En réaction au confrère Le Patriote, qui dans sa parution d’hier, barrait sa Une avec : «RTI, Aka Sayé Lazare-Brou Aka Pascal, ça ne va pas», le directeur de la RTI, Aka Sayé, a rejeté la thèse de toute embrouille entre lui et celui qu’il appelle son «jumeau».
Monsieur le directeur général, comment se porte la Rti ?
La Rti se porte mieux après plus de 8 mois de fonctionnement et après sa sortie de crise. Aujourd’hui, on peut dire que la Rti se porte un peu mieux. Les agents ont retrouvé leurs esprits et la maison aussi. Les agents sont au travail. Nous avons renoué avec l’esprit de travail et le professionnalisme. Nous avons aussi retrouvé les bonnes habitudes. Donc le climat interne, il est sain, il est même apaisé. Je peux même affirmer que la Rti se porte mieux au plan financier. Nous avons commencé de profondes réformes qui vont nous apporter satisfaction. Nous avons, au plan des ressources humaines, entrepris des réformes très profondes aussi qui prendront fin très bientôt. Avec toutes ces réformes aussi bien financières que des ressources humaines, nous pensons que la Rti, d’ici la fin de l’année, sera une nouvelle société qui sera rentable, agréable à regarder, à écouter pour la radio avec un personnel motivé et dynamique. Je suis sûr que c’est une nouvelle Rti qui va plaire aux Ivoiriens.
Malgré le climat apaisé et sain que vous venez d’évoquer, il semblerait que les relations entre vous et le Pca Pascal Brou Aka ne sont pas bonnes…
Je m’inscris en faux contre ces idées, contre ces informations. Puisqu’ il n’y a aucun brandon de discorde avec le Pca. Je peux sincèrement vous le dire, il n’y a aucun nuage. Tout à l’heure, vous avez vu qu’on était ensemble et on s’entend très bien. Les relations sont paisibles et fraternelles. Il n’y a aucun dossier qui nous oppose.
Et pourtant, après la retransmission en différé du match opposant le gouvernement à la Fif, votre limogeage a, selon certaines sources, été souhaité par le Pca. Qu’en est-il exactement ?
Ce sont des histoires. Il n’en est rien du tout. Nos relations sont bonnes. Nous sommes des jumeaux ; on travaille ensemble main dans la main comme un bon tandem.
Propos recueillis à Bouaké par Denis K.
Monsieur le directeur général, comment se porte la Rti ?
La Rti se porte mieux après plus de 8 mois de fonctionnement et après sa sortie de crise. Aujourd’hui, on peut dire que la Rti se porte un peu mieux. Les agents ont retrouvé leurs esprits et la maison aussi. Les agents sont au travail. Nous avons renoué avec l’esprit de travail et le professionnalisme. Nous avons aussi retrouvé les bonnes habitudes. Donc le climat interne, il est sain, il est même apaisé. Je peux même affirmer que la Rti se porte mieux au plan financier. Nous avons commencé de profondes réformes qui vont nous apporter satisfaction. Nous avons, au plan des ressources humaines, entrepris des réformes très profondes aussi qui prendront fin très bientôt. Avec toutes ces réformes aussi bien financières que des ressources humaines, nous pensons que la Rti, d’ici la fin de l’année, sera une nouvelle société qui sera rentable, agréable à regarder, à écouter pour la radio avec un personnel motivé et dynamique. Je suis sûr que c’est une nouvelle Rti qui va plaire aux Ivoiriens.
Malgré le climat apaisé et sain que vous venez d’évoquer, il semblerait que les relations entre vous et le Pca Pascal Brou Aka ne sont pas bonnes…
Je m’inscris en faux contre ces idées, contre ces informations. Puisqu’ il n’y a aucun brandon de discorde avec le Pca. Je peux sincèrement vous le dire, il n’y a aucun nuage. Tout à l’heure, vous avez vu qu’on était ensemble et on s’entend très bien. Les relations sont paisibles et fraternelles. Il n’y a aucun dossier qui nous oppose.
Et pourtant, après la retransmission en différé du match opposant le gouvernement à la Fif, votre limogeage a, selon certaines sources, été souhaité par le Pca. Qu’en est-il exactement ?
Ce sont des histoires. Il n’en est rien du tout. Nos relations sont bonnes. Nous sommes des jumeaux ; on travaille ensemble main dans la main comme un bon tandem.
Propos recueillis à Bouaké par Denis K.
