Mlle Krystle est âgée de vingt six ans, née à Bruxelles, cette métisse Congo-Belge à trouvé sa place au sein de la compagnie aérienne Brussels Airlines en qualité d`hôtesse de l`air qu`elle pratique depuis cinq ans. Après avoir décrochée son diplôme avec brio en faisait des études de tourisme, elle considère la compagnie Belge comme la référence pour l`Afrique et l`Europe. Aujourd`hui devenue hôtesse de l`air, elle qui adore les lignes africaines est une professionnelle comblée. Rencontre avec une femme «aérienne »
Diasporas-News : Pourquoi avoir choisi la profession d’hôtesse de l’air ?
KRYSTLE VANDERHEYDE : J’avais fait des études de touristes, souvent on me pose cette même question, mais je vous dirais que chaque enfant ont des rêves différents, les garçons veulent devenir pompier, policier.... Les filles choisissent d`être plus tard infirmière, hôtesse de l`air.. Finalement mon vœux a été exaucé.
D-N : Qu’est-ce qui vous séduit le plus chez Brussels Airlines ?
K.V : Tout d’abord s`est la compagnie aérienne de mon pays, car je ne voulais pas quitter la Belgique pour être prêt de ma famille. C’est le fait que cette compagnie ait été très réactive en s’adaptant rapidement au phénomène de mondialisation. Le réseau Brussels Airlines s’est diversifié en même temps que son personnel. La compagnie a énormément recruté du personnel d’origines africaines, européennes ou autres. Je crois que cet engagement humain fait vraiment sa richesse. C’est une manière, comme une autre, de fidéliser la clientèle et de personnaliser le service. Je suis très fière d’être dans cette compagnie. J’ai choisi de travailler sur le réseau Afrique par rapport mes origines et les valeurs humaines de la clientèle africaine que je suis heureuse de représenter.
D-N : Quelles sont les qualités nécessaires pour réussir dans ce métier ?
K.V : Il faut, je crois, avoir une grande ouverture d’esprit. Car nous sommes en contact avec des interlocuteurs d’origines très diverses. Il faut être prévenant, souriant et courtois. C’est un métier qui requiert aussi, en plus de la disponibilité, une grande faculté d’adaptation, car nous sommes confrontés à un environnement géographique très changeant.
D-N : Etes-vous nombreuses femmes noires à travailler pour la compagnie ?
K.V : Je peux dire que la compagnie est une entreprise qui mise sur la diversité. Brussels Airlines a toujours eu cet état d’esprit. Avoir des hôtesses de nationalités différentes afin que le passager, quand il prend l’avion, retrouve ses racines est un plus indéniablement.
D-N : Quel conseil donneriez-vous à une jeune femme qui voudrait faire cette profession ?
K.V : Avant tout apprendre quelque langues, surtout l`anglais, cela est devenu la langue internationale car beaucoup de personnes qui voyagent parlent anglais. Après ça, je dirais qu`il faut pas avoir peur des horaires. Exemple : A l`aller, nous travaillons le jour et le retour nous prenons des vols de nuits. Pour finir, il faut toujours être sociable avoir le sourire afin que le voyageurs passent un agréable voyage.
D-N : Comment la compagnie a vécu les événements en Cote d`Ivoire ?
K.V : Je pense que nous sommes comme tout le monde très attristée pendant cette période qui a été horrible pour tout le monde, les guerres détruisent les gens et tout un système économique. Nous étions tous attristés et inquiets de voir des images d`horreur dans ce beau pays, mais maintenant tout est rentré dans l`ordre. Nous sommes très heureux de reprendre nos vols sur Abidjan et de voir des passagers partir en souriants.
D-N : Quelles est votre meilleurs et plus mauvais souvenir ?
