Le Japon était à l’honneur avec son cinéma, du 2 au 3 mars 2012, au Cinéma La Fontaine de Sococé, à travers son Festival de film, à l’initiative de son ambassade à Abidjan, sous l’égide du ministère de la Culture et de la Francophonie.A tout seigneur tout honneur. Vers 19 h, c’est Okamura Yoshifumi, ambassadeur extraordinaire plénipotentiaire de la République du Japon à Abidjan qui a donné le ton de la petite fête: «Ce festival est un symbole de la reprise des liens de coopération culturelle entre la République du Japon et celle de Côte d’Ivoire», a-t-il indiqué, rappelant que l’événement est la deuxième d’envergure qu’organisait le Pays du Soleil Levant, après son tournoi de judo, en février dernier. «La culture est le miroir d’un pays. C’est plus qu’un moyen d’expression et de communication», a-t-il dit, soulignant «une place importante» qu’occupe le cinéma «dans la culture japonaise qui ne cesse d’évoluer en qualité et en créativité».
Quelques instants plus tard, le chef de la diplomatie japonaise invitait le public à découvrir l’unique projection de la soirée, «La femme de Villon». Un film de Negishi Kichitaro qui, selon lui, a été primé au Festival international de film de Montréal, au Canada, et retrace l’histoire d’un célèbre écrivain qui bascule dans la débauche (alcool, sexe) et de sa femme qui se débat pour le sauver de ce bourbier. Ce film, a indiqué Okamura Yoshifumi, «favorise la compréhension de l’histoire du Japon et de son cinéma au le demain de la fin de la 2ème guerre mondiale.
Côté ivoirien, Maurice Kouakou Bandaman, ministre de la Culture et de la Francophonie, a exprimé sa joie d’accueillir ce festival en Côte d’Ivoire, «une terre de culture», où plusieurs artistes africains de renommée mondiale ont pris leur envol. «Ce festival est une locomotive pour la relance du cinéma ivoirien», a-t-il ajouté, tout en prenant l’engagement, au nom de l’Etat ivoirien, de travailler dans ce sens en étroite collaboration avec le Japon.
Le lendemain samedi 3 mars, dans la matinée, le festival s’est poursuivi avec la projection du célèbre dessin animé, Doraëmon : le Dino de Nobita 2006» du mangaka Fujiko F. Fujio. Cette séance a été suivie d’un zoom sur la culture japonaise, en compagnie d’anciens boursiers ivoiriens au Pays du Soleil Levant.
«Hôtel Hibiscus» de Nakaé Yuji. C’est par cette œuvre projetée dans la soirée, de 13 h à 15 h, que le grand écran du Festival de film japonais cuvée 2012 s’est refermé.
S. A.
Quelques instants plus tard, le chef de la diplomatie japonaise invitait le public à découvrir l’unique projection de la soirée, «La femme de Villon». Un film de Negishi Kichitaro qui, selon lui, a été primé au Festival international de film de Montréal, au Canada, et retrace l’histoire d’un célèbre écrivain qui bascule dans la débauche (alcool, sexe) et de sa femme qui se débat pour le sauver de ce bourbier. Ce film, a indiqué Okamura Yoshifumi, «favorise la compréhension de l’histoire du Japon et de son cinéma au le demain de la fin de la 2ème guerre mondiale.
Côté ivoirien, Maurice Kouakou Bandaman, ministre de la Culture et de la Francophonie, a exprimé sa joie d’accueillir ce festival en Côte d’Ivoire, «une terre de culture», où plusieurs artistes africains de renommée mondiale ont pris leur envol. «Ce festival est une locomotive pour la relance du cinéma ivoirien», a-t-il ajouté, tout en prenant l’engagement, au nom de l’Etat ivoirien, de travailler dans ce sens en étroite collaboration avec le Japon.
Le lendemain samedi 3 mars, dans la matinée, le festival s’est poursuivi avec la projection du célèbre dessin animé, Doraëmon : le Dino de Nobita 2006» du mangaka Fujiko F. Fujio. Cette séance a été suivie d’un zoom sur la culture japonaise, en compagnie d’anciens boursiers ivoiriens au Pays du Soleil Levant.
«Hôtel Hibiscus» de Nakaé Yuji. C’est par cette œuvre projetée dans la soirée, de 13 h à 15 h, que le grand écran du Festival de film japonais cuvée 2012 s’est refermé.
S. A.