévaluation de l'Organisation mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI), sur rapport d'audit portant sur dix années de gestion de l’institution disponible depuis décembre", a mis fin au mandat du conseil d'administration présidé par le magistrat Abo Kadjo Fodjo, tout en maintenant la directrice générale, Irène Vieira.
Le comité de restructuration, indique-t-on, sera installé lundi.
Créé en 1981, le Bureau ivoirien des droits d’auteur, à la faveur du décret n°2008-357 du 20 novembre 2008, a subi une réforme an passant du statut associatif à une société civile de type particulier, rappelle-t-on.
Présidé par l’artiste comédien Léonard Groguhet, ce comité de restructuration aura, dans un délai de six mois à un an, selon la décision ministérielle lue à la télévision nationale, pour faire, entre autres, "le toilettage des textes juridiques régissant le Burida et sa mise en conformité avec la réglementation internationale, l'assainissement de la gestion administrative et financière, la perception et la répartition des droits d'auteurs, l'établissement des statuts et règlement intérieur au sein de l'institution et la rédaction d' une charte d'éthique et de déontologie des membres".
A l’issue d’une assemblée extraordinaire terminée en queue de poisson, samedi, le ministre de la Culture, "sur recommandations de la mission dévaluation de l'Organisation mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI), sur rapport d'audit portant sur dix années de gestion de l’institution disponible depuis décembre", a mis fin au mandat du conseil d'administration présidé par le magistrat Abo Kadjo Fodjo, tout en maintenant la directrice générale, Irène Vieira.
Le comité de restructuration, indique-t-on, sera installé lundi.
Créé en 1981, le Bureau ivoirien des droits d’auteur, à la faveur du décret n°2008-357 du 20 novembre 2008, a subi une réforme an passant du statut associatif à une société civile de type particulier, rappelle-t-on.