Abidjan - La Première dame ivoirienne, Dominique Ouattara, a procédé, mercredi, au lancement officielle des activités du Comité nationale de surveillance des actions de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants, une institution créée le 03 novembre dernier par le gouvernement, dont elle assure la présidence.
"C’est avec un grand honneur que j’ai accepté de présider ce Comité. Cette nomination a constitué pour moi une mission primordiale à laquelle j’entends me consacrer pleinement", a déclaré Mme Ouattara, lors de cette cérémonie de lancement, tenue à l’espace CRRAE-UEMOA au Plateau (Abidjan), en présence de membres du gouvernement ivoirien, ainsi que d’acteurs socioéconomiques et partenaires au développement.
Selon le Première dame, la Côte d’Ivoire, par création de ce Comité, en plus du Comité interministériel de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants, "dispose désormais de deux organes institutionnels majeurs, afin de lutter plus efficacement contre le la traite et les pires formes du travail des enfants".
Ces deux instances qui devront, selon Dominique Ouattara, travailler en synergie, se retrouveront, des les jours à venir, pour définir ensemble leurs actions prioritaires communes.
Le ministre ivoirien de l`Emploi, des Affaires sociales et de l`Emploi, Gilbert Kafana Koné, a, pour sa part, appelé toutes les parties prenantes à cette lutte, à intensifier leur engagement, estimant que "l`exploitation des enfants est avant tout un problème moral pour la nation".
En Côte d’Ivoire, environ 1,5 million d’enfants de 5 à 17 ans sont impliqués dans les activités économiques en Côte d’Ivoire, dont plus de 5000 dans les plantations de cacao, note-t-on.
"C’est avec un grand honneur que j’ai accepté de présider ce Comité. Cette nomination a constitué pour moi une mission primordiale à laquelle j’entends me consacrer pleinement", a déclaré Mme Ouattara, lors de cette cérémonie de lancement, tenue à l’espace CRRAE-UEMOA au Plateau (Abidjan), en présence de membres du gouvernement ivoirien, ainsi que d’acteurs socioéconomiques et partenaires au développement.
Selon le Première dame, la Côte d’Ivoire, par création de ce Comité, en plus du Comité interministériel de lutte contre la traite, l’exploitation et le travail des enfants, "dispose désormais de deux organes institutionnels majeurs, afin de lutter plus efficacement contre le la traite et les pires formes du travail des enfants".
Ces deux instances qui devront, selon Dominique Ouattara, travailler en synergie, se retrouveront, des les jours à venir, pour définir ensemble leurs actions prioritaires communes.
Le ministre ivoirien de l`Emploi, des Affaires sociales et de l`Emploi, Gilbert Kafana Koné, a, pour sa part, appelé toutes les parties prenantes à cette lutte, à intensifier leur engagement, estimant que "l`exploitation des enfants est avant tout un problème moral pour la nation".
En Côte d’Ivoire, environ 1,5 million d’enfants de 5 à 17 ans sont impliqués dans les activités économiques en Côte d’Ivoire, dont plus de 5000 dans les plantations de cacao, note-t-on.
