Le vendredi 03 février 2012, le CEFCI a appris avec consternation et émoi, l’attaque d’un véhicule à l’entrée de Niakara par des coupeurs de route. Lors de cette attaque, le conducteur du véhicule a été assassiné alors qu’il revenait d’une mission.
Ce braquage rallonge malheureusement la liste des agressions perpétrées par des personnes armées sur l’axe Bouaké-Niakara depuis la fin de la crise postélectorale. Les populations sont de plus en plus apeurées et redoutent de circuler sur cet axe au risque et au péril de leur vie.
Le CEFCI, organisation de promotion des droits de la femme, exerçant dans le département de Niakara dénonce vigoureusement la recrudescence de la violence et de l’insécurité sur l’axe Bouaké-Niakara. Le CEFCI présente ses condoléances les plus attristées à la famille éplorée et interpelle le Ministre de la sécurité et le Chef d’Etat Major afin que des actions plus concrètes de sécurisation soient menées au niveau des voies du Nord et sur toute l’étendue du territoire national.
Au regard de ce qui précède, le CEFCI recommande :
• Au Ministère de l’intérieur
- Déployer la police et la gendarmerie dans tous les départements de la Côte d‘Ivoire ;
- Renforcer les capacités des gendarmes et des policiers afin qu’ils puissent assurer la protection des personnes et des biens et mettre à leur disposition les moyens nécessaires pour l’exercice de leur fonction.
• Au Chef d’Etat Major de l’armée
- Renforcer la sécurité des personnes et des biens sur les voies routières ;
- Procéder au désarmement effectif des personnes détenant de façon illégale des armes ;
- Faire des patrouilles régulières sur les voies menacées par l’action des coupeurs de route ;
- Diligenter des enquêtes appropriées pour tous les cas d’agression des passagers sur les voies routières et que les auteurs soient arrêtés et punis conformément à la loi.
- Appuyer effectivement et le plus rapidement possible le programme de démobilisation et de réinsertion des ex-combattants.
• A l’opération des nations unie en Côte d’Ivoire
- Assister le gouvernement dans la sécurisation des biens et des personnes et le désarmement effectif des ex-combattants.
Fait à Abidjan, le 06/02/2012
Pour le CEFCI
La Présidente
Nathalie Koné Traoré
Ce braquage rallonge malheureusement la liste des agressions perpétrées par des personnes armées sur l’axe Bouaké-Niakara depuis la fin de la crise postélectorale. Les populations sont de plus en plus apeurées et redoutent de circuler sur cet axe au risque et au péril de leur vie.
Le CEFCI, organisation de promotion des droits de la femme, exerçant dans le département de Niakara dénonce vigoureusement la recrudescence de la violence et de l’insécurité sur l’axe Bouaké-Niakara. Le CEFCI présente ses condoléances les plus attristées à la famille éplorée et interpelle le Ministre de la sécurité et le Chef d’Etat Major afin que des actions plus concrètes de sécurisation soient menées au niveau des voies du Nord et sur toute l’étendue du territoire national.
Au regard de ce qui précède, le CEFCI recommande :
• Au Ministère de l’intérieur
- Déployer la police et la gendarmerie dans tous les départements de la Côte d‘Ivoire ;
- Renforcer les capacités des gendarmes et des policiers afin qu’ils puissent assurer la protection des personnes et des biens et mettre à leur disposition les moyens nécessaires pour l’exercice de leur fonction.
• Au Chef d’Etat Major de l’armée
- Renforcer la sécurité des personnes et des biens sur les voies routières ;
- Procéder au désarmement effectif des personnes détenant de façon illégale des armes ;
- Faire des patrouilles régulières sur les voies menacées par l’action des coupeurs de route ;
- Diligenter des enquêtes appropriées pour tous les cas d’agression des passagers sur les voies routières et que les auteurs soient arrêtés et punis conformément à la loi.
- Appuyer effectivement et le plus rapidement possible le programme de démobilisation et de réinsertion des ex-combattants.
• A l’opération des nations unie en Côte d’Ivoire
- Assister le gouvernement dans la sécurisation des biens et des personnes et le désarmement effectif des ex-combattants.
Fait à Abidjan, le 06/02/2012
Pour le CEFCI
La Présidente
Nathalie Koné Traoré