Soubré - Malgré les nombreux coups de filet des éléments des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI), les coupeurs de route continuent de régner en maître absolu dans la région de la Nawa.
Dans la nuit de mercredi à jeudi, un groupe de malfrats a installé, avec audace, un barrage à l’entrée du village de Toidji 2, dans la sous-préfecture de Méagui (sud-ouest, département de Soubré), à environ un kilomètre d’un corridor des FRCI de Méagui, selon des témoignages recueillis par l’AIP.
Ce groupe d’individus habillés en treillis militaires est arrivé à bord de deux véhicules de type 4x4, à 22h 00, et ont installé leur barrage, précise-t-on.
Pensant avoir affaire à des vrais éléments FRCI, personne ne s’en est préoccupé jusqu’à ce que les passagers des véhicules immobilisés aient fait l’objet de fouille.
Téméraires, les quidams invitent les premières victimes relâchées à informer les éléments des FRCI de leur présence à l’entrée de Méagui, témoigne-t-on.
Le chef de sécurité des FRCI de Méagui, le lieutenant Barro Mamadi, informé de la présence des coupeurs de route à la sortie de la ville, s’est déporté avec des éléments. Très vite, ils sont accueillis par des coups de feu des quidams qui finiront par fuir au bout de deux heures de tirs nourris, a expliqué le lieutenant Barro.
Un camion, surpris de la présence des coupeurs de route, a dans sa fuite fait une sortie de route qui a provoqué la mort sur le coup d’un de ses apprentis, l’autre succombera de ses blessures, plus tard, à l’hôpital où il a été évacué, a-t-on appris auprès des villageois de Toidji 2.
(AIP)
Km/kp
Dans la nuit de mercredi à jeudi, un groupe de malfrats a installé, avec audace, un barrage à l’entrée du village de Toidji 2, dans la sous-préfecture de Méagui (sud-ouest, département de Soubré), à environ un kilomètre d’un corridor des FRCI de Méagui, selon des témoignages recueillis par l’AIP.
Ce groupe d’individus habillés en treillis militaires est arrivé à bord de deux véhicules de type 4x4, à 22h 00, et ont installé leur barrage, précise-t-on.
Pensant avoir affaire à des vrais éléments FRCI, personne ne s’en est préoccupé jusqu’à ce que les passagers des véhicules immobilisés aient fait l’objet de fouille.
Téméraires, les quidams invitent les premières victimes relâchées à informer les éléments des FRCI de leur présence à l’entrée de Méagui, témoigne-t-on.
Le chef de sécurité des FRCI de Méagui, le lieutenant Barro Mamadi, informé de la présence des coupeurs de route à la sortie de la ville, s’est déporté avec des éléments. Très vite, ils sont accueillis par des coups de feu des quidams qui finiront par fuir au bout de deux heures de tirs nourris, a expliqué le lieutenant Barro.
Un camion, surpris de la présence des coupeurs de route, a dans sa fuite fait une sortie de route qui a provoqué la mort sur le coup d’un de ses apprentis, l’autre succombera de ses blessures, plus tard, à l’hôpital où il a été évacué, a-t-on appris auprès des villageois de Toidji 2.
(AIP)
Km/kp