Après la création du Programme du service civique national, le Premier ministre Guillaume Soro a, par arrêté n°018/PM/CAB du 4 avril 2008 procédé à la nomination de Jean Paul Malan comme coordonnateur de cette structure à la suite d’appel à candidature. Bogolo Adou Georges étant désigné par la même occasion comme coordonnateur adjoint. Le Pscn était donc sous la tutelle de la Primature. Mais avec l’avènement du président Alassane Ouattara à la magistrature suprême, un ministère de la Promotion de la jeunesse et du service civique a été mis en place. Avec cette nouvelle donne et à la suite de la formation du gouvernement le Pscn auparavant rattaché au cabinet du Premier ministre a été placé sous la tutelle du ministère de la Promotion de la Jeunesse et du Service Civique dirigé par Alain Lobognon. Dès son installation, le premier responsable de la jeunesse ivoirienne a pris un arrêté le 18 juillet 2011 nommant Georges Adou Georges, précédemment adjoint de Jean Paul Malan comme coordonnateur national. Celui-ci était secondé par Guy Hervé Pillah. Ce dernier a mis les bouchées doubles pour imprimer une nouvelle dynamique au Pscn en faisant renaître de l’espoir aux personnes à réinsérer. Toute chose qui lui a valu la confiance du ministre Alain Lobognon qui l’a nommé comme coordonnateur national depuis le 7 octobre 2011.
Ceux qui tirent les ficelles
Georges Adou Bogolo a quitté la tête de la coordination du Pscn depuis le 7 octobre 2011. 5 mois après, des critiques sont formulées contre son successeur. Selon une source bien introduite au Pscn, Georges Adou Bogolo digère mal son débarquement par le ministre de la Promotion de la jeunesse et du Service Civique de la tête du Pscn. Il a été lui-même coordonnateur adjoint avant d’être national à travers un arrêté du même ministre. Militant du Pdci et membre du secrétariat national chargé de la, jeunesse et des sports, aucien bras droit de Fologo, au sein dudit parti, il voit le départ de Guillaume Soro de la Primature, comme une cerise sur le gâteau. Georges Bogolo trouve-là, une occasion pour assouvir son dessein. Celui de récupérer la tête de la coordination en bataillant dur pour rattacher le Pscn au cabinet du Premier ministre Ahoussou Jeannot. Avec l’appui du directeur de cabinet adjoint du Premier ministre, chargé des programmes de sortie de crise, qui lorsque la tutelle du PSCN. Ces critiques sont d’ailleurs survenus au moment même où un dossier sur le Pscn était sur la table du conseil du gouvernement.
La position de Bogolo
Le départ de Guillaume Soro de la Primature, après son débarquement de la tête du programme Georges Adou Bogolo avait déclaré ceci : «J’ai été nommé par un arrêté du Premier ministre après appel à candidatures. Le document dit que je suis coordonnateur jusqu’à la fin du Programme. Mais voilà qu’à peine quatre mois après, le ministre veut me démettre par un simple arrêté alors qu’aucun document ne dit que le Programme est sous sa tutelle. Je demeure à mon poste. A moins qu’un décret ne vienne dire le contraire». Un état d’esprit ne pouvait pas favoriser la sérénité.
Les ex-combattants et la jeunesse ivoirienne n’ont pas besoin de ça
Les ex-combattants démobilisés et les ex-groupes d’autodéfense démantelés ainsi que d’autres jeunes ivoiriens tirent actuellement le diable par la queue. Leur seul souci est leur réinsertion dans le tissu socio-économique. Toute chose qui leur permettra de subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs familles. Ils n’ont pas besoin de propos politiciens qui ne fera que tirer le processus de réinsertion vers le bas. Il faut donc mettre le holà et avoir pour seul souci la réinsertion de ces nombreux jeunes qui constituent une bombe de retardement qu’il faut vite désamorcer.
TAB
Ceux qui tirent les ficelles
Georges Adou Bogolo a quitté la tête de la coordination du Pscn depuis le 7 octobre 2011. 5 mois après, des critiques sont formulées contre son successeur. Selon une source bien introduite au Pscn, Georges Adou Bogolo digère mal son débarquement par le ministre de la Promotion de la jeunesse et du Service Civique de la tête du Pscn. Il a été lui-même coordonnateur adjoint avant d’être national à travers un arrêté du même ministre. Militant du Pdci et membre du secrétariat national chargé de la, jeunesse et des sports, aucien bras droit de Fologo, au sein dudit parti, il voit le départ de Guillaume Soro de la Primature, comme une cerise sur le gâteau. Georges Bogolo trouve-là, une occasion pour assouvir son dessein. Celui de récupérer la tête de la coordination en bataillant dur pour rattacher le Pscn au cabinet du Premier ministre Ahoussou Jeannot. Avec l’appui du directeur de cabinet adjoint du Premier ministre, chargé des programmes de sortie de crise, qui lorsque la tutelle du PSCN. Ces critiques sont d’ailleurs survenus au moment même où un dossier sur le Pscn était sur la table du conseil du gouvernement.
La position de Bogolo
Le départ de Guillaume Soro de la Primature, après son débarquement de la tête du programme Georges Adou Bogolo avait déclaré ceci : «J’ai été nommé par un arrêté du Premier ministre après appel à candidatures. Le document dit que je suis coordonnateur jusqu’à la fin du Programme. Mais voilà qu’à peine quatre mois après, le ministre veut me démettre par un simple arrêté alors qu’aucun document ne dit que le Programme est sous sa tutelle. Je demeure à mon poste. A moins qu’un décret ne vienne dire le contraire». Un état d’esprit ne pouvait pas favoriser la sérénité.
Les ex-combattants et la jeunesse ivoirienne n’ont pas besoin de ça
Les ex-combattants démobilisés et les ex-groupes d’autodéfense démantelés ainsi que d’autres jeunes ivoiriens tirent actuellement le diable par la queue. Leur seul souci est leur réinsertion dans le tissu socio-économique. Toute chose qui leur permettra de subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs familles. Ils n’ont pas besoin de propos politiciens qui ne fera que tirer le processus de réinsertion vers le bas. Il faut donc mettre le holà et avoir pour seul souci la réinsertion de ces nombreux jeunes qui constituent une bombe de retardement qu’il faut vite désamorcer.
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