Guiglo -Six personnes tuées, dans la nuit de mardi à mercredi, dans l’attaque de Sakré, à 27 km de Taï, frontière du Libéria, par des personnes armées.
Selon des informations recueillies par l’AIP de source proche des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI), ces assaillants munis de kalachnikovs, de grenades et lance-roquettes, sont arrivés aux environs de 1H 30 du matin, mercredi, se sont attaqués aux domiciles des villageois profondément endormis, faisant six morts dont un boutiquier de nationalité mauritanienne et incendiant les résidences du maire de Taï, Désiré Gnonkonté, ancien ministre des Cultes, du chef du et du président des jeunes village.
Ces assaillants qui, aux dires des témoins, s’exprimeraient en anglais et en oubi, langue de la région, ont aussi pillé des boutiques et domiciles avant de se camoufler dans la brousse jouxtant le Cavally, frontière naturelle avec le Libéria voisin.
Les éléments des FRCI dépêchés sur les lieux, après avoir essuyé des tirs très nourris de la part des assaillants, ont réussi à mettre la main sur cinq d’entre eux qui pourraient certainement donner le mobile de cette énième attaque des populations de cette zone de l’ouest profondément meurtries de plusieurs années de crise en Côte d’Ivoire.
Selon des informations recueillies par l’AIP de source proche des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI), ces assaillants munis de kalachnikovs, de grenades et lance-roquettes, sont arrivés aux environs de 1H 30 du matin, mercredi, se sont attaqués aux domiciles des villageois profondément endormis, faisant six morts dont un boutiquier de nationalité mauritanienne et incendiant les résidences du maire de Taï, Désiré Gnonkonté, ancien ministre des Cultes, du chef du et du président des jeunes village.
Ces assaillants qui, aux dires des témoins, s’exprimeraient en anglais et en oubi, langue de la région, ont aussi pillé des boutiques et domiciles avant de se camoufler dans la brousse jouxtant le Cavally, frontière naturelle avec le Libéria voisin.
Les éléments des FRCI dépêchés sur les lieux, après avoir essuyé des tirs très nourris de la part des assaillants, ont réussi à mettre la main sur cinq d’entre eux qui pourraient certainement donner le mobile de cette énième attaque des populations de cette zone de l’ouest profondément meurtries de plusieurs années de crise en Côte d’Ivoire.