En 1988, Jess Sah Bi et Peter One étaient les chanteurs ivoiriens, les plus populaires. Ils étaient très doués en ‘’Country- music’’. Et à chaque spectacle, Peter One et Jess Sah Bi faisaient salle comble. Ils aimaient particulièrement les concerts. Mais aussi, ils étaient invités aux galas organisés par Madame Houphouët Thérèse Brou, présidente de l’Ong « Ndaya ».
En 1988, Peter One et Jess Sah Bi étaient au sommet de leur « métier », invités par Félix Houphouët-Boigny, pendant le sommet de la Cedeao à Yamoussoukro. Jess Sah Bi et Peter One…c’était eux ou rien. Tout simplement les jeunes à l’époque étaient « fous » de Country-music. Quelle audience ! Jess Sah Bi et Peter One décidaient à vendre leur image de musiciens populaires sérieux et particulièrement professionnels du rythme country-music. Le duo ivoirien affronte le public togolais, béninois, maliens, guinéen dans des soirées enthousiastes. Jess Sah Bi et Peter One avaient une particularité. Ils se produisaient toujours en spectacle, accompagnés d’un orchestre. J’avais vu à plusieurs reprises le talentueux guitariste N’Guessan Santa apporter son expérience d’un registre extraordinaire, au duo Jess Sah Bi-Peter One aux voix langoureuses qui touchaient le cœur des amoureux de ‘’Country-music’’. Hors micro, Jess Sah Bi et Peter One étaient très polis. Et moi, j’étais le voisin du quartier à Williamsville. Jess Sah Bi, dessinateur de presse et Peter One professeur d’Anglais nous passions quelques moments de détente ensemble. Ils aimaient fredonner la mélodie connue de leur répertoire : «Clipo clipo». Jess Sah Bi et Peter One avaient des chansons dans lesquelles ils partageaient leurs sentiments en vous laissant des empreintes très fortes dans la mémoire. Surtout la chanson «Apartheid», le régime de gouvernance sud-africaine, à l’époque. En 1988, Jess Sah Bi et Peter One «explosaient» les ondes de la Radio Côte d’Ivoire et de tous les classements musicaux établis par la presse et les magazines spécialisés.
Ben Ismaël
En 1988, Peter One et Jess Sah Bi étaient au sommet de leur « métier », invités par Félix Houphouët-Boigny, pendant le sommet de la Cedeao à Yamoussoukro. Jess Sah Bi et Peter One…c’était eux ou rien. Tout simplement les jeunes à l’époque étaient « fous » de Country-music. Quelle audience ! Jess Sah Bi et Peter One décidaient à vendre leur image de musiciens populaires sérieux et particulièrement professionnels du rythme country-music. Le duo ivoirien affronte le public togolais, béninois, maliens, guinéen dans des soirées enthousiastes. Jess Sah Bi et Peter One avaient une particularité. Ils se produisaient toujours en spectacle, accompagnés d’un orchestre. J’avais vu à plusieurs reprises le talentueux guitariste N’Guessan Santa apporter son expérience d’un registre extraordinaire, au duo Jess Sah Bi-Peter One aux voix langoureuses qui touchaient le cœur des amoureux de ‘’Country-music’’. Hors micro, Jess Sah Bi et Peter One étaient très polis. Et moi, j’étais le voisin du quartier à Williamsville. Jess Sah Bi, dessinateur de presse et Peter One professeur d’Anglais nous passions quelques moments de détente ensemble. Ils aimaient fredonner la mélodie connue de leur répertoire : «Clipo clipo». Jess Sah Bi et Peter One avaient des chansons dans lesquelles ils partageaient leurs sentiments en vous laissant des empreintes très fortes dans la mémoire. Surtout la chanson «Apartheid», le régime de gouvernance sud-africaine, à l’époque. En 1988, Jess Sah Bi et Peter One «explosaient» les ondes de la Radio Côte d’Ivoire et de tous les classements musicaux établis par la presse et les magazines spécialisés.
Ben Ismaël