Après la libération des emprises, notamment la résidence de l’ex-gouverneur du district de la capitale économique (Abidjan), Djédjé Amondji Pierre, l’une des 1ères victimes de l’opération de démolition, la préoccupation des Ivoiriens est de savoir comment avancent les travaux. Notre constat.
Ils donnent l’impression d’une grande évolution. Les travaux de construction du pont Henri Konan Bédié s’effectuent sans incident. Les emprises du 3è pont libérées le 2 janvier dernier dans la commune de Cocody, semblent avoir donné du goût aux conditions de travail des ouvriers. Quand on sait qu’il doit être livré dans un délai de 24 mois, (à compter de la date du lancement des travaux), le souci majeur est la livraison dans le délai imparti à ce projet. Il est 11 h, ce mardi, quand notre équipe de reportage arrive sur le chantier. Les ouvriers sont à pied d’œuvre. De vastes creux à plusieurs endroits du chantier, des engins au bord de la lagune, des bureaux en construction, des camions de sable sont en place. Tous les ouvriers présents sur le terrain s’affairent. Une chose qui ne laisse personne indifférent. A quelques mètres, certains pétrissent ciment et sable pour la fabrication des briques, d’autres pelles à la main déchargent plusieurs bennes de graviers garées. Plus loin, on aperçoit des Caterpillar. Ce pont traverse la lagune Ebrié sur 1600 mètres pour aboutir 2 kilomètres plus loin sur le boulevard Giscard d’Estaing avec un échangeur moderne de trois niveaux au carrefour de l’ancienne bâche bleue(Marcory). L’ensemble de l’ouvrage fait 6, 5 kilomètres, a indiqué le ministre des Infrastructures économiques, Patrick Achi, lors sa dernière visite sur le chantier. C’est un pont à péages qui présente plusieurs avantages, notamment, le désengorgement du trafic des quartiers concernés (Cocody, Deux-Plateaux, Riviera palmeraie, Bingerville) vers les quartiers Sud, jusqu’à l’aéroport international Félix Houphouet-Boigny. Ce qui contribuera à la réduction de la pollution de l’air de plus en plus nuisible, liée à l’accroissement des quantités de dioxydes de carbones produits par les gaz d’échappement des voitures vrombissant dans les embouteillages. En entendant, espérons que le début impressionnant des travaux mettra fin aux inquiétudes des populations ivoiriennes. Estimé à 190 millions d’euros, le pont Henri Konan Bédié doit être achévé en 2014.
F.S (stagiaire)
Ils donnent l’impression d’une grande évolution. Les travaux de construction du pont Henri Konan Bédié s’effectuent sans incident. Les emprises du 3è pont libérées le 2 janvier dernier dans la commune de Cocody, semblent avoir donné du goût aux conditions de travail des ouvriers. Quand on sait qu’il doit être livré dans un délai de 24 mois, (à compter de la date du lancement des travaux), le souci majeur est la livraison dans le délai imparti à ce projet. Il est 11 h, ce mardi, quand notre équipe de reportage arrive sur le chantier. Les ouvriers sont à pied d’œuvre. De vastes creux à plusieurs endroits du chantier, des engins au bord de la lagune, des bureaux en construction, des camions de sable sont en place. Tous les ouvriers présents sur le terrain s’affairent. Une chose qui ne laisse personne indifférent. A quelques mètres, certains pétrissent ciment et sable pour la fabrication des briques, d’autres pelles à la main déchargent plusieurs bennes de graviers garées. Plus loin, on aperçoit des Caterpillar. Ce pont traverse la lagune Ebrié sur 1600 mètres pour aboutir 2 kilomètres plus loin sur le boulevard Giscard d’Estaing avec un échangeur moderne de trois niveaux au carrefour de l’ancienne bâche bleue(Marcory). L’ensemble de l’ouvrage fait 6, 5 kilomètres, a indiqué le ministre des Infrastructures économiques, Patrick Achi, lors sa dernière visite sur le chantier. C’est un pont à péages qui présente plusieurs avantages, notamment, le désengorgement du trafic des quartiers concernés (Cocody, Deux-Plateaux, Riviera palmeraie, Bingerville) vers les quartiers Sud, jusqu’à l’aéroport international Félix Houphouet-Boigny. Ce qui contribuera à la réduction de la pollution de l’air de plus en plus nuisible, liée à l’accroissement des quantités de dioxydes de carbones produits par les gaz d’échappement des voitures vrombissant dans les embouteillages. En entendant, espérons que le début impressionnant des travaux mettra fin aux inquiétudes des populations ivoiriennes. Estimé à 190 millions d’euros, le pont Henri Konan Bédié doit être achévé en 2014.
F.S (stagiaire)