«France-Côte d’Ivoire : 100 ans de relations», c’est le projet qui inaugure le programme culturel (2012) du ministère de la Culture et de la Francophonie et qui a été présenté le jeudi 9 février au Novotel à Abidjan par Maurice Bandama. Un fond de 60.000 images est mis à la disposition dudit projet.
Prenant l’initiative de célébrer le centenaire d’une relation multiforme entre la Côte d’Ivoire et la France, le ministère de la Culture et de la Francophonie entend revisiter bientôt à travers des expositions (cartes, des photos, les timbres postaux, les textes) et autres témoignages (réflexion de haut niveau), l’histoire de la Côte d’Ivoire «depuis les premières heures de la pénétration française en 1888 jusqu’à nos jours», a indiqué Maurice Bandama. Ce sera aussi l’occasion de découvrir l’histoire d’Abidjan depuis sa désignation comme capitale en 1934 et sa transformation en véritable mégapole avec son port, ses usines, ses bâtisses impressionnantes, ses buildings, ses ponts et échangeurs. Pour le ministre de la Culture et de la Francophonie, il s’agira de présenter un siècle d’histoires à travers des spectacles qui réuniront des vedettes ivoiriennes et françaises. C’est aussi traduire, a-t-il souligné, la peinture d’un nouvel horizon à travers des couleurs, des chants, des danses et exalter la richesse commune aux deux peuples (Côte d’Ivoire-France). «Avec la France, comme avec tous les peuples du monde, la Côte d’Ivoire voudrait s’unir dans la perspective de construire une civilisation de l’amitié, de la fraternité et de la liberté», a précisé le ministre Maurice Bandama. S’il prévoit associer à ces cent (100) ans de relations, d’autres populations qui partagent les rêves d’ouverture des deux peuples, Maurice Bandama laisse entendre qu’avec la France, la Côte d’Ivoire veut «nourrir des rêves plus profonds d’édification d’une nouvelle humanité, grande de sa grandeur et digne de sa dignité». C’est rêver, ajoute-t-il, des rêves communs en une nouvelle race d’hommes et de femmes faits pour tracer les sillons de nouvelles espérances. «Nous voulons à nouveau, célébrer nos épousailles comme un vieux couple qui revient à sa jeunesse féconde après tant de brouilles», admet Maurice Bandama qui avait à ses côtés Alain de Maison, représentant l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire. Soutenues par le ministère de la Culture et de la Francophonie, ces «retrouvailles» initiées par la Fondation Tapa de Mme Sylvie Memel-Kassi et l’agence MB&A seront célébrées au Palais des Congrès de l’hôtel Ivoire.
Koné Saydoo
Prenant l’initiative de célébrer le centenaire d’une relation multiforme entre la Côte d’Ivoire et la France, le ministère de la Culture et de la Francophonie entend revisiter bientôt à travers des expositions (cartes, des photos, les timbres postaux, les textes) et autres témoignages (réflexion de haut niveau), l’histoire de la Côte d’Ivoire «depuis les premières heures de la pénétration française en 1888 jusqu’à nos jours», a indiqué Maurice Bandama. Ce sera aussi l’occasion de découvrir l’histoire d’Abidjan depuis sa désignation comme capitale en 1934 et sa transformation en véritable mégapole avec son port, ses usines, ses bâtisses impressionnantes, ses buildings, ses ponts et échangeurs. Pour le ministre de la Culture et de la Francophonie, il s’agira de présenter un siècle d’histoires à travers des spectacles qui réuniront des vedettes ivoiriennes et françaises. C’est aussi traduire, a-t-il souligné, la peinture d’un nouvel horizon à travers des couleurs, des chants, des danses et exalter la richesse commune aux deux peuples (Côte d’Ivoire-France). «Avec la France, comme avec tous les peuples du monde, la Côte d’Ivoire voudrait s’unir dans la perspective de construire une civilisation de l’amitié, de la fraternité et de la liberté», a précisé le ministre Maurice Bandama. S’il prévoit associer à ces cent (100) ans de relations, d’autres populations qui partagent les rêves d’ouverture des deux peuples, Maurice Bandama laisse entendre qu’avec la France, la Côte d’Ivoire veut «nourrir des rêves plus profonds d’édification d’une nouvelle humanité, grande de sa grandeur et digne de sa dignité». C’est rêver, ajoute-t-il, des rêves communs en une nouvelle race d’hommes et de femmes faits pour tracer les sillons de nouvelles espérances. «Nous voulons à nouveau, célébrer nos épousailles comme un vieux couple qui revient à sa jeunesse féconde après tant de brouilles», admet Maurice Bandama qui avait à ses côtés Alain de Maison, représentant l’ambassadeur de France en Côte d’Ivoire. Soutenues par le ministère de la Culture et de la Francophonie, ces «retrouvailles» initiées par la Fondation Tapa de Mme Sylvie Memel-Kassi et l’agence MB&A seront célébrées au Palais des Congrès de l’hôtel Ivoire.
Koné Saydoo