« Je peins mes rêves d’enfance et les réalités que je vis aujourd’hui en tant qu’adulte. Je montre un peu comment, dès le bas âge, on nourrit une ambition, et, une fois adulte, face à d’autres exigences de la vie, on oublie généralement de réaliser cette ambition ». C’est ce qu’a confié Pascal Konan, Grand Prix Guy Nairay 2009, lors du vernissage de son exposition baptisée « Nos plus belles années », récemment à la Galerie Sainte Cécile des Deux Plateaux-Les Vallons.
A travers une trentaine de tableaux, le jeune peintre, par le maniement des couleurs, des images et des motifs, fait une description de différentes étapes de sa vie. Selon Mimi Errol, le commissaire général de cette exposition, Pascal Konan «utilise, par exemple, de façon généreuse, des ombres pour mettre en valeur la couleur lumière, en vue de montrer son envie de sortir des vicissitudes de la vie.».
Thierry Dia, responsable de l’agence Houkami Guyzagn, a expliqué le contexte de cette exposition. « En 2010 et 2011, nous n’avons pas réussi à lui offrir cette occasion en raison de la crise. Mais aujourd’hui, c’est chose faite. Pascal Konan, c’est une rupture avec ce qu’on a déjà vu, c’est un talent nouveau qui vient de naître», a-t-il expliqué, avant d’inviter tous les élèves et étudiants plasticiens présents à travailler comme lui, s’il veulent s’arracher, eux aussi, le Grand Prix Guy Nairay.
Marcellin Boguy
A travers une trentaine de tableaux, le jeune peintre, par le maniement des couleurs, des images et des motifs, fait une description de différentes étapes de sa vie. Selon Mimi Errol, le commissaire général de cette exposition, Pascal Konan «utilise, par exemple, de façon généreuse, des ombres pour mettre en valeur la couleur lumière, en vue de montrer son envie de sortir des vicissitudes de la vie.».
Thierry Dia, responsable de l’agence Houkami Guyzagn, a expliqué le contexte de cette exposition. « En 2010 et 2011, nous n’avons pas réussi à lui offrir cette occasion en raison de la crise. Mais aujourd’hui, c’est chose faite. Pascal Konan, c’est une rupture avec ce qu’on a déjà vu, c’est un talent nouveau qui vient de naître», a-t-il expliqué, avant d’inviter tous les élèves et étudiants plasticiens présents à travailler comme lui, s’il veulent s’arracher, eux aussi, le Grand Prix Guy Nairay.
Marcellin Boguy
