Belle opération des éléments des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) basée à Soubré. Leur lutte pour enrayer le phénomène des coupeurs de route et le grand banditisme dans la région de la Nawa vient de porter fruit. Un redoutable gang de braqueurs qui écument les domiciles et opèrent sur les routes de cette région ont été mis hors d’état de nuire.
C’est dans la nuit du vendredi 10 au samedi 11 février que les scélérats sont tombés dans les filets des Frci dans la sous-préfecture de Galebré. Au dire du chef des opérations à Yabayo, le sergent Otchomba Prosper, les plaintes et autres récriminations contre les braquages et attaques de domiciles s’amplifient dans le département de Soubré. Il ne se passe pas de jour sans qu’il n’y ait de plainte de la part des populations qui ne savent plus à quel saint se vouer.
Face à cette montée du grand banditisme et suite aux instructions de leur hiérarchie, ils ont multiplié les actions sur le terrain. « Le chef d’état-major nous a instruit de débarrasser la région de toutes ses vermines et nous sommes à la tâche », déclare-t-il. C’est ainsi que le vendredi 10 février, au cours d’un contrôle, un individu est appréhendé avec un fusil calibre 12 canon scié.
Acculé de questions, il se met à table. Cet individu du nom Wembela Sawadogo, se croyant trahi, avoue avoir rendez-vous avec ses complices pour attaquer un certain Gaston, gérant de super marché à Galebré à 21 h. Le sergent Prosper et ses éléments s’organisent et se déportent à Galebré, au cimetière où les malfrats s’étaient donné rendez-vous. A à la vue des Frci, les quidams, puissamment armés vont ouvrir le feu.
Et après plus d’une heure d’échange de tirs, les forces républicaines vont réussir à mettre la main sur 3 malfrats : Ouédraogo Ali, Sawadogo Amidou et Arba Daouda et à abattre un du nom de Simporé Moussa. Quant à un cinquième malfrat, chef du gang du nom de Ouédraogo Moumouni, venu de Bouaké pour l’opération, il réussira à se fondre dans la nature avec de grave blessures par balles.
Les forces républicaines ont également mis la main sur l’arsenal d’attaque des bandits constitués de fusils calibre 12, de fusils à canon scié, de pistolets, de fusils d’assaut AK 47, d’armes blanches, de cagoules, de munitions avec quelques objets volés, sans oublier le véhicule de commandement du chef de gang une Mazda 323 F immatriculée 4005 FE 04 endommagée par les échanges de tirs.
Selon Wembela Sawadogo, la bande est constituée d’anciens prisonniers basés à Soubré-Bouaké-Gagnoa et Issia qui se retrouvent régulièrement pour mener des opérations. Ils ont déjà sévi à Issa (Ourababré), Galebré, Soubré et à Gagnoa. Et d’ajouter que les opérations sont planifiées depuis la maison d’arrêt de Soubré par un certain Sawadogo Bouakary en relation avec le sieur Ouédraogo Moumouni résidant à Bouaké et fournisseur de la bande en arme et munitions depuis sa base. Le sergent Prospère a tenu à rassurer les populations quant aux dispositions prises par les Frci pour mettre fin à la grande insécurité.
« Nous avons des instructions très fermes de notre hiérarchie, et nous traquons les malfrats jusque dans leur dernier retranchement pour la sécurité des personnes et des biens en Côte d’Ivoire. Nous invitons simplement les populations à la collaboration pour nous permettre d’être plus efficaces sur le terrain. Car nous n’avons peur de rien », a lancé le sergent Otchomba Prospère, entouré de ses hommes.
Méité Yacouba, correspondant régional
C’est dans la nuit du vendredi 10 au samedi 11 février que les scélérats sont tombés dans les filets des Frci dans la sous-préfecture de Galebré. Au dire du chef des opérations à Yabayo, le sergent Otchomba Prosper, les plaintes et autres récriminations contre les braquages et attaques de domiciles s’amplifient dans le département de Soubré. Il ne se passe pas de jour sans qu’il n’y ait de plainte de la part des populations qui ne savent plus à quel saint se vouer.
Face à cette montée du grand banditisme et suite aux instructions de leur hiérarchie, ils ont multiplié les actions sur le terrain. « Le chef d’état-major nous a instruit de débarrasser la région de toutes ses vermines et nous sommes à la tâche », déclare-t-il. C’est ainsi que le vendredi 10 février, au cours d’un contrôle, un individu est appréhendé avec un fusil calibre 12 canon scié.
Acculé de questions, il se met à table. Cet individu du nom Wembela Sawadogo, se croyant trahi, avoue avoir rendez-vous avec ses complices pour attaquer un certain Gaston, gérant de super marché à Galebré à 21 h. Le sergent Prosper et ses éléments s’organisent et se déportent à Galebré, au cimetière où les malfrats s’étaient donné rendez-vous. A à la vue des Frci, les quidams, puissamment armés vont ouvrir le feu.
Et après plus d’une heure d’échange de tirs, les forces républicaines vont réussir à mettre la main sur 3 malfrats : Ouédraogo Ali, Sawadogo Amidou et Arba Daouda et à abattre un du nom de Simporé Moussa. Quant à un cinquième malfrat, chef du gang du nom de Ouédraogo Moumouni, venu de Bouaké pour l’opération, il réussira à se fondre dans la nature avec de grave blessures par balles.
Les forces républicaines ont également mis la main sur l’arsenal d’attaque des bandits constitués de fusils calibre 12, de fusils à canon scié, de pistolets, de fusils d’assaut AK 47, d’armes blanches, de cagoules, de munitions avec quelques objets volés, sans oublier le véhicule de commandement du chef de gang une Mazda 323 F immatriculée 4005 FE 04 endommagée par les échanges de tirs.
Selon Wembela Sawadogo, la bande est constituée d’anciens prisonniers basés à Soubré-Bouaké-Gagnoa et Issia qui se retrouvent régulièrement pour mener des opérations. Ils ont déjà sévi à Issa (Ourababré), Galebré, Soubré et à Gagnoa. Et d’ajouter que les opérations sont planifiées depuis la maison d’arrêt de Soubré par un certain Sawadogo Bouakary en relation avec le sieur Ouédraogo Moumouni résidant à Bouaké et fournisseur de la bande en arme et munitions depuis sa base. Le sergent Prospère a tenu à rassurer les populations quant aux dispositions prises par les Frci pour mettre fin à la grande insécurité.
« Nous avons des instructions très fermes de notre hiérarchie, et nous traquons les malfrats jusque dans leur dernier retranchement pour la sécurité des personnes et des biens en Côte d’Ivoire. Nous invitons simplement les populations à la collaboration pour nous permettre d’être plus efficaces sur le terrain. Car nous n’avons peur de rien », a lancé le sergent Otchomba Prospère, entouré de ses hommes.
Méité Yacouba, correspondant régional