Les femmes de Yamoussoukro ont mis en place un réseau pour promouvoir le développement durable et la paix.
La conseillère du chef de l’Etat pour les affaires sociales a investi samedi à Yamoussoukro le Réseau des femmes actives pour la paix et le développement durable de Côte d’Ivoire (Rafpadci). Mme Jeanne Peuhmond a vanté la politique d’aide du chef de l’Etat en faveur de celles qui décident de mener des activités lucratives. « Si vous ne l’aviez pas mis au pouvoir, il ne montrerait pas au monde entier de quoi il est capable. Mais la seule chose qu’on vous demande, c’est d’être dévouée. Il faut montrer votre talent et votre compétence pour qu’on vous vienne en aide. Le président est prêt à vous aider», a-t-elle rassuré. L’ancien ministre a invité les membres du Rafpadci à cultiver l’esprit d’union et à œuvrer pour la paix. «L’union fait la force, il faut vous mettre ensemble, car c’est vous qui devrez faire comprendre à vos maris et vos enfants le sens de la cohésion sociale et de la paix sans laquelle il ne peut y avoir de vrai développement », a-t-elle exhorté. Jeanne Peuhmond a donné les objectifs de cette structure.
Selon N’Da Adjoua Suzanne, ce sont les femmes qui peuvent panser les cœurs meurtris en faisant des séances de formation et de sensibilisation, pour aboutir à une paix durable. Le Réseau n’a pas oublié de mettre en place une politique d’alphabétisation pour instruire les femmes qui ne savent ni lire ni écrire. « Nous avons mis en place cette politique pour aider les femmes à s’exprimer et se positionner dans la vie active. C’est pour cela que nous sommes un réseau. Les femmes d’autres associations peuvent toujours venir ; nous existons pour la paix et le développement, en faisant des activités génératrices de revenus, avec soit le commerce, soit la culture des vivriers, la couture, la coiffure ou la maçonnerie», a-t-elle clarifié. Pour elle, cette organisation veut jouer sa partition dans la création de richesses. « Nous ne voulons plus voir nos maris souffrir, ni nos enfants mendier. Il est temps pour la femme de se mettre débout pour dire non à la guerre et oui à la paix, à la cohésion sociale et à la réconciliation», a-t-elle dit.
Hortense Kouamé Lou,
Correspondante régionale
La conseillère du chef de l’Etat pour les affaires sociales a investi samedi à Yamoussoukro le Réseau des femmes actives pour la paix et le développement durable de Côte d’Ivoire (Rafpadci). Mme Jeanne Peuhmond a vanté la politique d’aide du chef de l’Etat en faveur de celles qui décident de mener des activités lucratives. « Si vous ne l’aviez pas mis au pouvoir, il ne montrerait pas au monde entier de quoi il est capable. Mais la seule chose qu’on vous demande, c’est d’être dévouée. Il faut montrer votre talent et votre compétence pour qu’on vous vienne en aide. Le président est prêt à vous aider», a-t-elle rassuré. L’ancien ministre a invité les membres du Rafpadci à cultiver l’esprit d’union et à œuvrer pour la paix. «L’union fait la force, il faut vous mettre ensemble, car c’est vous qui devrez faire comprendre à vos maris et vos enfants le sens de la cohésion sociale et de la paix sans laquelle il ne peut y avoir de vrai développement », a-t-elle exhorté. Jeanne Peuhmond a donné les objectifs de cette structure.
Selon N’Da Adjoua Suzanne, ce sont les femmes qui peuvent panser les cœurs meurtris en faisant des séances de formation et de sensibilisation, pour aboutir à une paix durable. Le Réseau n’a pas oublié de mettre en place une politique d’alphabétisation pour instruire les femmes qui ne savent ni lire ni écrire. « Nous avons mis en place cette politique pour aider les femmes à s’exprimer et se positionner dans la vie active. C’est pour cela que nous sommes un réseau. Les femmes d’autres associations peuvent toujours venir ; nous existons pour la paix et le développement, en faisant des activités génératrices de revenus, avec soit le commerce, soit la culture des vivriers, la couture, la coiffure ou la maçonnerie», a-t-elle clarifié. Pour elle, cette organisation veut jouer sa partition dans la création de richesses. « Nous ne voulons plus voir nos maris souffrir, ni nos enfants mendier. Il est temps pour la femme de se mettre débout pour dire non à la guerre et oui à la paix, à la cohésion sociale et à la réconciliation», a-t-elle dit.
Hortense Kouamé Lou,
Correspondante régionale