Soucieux de la réussite scolaire des enfants, et face à la recrudescence de la présence des drogues dans les écoles, certains parents d’élèves se sont regroupés au sein d’une organisation dénommée «Non à la drogue». Cette Ong dirigée par Fatim Coulibaly a été présentée au cours d’une conférence de presse, le lundi 30 avril dernier, à la Riviera Anono.
Selon la présidente, «Non à la drogue » veut lutter contre la consommation de stupéfiants en milieu scolaire. « Notre objectif est de créer un important collectif de parents afin d’inciter le gouvernement, à travers son ministère de l’Education nationale, à autoriser des préventions et mettre en place des méthodes de lutte contre la drogue dans les établissements scolaires», a-t-elle souligné. L’Ong se propose également de traquer les vendeurs de drogue dans les établissements scolaires. «Il faut que nos enfants et ceux qui leur proposent de la drogue soient conscients des risques qu’ils encourent. Pour ce faire, la brigade des stupéfiants doit pouvoir rencontrer les élèves dans leurs établissements afin de les sensibiliser », a indiqué la présidente de l’Ong. Pour Fatim Coulibaly, les établissements scolaires et les fondateurs doivent autoriser des fouilles périodiques et inopinées des élèves par la brigade des stupéfiants, afin de dissuader les élèves à venir à l’école avec la drogue. Notons que cette Ong, qui a été créée cette année 2012, entend étendre ses activités sur toute l’étendue du territoire ivoirien.
H.O.
Selon la présidente, «Non à la drogue » veut lutter contre la consommation de stupéfiants en milieu scolaire. « Notre objectif est de créer un important collectif de parents afin d’inciter le gouvernement, à travers son ministère de l’Education nationale, à autoriser des préventions et mettre en place des méthodes de lutte contre la drogue dans les établissements scolaires», a-t-elle souligné. L’Ong se propose également de traquer les vendeurs de drogue dans les établissements scolaires. «Il faut que nos enfants et ceux qui leur proposent de la drogue soient conscients des risques qu’ils encourent. Pour ce faire, la brigade des stupéfiants doit pouvoir rencontrer les élèves dans leurs établissements afin de les sensibiliser », a indiqué la présidente de l’Ong. Pour Fatim Coulibaly, les établissements scolaires et les fondateurs doivent autoriser des fouilles périodiques et inopinées des élèves par la brigade des stupéfiants, afin de dissuader les élèves à venir à l’école avec la drogue. Notons que cette Ong, qui a été créée cette année 2012, entend étendre ses activités sur toute l’étendue du territoire ivoirien.
H.O.