Le Conseil d’administration du Centre international de recherches-développement sur l’élevage en zone subhumide (Cirdes) a tenu, le 30 mars à Bobo-Dioulasso, sa 12ème session ordinaire.
Le ministre des Ressources animales et Halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani, et ses collègues du Burkina Faso, du Niger et du Togo ont présidé les travaux de la 12ème session ordinaire du Conseil d’administration du centre international recherches -développement sur l’élevage en zone subhumide(Cirdes), vendredi dernier, à Bobo-Dioulasso, au Burkina-Faso. Pour Kobenan Adjoumani, la Côte d’Ivoire, en acceptant de participer à cette rencontre signe son grand retour. Il a salué le travail qui a été abattu dans ce centre. « Le Cirdes ne dispose pas d’assez de moyens, mais avec le minimum, il a fait un travail important. Aujourd’hui, notre objectif c’est de faire en sorte qu’il puisse disposer de grands moyens. Et nous allons y travailler. D’ailleurs, nous avons donné l’assurance à la directrice générale qui est issue de notre pays, la Côte d’Ivoire. Nous avons vu le travail qu’elle a fait en si peu de temps», s’est réjouit le ministre des Ressources animales et Halieutiques. Mme Yapi Gnaoré Valentine, directrice du Cirdes, a plaidé pour le renforcement de la coopération de son institution avec l’Uemoa. Le Pca du Cirdes, le ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche du Togo, Kossi Messan Ewovor et ses paires de la Côte d’Ivoire, du Niger et du Burkina Faso se sont engagés pour donner une nouvelle dynamique à leur institution. «Le Cirdes est une institution qui fait un travail de qualité. Tout en remerciant nos partenaires traditionnels que sont l’Uemoa, l’UE… pour leur appui, nous lançons un appel à tous les partenaires techniques pour qu’au moment où nos dirigeantsafricainsprennentla résolution de se consacrer à l’agriculture, à travers les programmes nationauxd’investissement,des financements nous accompagnent», a plaidé le ministre togolais. Le Cirdes, créé en 1991, regroupe sept (7) pays de l’Afrique de l’Ouest que sont le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée Bissau, le Mali, le Niger et le Togo.
Il a pour mission de conduire des recherches et d’en vulgariser les résultats, pour répondre aux préoccupations liées principalement à la santé et à la production animales du monde rural de ses pays membres. Le centre intervient principalement dans le domaine du contrôle stratégique des maladies animales (trypanosomiases africaines animales ou humaines, maladies transmissibles par les tiques) de la préservation de la biodiversité animale et environnementale, et de la gestion durable intégrée des ressources agro-sylvo-pastorales.
BENJAMIN.SORO
Sve com du Mirah
Le ministre des Ressources animales et Halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani, et ses collègues du Burkina Faso, du Niger et du Togo ont présidé les travaux de la 12ème session ordinaire du Conseil d’administration du centre international recherches -développement sur l’élevage en zone subhumide(Cirdes), vendredi dernier, à Bobo-Dioulasso, au Burkina-Faso. Pour Kobenan Adjoumani, la Côte d’Ivoire, en acceptant de participer à cette rencontre signe son grand retour. Il a salué le travail qui a été abattu dans ce centre. « Le Cirdes ne dispose pas d’assez de moyens, mais avec le minimum, il a fait un travail important. Aujourd’hui, notre objectif c’est de faire en sorte qu’il puisse disposer de grands moyens. Et nous allons y travailler. D’ailleurs, nous avons donné l’assurance à la directrice générale qui est issue de notre pays, la Côte d’Ivoire. Nous avons vu le travail qu’elle a fait en si peu de temps», s’est réjouit le ministre des Ressources animales et Halieutiques. Mme Yapi Gnaoré Valentine, directrice du Cirdes, a plaidé pour le renforcement de la coopération de son institution avec l’Uemoa. Le Pca du Cirdes, le ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche du Togo, Kossi Messan Ewovor et ses paires de la Côte d’Ivoire, du Niger et du Burkina Faso se sont engagés pour donner une nouvelle dynamique à leur institution. «Le Cirdes est une institution qui fait un travail de qualité. Tout en remerciant nos partenaires traditionnels que sont l’Uemoa, l’UE… pour leur appui, nous lançons un appel à tous les partenaires techniques pour qu’au moment où nos dirigeantsafricainsprennentla résolution de se consacrer à l’agriculture, à travers les programmes nationauxd’investissement,des financements nous accompagnent», a plaidé le ministre togolais. Le Cirdes, créé en 1991, regroupe sept (7) pays de l’Afrique de l’Ouest que sont le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée Bissau, le Mali, le Niger et le Togo.
Il a pour mission de conduire des recherches et d’en vulgariser les résultats, pour répondre aux préoccupations liées principalement à la santé et à la production animales du monde rural de ses pays membres. Le centre intervient principalement dans le domaine du contrôle stratégique des maladies animales (trypanosomiases africaines animales ou humaines, maladies transmissibles par les tiques) de la préservation de la biodiversité animale et environnementale, et de la gestion durable intégrée des ressources agro-sylvo-pastorales.
BENJAMIN.SORO
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