La candidature de Djibo Nicolas, secrétaire national chargé de l’économie au RDR, gagne des soutiens au sein des populations. Depuis l’annonce officielle de sa candidature aux élections municipales à venir, son QG ne désemplit guère. Après les commerçants, ce sont plus d’une quarantaine d’associations de jeunes de diverses colorations politiques et religieuses qui sont venus lui exprimer leur soutien. Le dimanche 29 avril 2012, à son bureau.
Fofana Ibrahima, président du ‘’collectif des associations multicolores’’ de la commune de Bouaké, a réaffirmé au candidat leur indéfectible soutien. «Nous sommes une panoplie de jeunes ayant des colorations politiques, ethniques et religieuses diverses. Nous nous sommes concertés après avoir appris par voie de presse, votre candidature pour occuper la mairie de Bouaké. Notre préoccupation majeure, c’est l’avenir de la sous-commune de Belle-Ville. Après concertation, la grande majorité des membres du collectif a estimé que M Djibo Nicolas a le profil de celui qui peut garantir un avenir meilleur pour nous les résidants de Belle-Ville». Très touché par ce soutien émanant de la population, surtout de la jeunesse, Nicolas Djibo n’a pas caché sa satisfaction. «Je suis très heureux de voir que nous sommes en phase. Votre collectif comprend aussi bien la société civile que les hommes politiques».
Donnant une suite aux préoccupations liées à l’état défectueux de Belleville, le candidat déclaré leur a recommandé de les énumérer dans un livre blanc. «J’ai déjà quelques informations sur la situation de votre sous-commune. Nous irons vous voir. Nous allons travailler ensemble pour la rédaction d’un livre blanc comprenant l’ensemble des préoccupations des populations de Belle-Ville». Pour Nicolas Djibo, il est impossible de gérer une commune, seulement avec des hommes politiques. «Que vous soyez Rdr, Pdci ou autre formation politique, vous ne pouvez pas gérer seul la commune de Bouaké. Il faut avoir les collaborateurs municipaux issus de la société civile, qui sont beaucoup plus proches du quotidien des populations. Ceci pour vous dire que je ne vais pas gérer la ville de Bouaké, uniquement qu’avec les hommes politiques», a-t-il assuré.
Bosco de Paré
Fofana Ibrahima, président du ‘’collectif des associations multicolores’’ de la commune de Bouaké, a réaffirmé au candidat leur indéfectible soutien. «Nous sommes une panoplie de jeunes ayant des colorations politiques, ethniques et religieuses diverses. Nous nous sommes concertés après avoir appris par voie de presse, votre candidature pour occuper la mairie de Bouaké. Notre préoccupation majeure, c’est l’avenir de la sous-commune de Belle-Ville. Après concertation, la grande majorité des membres du collectif a estimé que M Djibo Nicolas a le profil de celui qui peut garantir un avenir meilleur pour nous les résidants de Belle-Ville». Très touché par ce soutien émanant de la population, surtout de la jeunesse, Nicolas Djibo n’a pas caché sa satisfaction. «Je suis très heureux de voir que nous sommes en phase. Votre collectif comprend aussi bien la société civile que les hommes politiques».
Donnant une suite aux préoccupations liées à l’état défectueux de Belleville, le candidat déclaré leur a recommandé de les énumérer dans un livre blanc. «J’ai déjà quelques informations sur la situation de votre sous-commune. Nous irons vous voir. Nous allons travailler ensemble pour la rédaction d’un livre blanc comprenant l’ensemble des préoccupations des populations de Belle-Ville». Pour Nicolas Djibo, il est impossible de gérer une commune, seulement avec des hommes politiques. «Que vous soyez Rdr, Pdci ou autre formation politique, vous ne pouvez pas gérer seul la commune de Bouaké. Il faut avoir les collaborateurs municipaux issus de la société civile, qui sont beaucoup plus proches du quotidien des populations. Ceci pour vous dire que je ne vais pas gérer la ville de Bouaké, uniquement qu’avec les hommes politiques», a-t-il assuré.
Bosco de Paré
