Abidjan, La France salue l’entrée en vigueur, mercredi, de la Charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance de l’Union africaine, adoptée en janvier 2007, estimant qu’elle est une avancée importante qui confirme l’universalité des droits de l’homme et de l’aspiration à la démocratie.
"La France est attachée au rôle moteur de l’Union africaine pour la promotion des droits de l’homme et des règles démocratiques", indique une note d’information publiée sur le ministère français des Affaires étrangères.
La charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance, souligne-t-on, consacre l’engagement des Etats parties à promouvoir la démocratie, l’Etat de droit et les droits de l’homme.
Elle reconnait également la participation populaire, par le biais du suffrage universel, comme un droit inaliénable des peuples, et condamne la prise du pouvoir par des moyens anticonstitutionnels.
La charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance affirme aussi "l’engagement des Etats parties à éliminer toutes les formes de discrimination et promeut les droits des femmes et leur pleine participation aux processus décisionnels et politiques, la protection des minorités et des plus vulnérables, et le respect de la diversité", précise la note d’information du ministère français des Affaires étrangères.
(AIP)
kp
"La France est attachée au rôle moteur de l’Union africaine pour la promotion des droits de l’homme et des règles démocratiques", indique une note d’information publiée sur le ministère français des Affaires étrangères.
La charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance, souligne-t-on, consacre l’engagement des Etats parties à promouvoir la démocratie, l’Etat de droit et les droits de l’homme.
Elle reconnait également la participation populaire, par le biais du suffrage universel, comme un droit inaliénable des peuples, et condamne la prise du pouvoir par des moyens anticonstitutionnels.
La charte africaine de la démocratie, des élections et de la gouvernance affirme aussi "l’engagement des Etats parties à éliminer toutes les formes de discrimination et promeut les droits des femmes et leur pleine participation aux processus décisionnels et politiques, la protection des minorités et des plus vulnérables, et le respect de la diversité", précise la note d’information du ministère français des Affaires étrangères.
(AIP)
kp