Yamoussoukro – La ministre de l’Education nationale, Kandia Camara Kamissoko, présidant l’ouverture des assises du 22ème congrès ordinaire du Syndicat national des enseignants du second degré de Côte d’Ivoire (SYNESCI), lundi,au Cafop de Yamoussoukro, a rassuré les enseignants sur l’application des accords signés en 2009 avec l’Etat de Côte d’Ivoire, concernant leurs revendications.
Ce congrès qui se tient de lundi à mercredi autour du thème « La réconciliation et la reconstruction passent par les enseignants » verra, à terme, l’élection d’un nouveau secrétaire général devant succéder à Soro Mamadou qui a eu deux mandats consécutifs.
Dans son adresse, Soro Mamadou a relaté les péripéties de la lutte syndicale et de la crise ivoirienne mais aussi les acquis. Puis il a rappelé les exigences des enseignants, notamment le paiement effectif de la deuxième moitié des effets financiers du reclassement, la prise en charge par l’Etat des ‘’VRD’’ de l’opération immobilière ‘’Sophia’’, l’application intégrale du profil de carrière, de meilleures conditions de travail. Il a souhaité que tout cela se concrétise cette année.
Toutes choses pour lesquelles la ministre de l’Education nationale a dit que des dispositions urgentes sont en train d’être prises. "Sur ces points, je puis vous assurer que le gouvernement, sous l’impulsion du Président de la République, a pris les devants et travaille durement à y trouver une solution globale et diligente", a-t-elle annoncé.
Par ailleurs elle a exprimé sa joie de voir des syndicats d’enseignants nationaux venus soutenir le SYNESCI, ainsi que ceux du Togo, du Tchad, du Niger, du Burkina Faso venus soutenir et s’inspirer de l’expérience du Syndicat invoirien. Elle s’est surtout réjouie de la présence du Secrétaire général (SG) de l’Internationale de l’Education (IE), le nNerlandais Fred Van Leeuwen dont la structure apporte solidarité et réconfort aux syndicats d’enseignants africains.
Selon Fred Van Leeuwen, ce 22ème congrès du SYNESCI, « après une crise qui a mis à sang toute la Côte d’Ivoire, doit être un congrès de réconciliation et de reconstruction véritablement ». Il a promis la solidarité de cette structure aux enseignants ivoiriens, tout en plaidant pour de meilleures conditions salariales et de travail pour eux.
(AIP)
Ce congrès qui se tient de lundi à mercredi autour du thème « La réconciliation et la reconstruction passent par les enseignants » verra, à terme, l’élection d’un nouveau secrétaire général devant succéder à Soro Mamadou qui a eu deux mandats consécutifs.
Dans son adresse, Soro Mamadou a relaté les péripéties de la lutte syndicale et de la crise ivoirienne mais aussi les acquis. Puis il a rappelé les exigences des enseignants, notamment le paiement effectif de la deuxième moitié des effets financiers du reclassement, la prise en charge par l’Etat des ‘’VRD’’ de l’opération immobilière ‘’Sophia’’, l’application intégrale du profil de carrière, de meilleures conditions de travail. Il a souhaité que tout cela se concrétise cette année.
Toutes choses pour lesquelles la ministre de l’Education nationale a dit que des dispositions urgentes sont en train d’être prises. "Sur ces points, je puis vous assurer que le gouvernement, sous l’impulsion du Président de la République, a pris les devants et travaille durement à y trouver une solution globale et diligente", a-t-elle annoncé.
Par ailleurs elle a exprimé sa joie de voir des syndicats d’enseignants nationaux venus soutenir le SYNESCI, ainsi que ceux du Togo, du Tchad, du Niger, du Burkina Faso venus soutenir et s’inspirer de l’expérience du Syndicat invoirien. Elle s’est surtout réjouie de la présence du Secrétaire général (SG) de l’Internationale de l’Education (IE), le nNerlandais Fred Van Leeuwen dont la structure apporte solidarité et réconfort aux syndicats d’enseignants africains.
Selon Fred Van Leeuwen, ce 22ème congrès du SYNESCI, « après une crise qui a mis à sang toute la Côte d’Ivoire, doit être un congrès de réconciliation et de reconstruction véritablement ». Il a promis la solidarité de cette structure aux enseignants ivoiriens, tout en plaidant pour de meilleures conditions salariales et de travail pour eux.
(AIP)
