Les travailleurs de Côte d’Ivoire vont commémorer demain la fête du 1er Mai. Cette commémoration intervient dans un contexte de sortie de crise. Les indicateurs économiques qui étaient au ‘’rouge’’ sous l’ancien régime sont en passe de devenir ‘’verts’’.
Ce, grâce au dynamisme du Président de la République, Alassane Ouattara et de son gouvernement. La lutte contre le chômage des jeunes est une des priorités essentielles pour le chef de l’Etat. A cet effet depuis son accession au pouvoir des milliers de projets des jeunes sont financés. Le budget du Fonds National de Solidarité (FNS) pour la promotion de l’emploi jeunes a connu une hausse. Ce, pour permettre à des milliers de jeunes Ivoiriens de bénéficier de financements. Le FNS s’attèle à favoriser l’accès au financement pour les jeunes promoteurs et les entreprises créatrices d’emplois. Le Directeur de cette structure annonçait récemment qu’il compte créer cent milles emplois cette année. Et que la politique du FNS s’inscrit dans la vision du chef de l’Etat de créer 200.000 emplois chaque année.
Soit un million d’emplois en cinq ans. En tout cas le Président Ouattara a décidé de résorber au maximum le chômage des jeunes Ivoiriens. Des actions significatives sont déjà à encourager. Notamment le recrutement de 3000 enseignants contractuels dans l’enseignement secondaire à l’effet de pallier le déficit criant d’enseignants et également le recrutement de 4000 personnels soignants (médecins, sage-femmes, infirmiers (ères) et Techniciens de Laboratoires). Mais beaucoup reste à faire. Concernant les travailleurs, la commémoration du 1er Mai est une occasion pour eux de mettre au goût du jour leurs différentes revendications. Avec en prime la remise d’un livre blanc au chef de l’Etat. Les centrales syndicales, Ugtci, Fesaci et Dignité présenteront chacune leur plateforme de revendications. Il s’agit entre autres du relèvement du Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti (SIMG) à 60.000 FCFA, le déblocage des avancements qui traînent depuis plus d’une vingtaine d’année, le paiement régulier des indemnités octroyées aux fonctionnaires et l’application intégrale du profil de carrière du secteur Education/ Formation. A cela s’ajoute le paiement intégral des indemnités contributives de logement des Instituteurs et Maitresses Adjointes d’Education Permanentes et l’intégration effective à la Fonction Publique des Garçons et Filles de salle. Les centrales syndicales vont également demander la suppression des impôts sur toutes les pensions de retraites. Pour faire davantage la promotion de la femme, les centrales syndicales demanderont que le 08 Mars de chaque année soit déclaré jour férié chômé et payé comme le font bon nombre de pays Ouest-Africains. La révision du dispositif portant fixation de l’Impôt Général sur les Revenus (IGR) imposé aux femmes ne passera pas sous silence. Et la mise en prise en place du Fonds de Garantie pour la régulation des activités agricoles des femmes, artisanales et commerciales. En tout cas les travailleurs de Côte d’Ivoire à travers leur centrale syndicale disent pouvoir avoir placé leur confiance au Président Alassane Ouattara à l’effet d’améliorer leur condition de vie et de travail.
Anzoumana Cissé
Ce, grâce au dynamisme du Président de la République, Alassane Ouattara et de son gouvernement. La lutte contre le chômage des jeunes est une des priorités essentielles pour le chef de l’Etat. A cet effet depuis son accession au pouvoir des milliers de projets des jeunes sont financés. Le budget du Fonds National de Solidarité (FNS) pour la promotion de l’emploi jeunes a connu une hausse. Ce, pour permettre à des milliers de jeunes Ivoiriens de bénéficier de financements. Le FNS s’attèle à favoriser l’accès au financement pour les jeunes promoteurs et les entreprises créatrices d’emplois. Le Directeur de cette structure annonçait récemment qu’il compte créer cent milles emplois cette année. Et que la politique du FNS s’inscrit dans la vision du chef de l’Etat de créer 200.000 emplois chaque année.
Soit un million d’emplois en cinq ans. En tout cas le Président Ouattara a décidé de résorber au maximum le chômage des jeunes Ivoiriens. Des actions significatives sont déjà à encourager. Notamment le recrutement de 3000 enseignants contractuels dans l’enseignement secondaire à l’effet de pallier le déficit criant d’enseignants et également le recrutement de 4000 personnels soignants (médecins, sage-femmes, infirmiers (ères) et Techniciens de Laboratoires). Mais beaucoup reste à faire. Concernant les travailleurs, la commémoration du 1er Mai est une occasion pour eux de mettre au goût du jour leurs différentes revendications. Avec en prime la remise d’un livre blanc au chef de l’Etat. Les centrales syndicales, Ugtci, Fesaci et Dignité présenteront chacune leur plateforme de revendications. Il s’agit entre autres du relèvement du Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti (SIMG) à 60.000 FCFA, le déblocage des avancements qui traînent depuis plus d’une vingtaine d’année, le paiement régulier des indemnités octroyées aux fonctionnaires et l’application intégrale du profil de carrière du secteur Education/ Formation. A cela s’ajoute le paiement intégral des indemnités contributives de logement des Instituteurs et Maitresses Adjointes d’Education Permanentes et l’intégration effective à la Fonction Publique des Garçons et Filles de salle. Les centrales syndicales vont également demander la suppression des impôts sur toutes les pensions de retraites. Pour faire davantage la promotion de la femme, les centrales syndicales demanderont que le 08 Mars de chaque année soit déclaré jour férié chômé et payé comme le font bon nombre de pays Ouest-Africains. La révision du dispositif portant fixation de l’Impôt Général sur les Revenus (IGR) imposé aux femmes ne passera pas sous silence. Et la mise en prise en place du Fonds de Garantie pour la régulation des activités agricoles des femmes, artisanales et commerciales. En tout cas les travailleurs de Côte d’Ivoire à travers leur centrale syndicale disent pouvoir avoir placé leur confiance au Président Alassane Ouattara à l’effet d’améliorer leur condition de vie et de travail.
Anzoumana Cissé