K.V : Cela va vous paraître surprennent, dans la même journée, j`ai eu un bon et un mauvais souvenir. Un jour, nous avons eu cinq où six heures de retard, tout le monde était énervé, de plus tout les passagers me criaient après moi alors que je n`étais pour rien dans ce retard. Puis une jeune femme est venue vers moi en pleurent dans mes bras par rapport à l`hôtesse qui signée aux passagers que finalement ils allaient embarquer, puis tout le monde étaient content ce fut vraiment une journée bizarre car je me sentais plus capable de faire mon travail et finalement tout s`est bien passé et nous avons tous eu la force de faire notre métier avec sourire et disponibilité comme nous savons le faire pour chaque vol. Je tenais à vous précisez, que la devise de Brussels Airlines est de partir à l`heure, ce retard était exceptionnel.
D-N : Par rapport à vos origines et votre profession, vous êtes retournée au Congo RDC, qu`elle a été votre première impression ?
K.V: La première fois que j`ai mis les pieds au Congo j`avais deux ans donc je ne me souvient pas trop. Quand j`ai commencé à travailler pour la compagnie Belge, j`ai pu enfin visiter le pays. Ma première impression que j`ai eu (ma maman est de Kivu à l`est de la RDC) en visitent Kinshasa, j`étais émerveillée, je ne peux pas l`expliquer cette émerveillement, il faut partir dans ce pays pour y voir des choses extraordinaires. Grâce à ma profession, je partais une fois par semaine à Kinshasa, maintenant j`y vais moins. Je fais d`autre déplacement dans des pays africains et européens afin de rencontrer des personnes de différents horizons.
D-N : Quelles sont vos distractions favorites ?
K.V : Quand j’ai un peu de temps, je pratique et je donnais des cours la danse en faisant de la salsa et hip hop. A l`époque, j`allais une fois par semaine à Kinshasa, c`était pour aller aux cours de danse tout les mercredis au black & white. J`aime aussi faire la cuisine ou j`ai une préférence pour la cuisine asiatique que je prépare moi-même. J`aime boire un pot entres amis sans oublier ma famille.
D-N : Avez-vous un dernier mot ?
K.V : Je dirais en quelque mot, je suis une femme comblée, car j`aime ma profession. Quand je me lève le matin pour allée travailler, je suis de bonne humeur, j`ai un tempérament aventurière s`est pour cela que cette profession me convient, de plus, je peux me cultiver en voyant d`autre culture sous toutes ces formes, ainsi goûter à d’autres des spécialités culinaires.
PHOTOS ET REPORTAGE : FRANK HALIMI
Diasporas-News : Pourquoi avoir choisi la profession d’hôtesse de l’air ?
KRYSTLE VANDERHEYDE : J’avais fait des études de touristes, souvent on me pose cette même question, mais je vous dirais que chaque enfant ont des rêves différents, les garçons veulent devenir pompier, policier.... Les filles choisissent d`être plus tard infirmière, hôtesse de l`air.. Finalement mon vœux a été exaucé.
D-N : Qu’est-ce qui vous séduit le plus chez Brussels Airlines ?
K.V : Tout d’abord s`est la compagnie aérienne de mon pays, car je ne voulais pas quitter la Belgique pour être prêt de ma famille. C’est le fait que cette compagnie ait été très réactive en s’adaptant rapidement au phénomène de mondialisation. Le réseau Brussels Airlines s’est diversifié en même temps que son personnel. La compagnie a énormément recruté du personnel d’origines africaines, européennes ou autres. Je crois que cet engagement humain fait vraiment sa richesse. C’est une manière, comme une autre, de fidéliser la clientèle et de personnaliser le service. Je suis très fière d’être dans cette compagnie. J’ai choisi de travailler sur le réseau Afrique par rapport mes origines et les valeurs humaines de la clientèle africaine que je suis heureuse de représenter.
D-N : Quelles sont les qualités nécessaires pour réussir dans ce métier ?
K.V : Il faut, je crois, avoir une grande ouverture d’esprit. Car nous sommes en contact avec des interlocuteurs d’origines très diverses. Il faut être prévenant, souriant et courtois. C’est un métier qui requiert aussi, en plus de la disponibilité, une grande faculté d’adaptation, car nous sommes confrontés à un environnement géographique très changeant.
