Au total 194 personnes, toutes proches de l'ex-président Laurent Gbagbo, ont été inculpées par la justice ivoirienne pour diverses infractions commises lors de la crise post-électorale, selon un communiqué du parquet d'Abidjan publié vendredi.
"A ce jour, 24 personnes ont été inculpées dont 12 sont en détention préventive et 12 en liberté provisoire", au chapitre des "infractions économiques", notamment des chefs d'accusation de vol en réunion, à mains armées commis avec violences et effractions, de détournement de deniers publics, concussions, atteinte à l'économie publique, pillage et complicité, indique le communiqué signé du porte-parole du parquet, Coulibaly Habiba, substitut du procureur de la République.
Selon le texte, 20 mandats d'arrêt internationaux ont été émis auprès des 14 autres pays membres de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) mais également auprès d'autres pays d'Afrique, d'Europe, d'Amérique et d'Asie.
Sur les infractions relatives à la "sûreté de l'Etat", "à ce jour, 68 personnes sont inculpées dont 43 placées en détention préventive", indique le communiqué.
Ces personnes sont poursuivies pour "des faits d'atteinte à la défense nationale, attentat ou complet contre l'autorité de l'Etat, constitution de bandes armées ou participation à une bande armée, participation à un mouvement insurrectionnel, atteinte à l'ordre public, coalition de fonctionnaires, rébellion, usurpation de fonction, tribalisme et xénophobie".
Concernant les "crimes de sang", à ce jour "71 personnes" dont l'ex Première dame, Simone Gbagbo, ont été inculpées.
"Quarante-six de ces inculpés sont en détention préventive" et les autres en liberté provisoire, ajoute le communiqué.
L'ex président Laurent Gbagbo a été transféré devant la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye où il est suspecté de " crimes de guerre et de crimes contre l'humanité".
En outre, 31 personnes ont été inculpées pour diverses autres infractions dont l'assassinat d'un ressortissant français et de ses collaborateurs et de l'assassinat d'un colonel ivoirien à la retraite.
Au moins 3.000 personnes ont été tuées lors des affrontements post-électoraux, selon les autorités ivoiriennes.
"A ce jour, 24 personnes ont été inculpées dont 12 sont en détention préventive et 12 en liberté provisoire", au chapitre des "infractions économiques", notamment des chefs d'accusation de vol en réunion, à mains armées commis avec violences et effractions, de détournement de deniers publics, concussions, atteinte à l'économie publique, pillage et complicité, indique le communiqué signé du porte-parole du parquet, Coulibaly Habiba, substitut du procureur de la République.
Selon le texte, 20 mandats d'arrêt internationaux ont été émis auprès des 14 autres pays membres de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) mais également auprès d'autres pays d'Afrique, d'Europe, d'Amérique et d'Asie.
Sur les infractions relatives à la "sûreté de l'Etat", "à ce jour, 68 personnes sont inculpées dont 43 placées en détention préventive", indique le communiqué.
Ces personnes sont poursuivies pour "des faits d'atteinte à la défense nationale, attentat ou complet contre l'autorité de l'Etat, constitution de bandes armées ou participation à une bande armée, participation à un mouvement insurrectionnel, atteinte à l'ordre public, coalition de fonctionnaires, rébellion, usurpation de fonction, tribalisme et xénophobie".
Concernant les "crimes de sang", à ce jour "71 personnes" dont l'ex Première dame, Simone Gbagbo, ont été inculpées.
"Quarante-six de ces inculpés sont en détention préventive" et les autres en liberté provisoire, ajoute le communiqué.
L'ex président Laurent Gbagbo a été transféré devant la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye où il est suspecté de " crimes de guerre et de crimes contre l'humanité".
En outre, 31 personnes ont été inculpées pour diverses autres infractions dont l'assassinat d'un ressortissant français et de ses collaborateurs et de l'assassinat d'un colonel ivoirien à la retraite.
Au moins 3.000 personnes ont été tuées lors des affrontements post-électoraux, selon les autorités ivoiriennes.