Du 05 au 10 mars 2012, une délégation du Secrétariat National à la Reconstruction et à la Réinsertion(SNRR) conduite par le Secrétaire National Koné Mamadou s’est rendue au Brésil. L’objectif premier pour le SNRR était de s’inspirer du modèle brésilien pour mettre en chantier de projets et programmes de réinsertion comme, par exemple, les Centre de Formation en Réinsertion (CFR). Au-delà, cette mission lui a permis de sonder les rouages institutionnels qui ont fait et continuent de faire la réussite de ce géant du sous continent sud américain.
Enrichissante ! C’est ainsi que l’on peut qualifier cette mission du SNRR au Brésil. Un moment singulier pour s’imprégner des expériences d’un pays de l’hémisphère sud qui a su se hisser au rang des vingt (20) premières puissances du monde.
Marquée par les rencontres avec les structures techniques tant publiques que privées, puis la visite de terrain, cette mission ouvre des perspectives immenses en matière de coopération agricole, technique et industrielle. Spécifiquement, elle pourra servir de levier à la politique de reconstruction et de réinsertion, qui, somme toute, est le creuset indispensable pour lutter efficacement contre la pauvreté dans un pays comme la Côte d’Ivoire qui sort à peine d’une crise aux effets désastreux sur les conditions de vie des populations.
Le Ministre Koné Mamadou a, sans cesse, fait cette supplique : « nous voulons savoir quelles sont les politiques et les moyens dont nous pouvons bénéficier auprès du Brésil pour une reconstruction et une réinsertion durables dans notre pays». La réponse, côté brésilien, est sans équivoque. Pays comparable à divers égards à la Côte d’Ivoire, notamment pour sa biodiversité et son agriculture très variée, le Brésil n’en est pas moins une puissance mondiale émergente grâce à une politique d’industrialisation accrue et une politique sociale dynamique qui garantit un accès équitable à la formation et aux services de santé. Un succès fondé sur une rigueur institutionnelle et des mécanismes efficaces de lutte contre la pauvreté que le pays de Lula se propose de partager avec notre pays. Le Brésil est disposé à encadrer le SNRR, aider notre pays à développer le secteur des PME-PMI et propose même de former des ivoiriens à des programmes spécifiques de réinsertion.
Ces résolutions sont le fruit des séances de travail avec un nombre non négligeable d’institutions telles que le Ministère de l’Agriculture, le Ministère du Développement Agraire, le Ministère du Développement Social, le Ministère de la Santé, le Ministère de la Défense, le Ministère des Sports, le Secrétariat des Affaire Stratégiques, l’Agence Brésilienne de Coopération (ABC), la division internationale du Service Brésilien d’Appui aux Petites et Moyennes Entreprises (SEBRAE), le Service National d’Apprentissage Industriel (SENAI), l’Institution de l’Entrepreneuriat (IEL), la Confédération Nationale industrielle (CNI).
En vue de toucher de manière concrète certaines réalités brésiliennes, la délégation ivoirienne a effectué une visite de terrain organisée par EMATER, une structure sous tutelle des Ministères de l’Agriculture et du Développement Agraire. Elle est spécialisée dans la formation, l’assistance technique et l’encadrement des jeunes issus de familles habitant les zones rurales ou vivant eux-mêmes en zone rurale. A TABATINGA , localité située à 50 Km de BRASILIA où la mission s’est rendue , sont conçus et mis en œuvre des programmes de formation et d’installation d’agriculteurs individuels ou de coopératives dans les petits métiers tels que la transformation de produits agricoles divers en produits semi manufacturés, comme, par exemple, la transformation du tronc de bananier en feuille de papier à usage multiple.
En attendant de passer à une phase active de la coopération, il a été demandé à la délégation de formuler des requêtes à l’intention de l’Agence Brésilienne de Coopération (ABC), seul organe habilité à signer des partenariats avec les pays étrangers.
S/D de la COM SNRR
Enrichissante ! C’est ainsi que l’on peut qualifier cette mission du SNRR au Brésil. Un moment singulier pour s’imprégner des expériences d’un pays de l’hémisphère sud qui a su se hisser au rang des vingt (20) premières puissances du monde.
Marquée par les rencontres avec les structures techniques tant publiques que privées, puis la visite de terrain, cette mission ouvre des perspectives immenses en matière de coopération agricole, technique et industrielle. Spécifiquement, elle pourra servir de levier à la politique de reconstruction et de réinsertion, qui, somme toute, est le creuset indispensable pour lutter efficacement contre la pauvreté dans un pays comme la Côte d’Ivoire qui sort à peine d’une crise aux effets désastreux sur les conditions de vie des populations.
Le Ministre Koné Mamadou a, sans cesse, fait cette supplique : « nous voulons savoir quelles sont les politiques et les moyens dont nous pouvons bénéficier auprès du Brésil pour une reconstruction et une réinsertion durables dans notre pays». La réponse, côté brésilien, est sans équivoque. Pays comparable à divers égards à la Côte d’Ivoire, notamment pour sa biodiversité et son agriculture très variée, le Brésil n’en est pas moins une puissance mondiale émergente grâce à une politique d’industrialisation accrue et une politique sociale dynamique qui garantit un accès équitable à la formation et aux services de santé. Un succès fondé sur une rigueur institutionnelle et des mécanismes efficaces de lutte contre la pauvreté que le pays de Lula se propose de partager avec notre pays. Le Brésil est disposé à encadrer le SNRR, aider notre pays à développer le secteur des PME-PMI et propose même de former des ivoiriens à des programmes spécifiques de réinsertion.
Ces résolutions sont le fruit des séances de travail avec un nombre non négligeable d’institutions telles que le Ministère de l’Agriculture, le Ministère du Développement Agraire, le Ministère du Développement Social, le Ministère de la Santé, le Ministère de la Défense, le Ministère des Sports, le Secrétariat des Affaire Stratégiques, l’Agence Brésilienne de Coopération (ABC), la division internationale du Service Brésilien d’Appui aux Petites et Moyennes Entreprises (SEBRAE), le Service National d’Apprentissage Industriel (SENAI), l’Institution de l’Entrepreneuriat (IEL), la Confédération Nationale industrielle (CNI).
En vue de toucher de manière concrète certaines réalités brésiliennes, la délégation ivoirienne a effectué une visite de terrain organisée par EMATER, une structure sous tutelle des Ministères de l’Agriculture et du Développement Agraire. Elle est spécialisée dans la formation, l’assistance technique et l’encadrement des jeunes issus de familles habitant les zones rurales ou vivant eux-mêmes en zone rurale. A TABATINGA , localité située à 50 Km de BRASILIA où la mission s’est rendue , sont conçus et mis en œuvre des programmes de formation et d’installation d’agriculteurs individuels ou de coopératives dans les petits métiers tels que la transformation de produits agricoles divers en produits semi manufacturés, comme, par exemple, la transformation du tronc de bananier en feuille de papier à usage multiple.
En attendant de passer à une phase active de la coopération, il a été demandé à la délégation de formuler des requêtes à l’intention de l’Agence Brésilienne de Coopération (ABC), seul organe habilité à signer des partenariats avec les pays étrangers.
S/D de la COM SNRR
