Yamoussoukro - La section locale de la Ligue ivoirienne des droits de l'homme (Lidho) et le bureau régional de l’International Rescue Committee (IRC) ont organisé, samedi, à la sous-préfecture de Yamoussoukro, une journée sur les violences basées sur le genre (VBG), en vue d’informer et instruire les populations sur leurs droits élémentaires.
Cette journée, selon Djè Koffi, président de la section de la Lidho à Yamoussoukro, a pour but de vulgariser les différentes formes de violences basées sur le genre et d’expliquer comment améliorer la prise en charge juridique des victimes, mais aussi d’instruire les populations victimes des VBG sur leurs droits élémentaires.
Selon Djè Koffi, sa structure et l’ONG internationale IRC ont mis en place un programme pour des visites dans des localités, afin de toucher de plus près les réalités des VBG.
L’opération démarre donc avec la ville de Yamoussoukro et huit villages du district sanitaire.
Le secrétaire général de la section locale de la Lidho, M. Konan Kacou Jean-Baptiste, a demandé à tout un chacun de considérer les violences faites aux femmes comme "un crime qui se produit malheureusement chaque jour".
A la fin de cette journée, un rapport de projet contenant des propositions faites aux gouvernants a été distribué par le président Djè Koffi aux autorités administratives, politiques, religieuses et communautaires, en vue d’améliorer la prise en charge juridiques des victimes des VBG.
Cette journée, selon Djè Koffi, président de la section de la Lidho à Yamoussoukro, a pour but de vulgariser les différentes formes de violences basées sur le genre et d’expliquer comment améliorer la prise en charge juridique des victimes, mais aussi d’instruire les populations victimes des VBG sur leurs droits élémentaires.
Selon Djè Koffi, sa structure et l’ONG internationale IRC ont mis en place un programme pour des visites dans des localités, afin de toucher de plus près les réalités des VBG.
L’opération démarre donc avec la ville de Yamoussoukro et huit villages du district sanitaire.
Le secrétaire général de la section locale de la Lidho, M. Konan Kacou Jean-Baptiste, a demandé à tout un chacun de considérer les violences faites aux femmes comme "un crime qui se produit malheureusement chaque jour".
A la fin de cette journée, un rapport de projet contenant des propositions faites aux gouvernants a été distribué par le président Djè Koffi aux autorités administratives, politiques, religieuses et communautaires, en vue d’améliorer la prise en charge juridiques des victimes des VBG.