D-N : Etes-vous nombreuses femmes noires à travailler pour la compagnie ?
K.V : Je peux dire que la compagnie est une entreprise qui mise sur la diversité. Brussels Airlines a toujours eu cet état d’esprit. Avoir des hôtesses de nationalités différentes afin que le passager, quand il prend l’avion, retrouve ses racines est un plus indéniablement.
D-N : Quel conseil donneriez-vous à une jeune femme qui voudrait faire cette profession ?
K.V : Avant tout apprendre quelque langues, surtout l`anglais, cela est devenu la langue internationale car beaucoup de personnes qui voyagent parlent anglais. Après ça, je dirais qu`il faut pas avoir peur des horaires. Exemple : A l`aller, nous travaillons le jour et le retour nous prenons des vols de nuits. Pour finir, il faut toujours être sociable avoir le sourire afin que le voyageurs passent un agréable voyage.
D-N : Comment la compagnie a vécu les événements en Cote d`Ivoire ?
K.V : Je pense que nous sommes comme tout le monde très attristée pendant cette période qui a été horrible pour tout le monde, les guerres détruisent les gens et tout un système économique. Nous étions tous attristés et inquiets de voir des images d`horreur dans ce beau pays, mais maintenant tout est rentré dans l`ordre. Nous sommes très heureux de reprendre nos vols sur Abidjan et de voir des passagers partir en souriants.
D-N : Quelles est votre meilleurs et plus mauvais souvenir ?
K.V : Cela va vous paraître surprennent, dans la même journée, j`ai eu un bon et un mauvais souvenir. Un jour, nous avons eu cinq où six heures de retard, tout le monde était énervé, de plus tout les passagers me criaient après moi alors que je n`étais pour rien dans ce retard. Puis une jeune femme est venue vers moi en pleurent dans mes bras par rapport à l`hôtesse qui signée aux passagers que finalement ils allaient embarquer, puis tout le monde étaient content ce fut vraiment une journée bizarre car je me sentais plus capable de faire mon travail et finalement tout s`est bien passé et nous avons tous eu la force de faire notre métier avec sourire et disponibilité comme nous savons le faire pour chaque vol. Je tenais à vous précisez, que la devise de Brussels Airlines est de partir à l`heure, ce retard était exceptionnel.
D-N : Par rapport à vos origines et votre profession, vous êtes retournée au Congo RDC, qu`elle a été votre première impression ?
K.V: La première fois que j`ai mis les pieds au Congo j`avais deux ans donc je ne me souvient pas trop. Quand j`ai commencé à travailler pour la compagnie Belge, j`ai pu enfin visiter le pays. Ma première impression que j`ai eu (ma maman est de Kivu à l`est de la RDC) en visitent Kinshasa, j`étais émerveillée, je ne peux pas l`expliquer cette émerveillement, il faut partir dans ce pays pour y voir des choses extraordinaires. Grâce à ma profession, je partais une fois par semaine à Kinshasa, maintenant j`y vais moins. Je fais d`autre déplacement dans des pays africains et européens afin de rencontrer des personnes de différents horizons.
D-N : Quelles sont vos distractions favorites ?
K.V : Quand j’ai un peu de temps, je pratique et je donnais des cours la danse en faisant de la salsa et hip hop. A l`époque, j`allais une fois par semaine à Kinshasa, c`était pour aller aux cours de danse tout les mercredis au black & white. J`aime aussi faire la cuisine ou j`ai une préférence pour la cuisine asiatique que je prépare moi-même. J`aime boire un pot entres amis sans oublier ma famille.
D-N : Avez-vous un dernier mot ?
K.V : Je dirais en quelque mot, je suis une femme comblée, car j`aime ma profession. Quand je me lève le matin pour allée travailler, je suis de bonne humeur, j`ai un tempérament aventurière s`est pour cela que cette profession me convient, de plus, je peux me cultiver en voyant d`autre culture sous toutes ces formes, ainsi goûter à d’autres des spécialités culinaires.
PHOTOS ET REPORTAGE : FRANK HALIMI