Le président de la Chambre de l’enseignement privé professionnel, universitaire, secondaire et de l’insertion sociale de Côte d’Ivoire (CFUECP-CI), Koné Laman, a estimé, jeudi, que les écoles privées devraient s’impliquer dans la politique de réinsertion des jeunes initiée par le Président de la République, Alassane Ouattara.
« La formation aujourd’hui en Côte d’Ivoire est l’affaire de l’enseignement privé », a déclaré M. Koné, lors de la présentation de cette Chambre au cours d’une conférence de presse. Il a indiqué que l’Etat n’ayant pas d’interlocuteur, sa structure s’engage à l’appuyer à atteindre son objectif qui est de trouver des emplois à un million de jeunes, en proposant des solutions.
Il s’agit de l’installation d’incubateurs dans les écoles, universités et centres de formation de Côte d’Ivoire, l’affectation des conseillers d’orientation dans les établissements privés. Mais aussi, la remise des prix d’excellences et spéciaux aux étudiants et aux établissements selon des critères bien déterminés et l’insertion de 5.000 à 100.00 jeunes par an, a-t-il fait savoir.
« Mais pour que ces projets se réalisent, l’Etat doit décaisser 50 à 100 milliards », a poursuivi Koné Laman. Pour ce fondateur d’établissement, les structures telles que l’Institut ivoirien de l’entreprenariat (INIE), l’Agence d’étude et de promotion de l’emploi (AGEPE), le Fonds national de solidarité (FNS) et le Fonds de développement de la formation professionnelle (FDFP) doivent travailler en collaboration avec les établissements privés parce que ce sont eux qui forment les jeunes.
La Chambre de l’enseignement privé professionnel, universitaire, secondaire et de l’insertion sociale de Côte d’Ivoire (CFUECP-CI) est une plateforme d’échanges qui regroupe les fondateurs de ces établissements dont les activités seront lancées bientôt.
(AIP)
kkf/cmas
« La formation aujourd’hui en Côte d’Ivoire est l’affaire de l’enseignement privé », a déclaré M. Koné, lors de la présentation de cette Chambre au cours d’une conférence de presse. Il a indiqué que l’Etat n’ayant pas d’interlocuteur, sa structure s’engage à l’appuyer à atteindre son objectif qui est de trouver des emplois à un million de jeunes, en proposant des solutions.
Il s’agit de l’installation d’incubateurs dans les écoles, universités et centres de formation de Côte d’Ivoire, l’affectation des conseillers d’orientation dans les établissements privés. Mais aussi, la remise des prix d’excellences et spéciaux aux étudiants et aux établissements selon des critères bien déterminés et l’insertion de 5.000 à 100.00 jeunes par an, a-t-il fait savoir.
« Mais pour que ces projets se réalisent, l’Etat doit décaisser 50 à 100 milliards », a poursuivi Koné Laman. Pour ce fondateur d’établissement, les structures telles que l’Institut ivoirien de l’entreprenariat (INIE), l’Agence d’étude et de promotion de l’emploi (AGEPE), le Fonds national de solidarité (FNS) et le Fonds de développement de la formation professionnelle (FDFP) doivent travailler en collaboration avec les établissements privés parce que ce sont eux qui forment les jeunes.
La Chambre de l’enseignement privé professionnel, universitaire, secondaire et de l’insertion sociale de Côte d’Ivoire (CFUECP-CI) est une plateforme d’échanges qui regroupe les fondateurs de ces établissements dont les activités seront lancées bientôt.
(AIP)
kkf/cmas