Une erreur technique nous a fait servir un autre texte à nos lecteurs dans l’édition d’hier en lieu et place de celui-ci. Toutes nos excuses à nos lecteurs.
Aucun crime n’est parfait. Seso Ouin Innocent, Gnoa Gnessoua Lucien, Sakré Deré Jacques et Tagnon Grahé Alfred l’ont appris à leurs dépens. Eux qui croyaient s’en sortir indemne après l’attaque meurtrière qu’ils ont menée à Sakré dans la sous préfecture de Taï dans la nuit du mardi 24 au mercredi 25. Ce jour-là en effet, ces habitants de Sakré qui s’étaient réfugiés au Libéria, ont traversé le fleuve pour, de façon ciblée tuer Kambiré Oulenitte, Oleyeni Razibi Oleyeni, Kouadio Kambou, Diable Amadou Tidiane, Ouedraogo Saidou, Kouadio Koffi, Daouda Diarrassouba et dame Sylvie, qui selon des sources seraient considérés comme des étrangers ou proches du RHDP. Après l’attaque du village, selon une source militaire, la réaction des FRCI ne s’est pas fait attendre. « Nous avons dépêché des éléments sur le terrain », précise sous le couvert de l’anonymat, un lieutenant basé à Man. Pris en tenaille, les quatre assaillants dont les noms ont été mentionnés plus haut, n’ont pu traverser le fleuve. « Nous les avons interpellés. L’un d’entre eux, Tagnon Grahé Alfred, qui a reçu une balle dans le pied, est déjà passé à table », indique notre source militaire. Selon notre source, le village est encerclé et le ratissage continue. Le calme est revenu mais pas la sérénité. Par crainte, plusieurs habitants du village ont trouvé refuge à Taï. « Depuis l’attaque, je suis à Taï. Les assaillants nous ont séquestrés et enfermés. Nous n’avons eu la vie sauve qu’après la reprise du village par les FRCI », nous a indiqué au téléphone, Mlle Adèle T. De leur côté, les FRCI se disent déterminées à sécuriser la zone.
Thiery Latt
Aucun crime n’est parfait. Seso Ouin Innocent, Gnoa Gnessoua Lucien, Sakré Deré Jacques et Tagnon Grahé Alfred l’ont appris à leurs dépens. Eux qui croyaient s’en sortir indemne après l’attaque meurtrière qu’ils ont menée à Sakré dans la sous préfecture de Taï dans la nuit du mardi 24 au mercredi 25. Ce jour-là en effet, ces habitants de Sakré qui s’étaient réfugiés au Libéria, ont traversé le fleuve pour, de façon ciblée tuer Kambiré Oulenitte, Oleyeni Razibi Oleyeni, Kouadio Kambou, Diable Amadou Tidiane, Ouedraogo Saidou, Kouadio Koffi, Daouda Diarrassouba et dame Sylvie, qui selon des sources seraient considérés comme des étrangers ou proches du RHDP. Après l’attaque du village, selon une source militaire, la réaction des FRCI ne s’est pas fait attendre. « Nous avons dépêché des éléments sur le terrain », précise sous le couvert de l’anonymat, un lieutenant basé à Man. Pris en tenaille, les quatre assaillants dont les noms ont été mentionnés plus haut, n’ont pu traverser le fleuve. « Nous les avons interpellés. L’un d’entre eux, Tagnon Grahé Alfred, qui a reçu une balle dans le pied, est déjà passé à table », indique notre source militaire. Selon notre source, le village est encerclé et le ratissage continue. Le calme est revenu mais pas la sérénité. Par crainte, plusieurs habitants du village ont trouvé refuge à Taï. « Depuis l’attaque, je suis à Taï. Les assaillants nous ont séquestrés et enfermés. Nous n’avons eu la vie sauve qu’après la reprise du village par les FRCI », nous a indiqué au téléphone, Mlle Adèle T. De leur côté, les FRCI se disent déterminées à sécuriser la zone.
Thiery Latt
