Sale temps actuellement pour Kéipo Marius, plus connu sous le nom de professeur Petit Marteau. Depuis le lundi 5 mars, le mystique-visionnaire est entre les mains de la police.
Précisément au District de police de Yopougon. En attendant d’être mis à la disposition de la commission d’enquête, pour être situé sur son sort. Comment Petit Marteau s’est-il retrouvé derrière les barreaux ? De source policière, c’est de la Brigade anti-émeute (Bae) de Yopougon qu’il a été transféré au District de police. Selon un officier de police qui a requis l’anonymat, « le mystique-visionnaire, qui prenait un pot dans un maquis, a eu la vie sauve grâce à un élément des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) qui l’a exfiltré d’une foule qui voulait le braiser ». Pour quelles raisons ? Selon notre informateur, « plusieurs familles habitant le quartier Maroc de Yopougon, où vivait également Kéipo Marius avant de déménager pour la Riviera II, ont soutenu qu’il a entretenu et nourri les miliciens pro-Gbagbo pendant la crise postélectorale ». Avant de nous faire remarquer que, « c’est pour venger, selon eux, leurs parents qui ont été assassinés sous désignation du mystique-visionnaire».
Vrai ou faux ? Toujours est-il que, notre source rapporte que plusieurs parents des victimes sont disposés à témoigner et donner les preuves de l’implication de Petit Marteau dans le meurtre des leurs. Du côté du mystique, l’on crie au complot. Joint, son chargé de communisation a expliqué que « dès l’éclatement de la crise, recherché par ses détracteurs, le professeur Petit Marteau s’est aussitôt exilé au Ghana », et de préciser « qu’il ne pouvait donc pas prendre part aux hostilités, encore moins soutenir un quelconque groupe ». Ce sont pour toutes ces raisons qu’il pense que « certaines personnes de mauvaise foi veulent détruire le mystique-visionnaire qui ne veut plus se mêler de politique ». Affaire à suivre.
JULES CESAR
Précisément au District de police de Yopougon. En attendant d’être mis à la disposition de la commission d’enquête, pour être situé sur son sort. Comment Petit Marteau s’est-il retrouvé derrière les barreaux ? De source policière, c’est de la Brigade anti-émeute (Bae) de Yopougon qu’il a été transféré au District de police. Selon un officier de police qui a requis l’anonymat, « le mystique-visionnaire, qui prenait un pot dans un maquis, a eu la vie sauve grâce à un élément des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (Frci) qui l’a exfiltré d’une foule qui voulait le braiser ». Pour quelles raisons ? Selon notre informateur, « plusieurs familles habitant le quartier Maroc de Yopougon, où vivait également Kéipo Marius avant de déménager pour la Riviera II, ont soutenu qu’il a entretenu et nourri les miliciens pro-Gbagbo pendant la crise postélectorale ». Avant de nous faire remarquer que, « c’est pour venger, selon eux, leurs parents qui ont été assassinés sous désignation du mystique-visionnaire».
Vrai ou faux ? Toujours est-il que, notre source rapporte que plusieurs parents des victimes sont disposés à témoigner et donner les preuves de l’implication de Petit Marteau dans le meurtre des leurs. Du côté du mystique, l’on crie au complot. Joint, son chargé de communisation a expliqué que « dès l’éclatement de la crise, recherché par ses détracteurs, le professeur Petit Marteau s’est aussitôt exilé au Ghana », et de préciser « qu’il ne pouvait donc pas prendre part aux hostilités, encore moins soutenir un quelconque groupe ». Ce sont pour toutes ces raisons qu’il pense que « certaines personnes de mauvaise foi veulent détruire le mystique-visionnaire qui ne veut plus se mêler de politique ». Affaire à suivre.
JULES CESAR
