Bouaflé – La journée internationale de la femme a été célébrée jeudi, à Bouaflé, dans une ferveur populaire avec à la clé un défilé et une distinction de plusieurs femmes par les autorités administratives.
Cette journée, sur le thème "le rôle de la femme rurale dans l’éradication de la pauvreté", vise à faire prendre conscience à la communauté nationale des problèmes que vivent les femmes, afin de susciter la mobilisation de tous pour la recherche d’une solution durable.
Le préfet de Bouaflé, Alliali Kouadio, a indiqué que la femme doit être célébrée tous les jours à cause du rôle important qu’elle joue dans la société. Il s’est félicité de la présence des femmes dans tous les secteurs d’activités.
S’adressant à la gent féminine présente au centre culturel Henri Konan Bédié, le directeur de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, N’Goran Alexis, a fait savoir que la célébration de cette journée est une occasion pour rendre hommage à toutes les femmes, victimes souvent de vols, de viols et de brimades mais qui restent toujours courageuses devant l’adversité.
N’Goran Alexis a déploré le nombre élevé de femmes rurales qui ignorent encore l’existence ou le sens de cette fête qui leur est dédié chaque année, avant d’ajouter que seul le travail des femmes permettra de reconnaitre leur droit et la place qui leur sied dans la société.
Quant à la marraine de la cérémonie, Loukou Judith, elle a rendu hommage aux femmes exerçant dans le secteur du vivrier qui crée des emplois, contribuant ainsi à la lutte contre la pauvreté et la faim dans le pays.
"L’autosuffisance alimentaire passe par ces femmes du vivrier qui demande des conditions de travail moins pénibles", a-t-elle souligné.
La cérémonie a été ponctuée d’un débat portant sur des sous-thèmes comme le rôle de la femme rurale dans l’éradication de la pauvreté et la question du quota des femmes dans les institutions de la République.
(AIP)
Zaar/kp
Cette journée, sur le thème "le rôle de la femme rurale dans l’éradication de la pauvreté", vise à faire prendre conscience à la communauté nationale des problèmes que vivent les femmes, afin de susciter la mobilisation de tous pour la recherche d’une solution durable.
Le préfet de Bouaflé, Alliali Kouadio, a indiqué que la femme doit être célébrée tous les jours à cause du rôle important qu’elle joue dans la société. Il s’est félicité de la présence des femmes dans tous les secteurs d’activités.
S’adressant à la gent féminine présente au centre culturel Henri Konan Bédié, le directeur de la Famille, de la Femme et de l’Enfant, N’Goran Alexis, a fait savoir que la célébration de cette journée est une occasion pour rendre hommage à toutes les femmes, victimes souvent de vols, de viols et de brimades mais qui restent toujours courageuses devant l’adversité.
N’Goran Alexis a déploré le nombre élevé de femmes rurales qui ignorent encore l’existence ou le sens de cette fête qui leur est dédié chaque année, avant d’ajouter que seul le travail des femmes permettra de reconnaitre leur droit et la place qui leur sied dans la société.
Quant à la marraine de la cérémonie, Loukou Judith, elle a rendu hommage aux femmes exerçant dans le secteur du vivrier qui crée des emplois, contribuant ainsi à la lutte contre la pauvreté et la faim dans le pays.
"L’autosuffisance alimentaire passe par ces femmes du vivrier qui demande des conditions de travail moins pénibles", a-t-elle souligné.
La cérémonie a été ponctuée d’un débat portant sur des sous-thèmes comme le rôle de la femme rurale dans l’éradication de la pauvreté et la question du quota des femmes dans les institutions de la République.
(AIP)
Zaar/kp