Niakara Ibrahim, vit en Côte d’Ivoire depuis des années. Il se débrouille dans la vente de CD importés frauduleusement en provenance des autres pays de la sous-région. Installé au carrefour de la Riviera Palmeraie, il mène son activité depuis quelque temps, comme bien d’autres personnes exerçant cette activité illégale au vu et au su de tous et, au mépris des conséquences qu’induit cette activité.
Un jour du mois d’avril 2012, alors qu’il mène tranquillement son activité illégale, il va voir la brigade de répression du BURIDA (Bureau ivoirien des droits d’auteurs) descendre sur son lieu de ‘’travail’’. C’est la débandade chez tous les vendeurs du carrefour. Malheureusement dans sa course, il sera pris par les filets des forces de l’ordre, alors que ses compagnons d’infortune ont tous pris la poudre d’escampette. Pris sur les faits, Ibrahim ne niera pas devant les autorités judiciaires. 15 jours d’emprisonnement et 400 000 FCFA de dommages et intérêts à titre symbolique à reverser au BURIDA à sa sortie de prison. Sans oublier la destruction des œuvres saisies par la justice. Avis donc à tous les contrevenants, le Bureau des droits d’auteur veille sur ses intérêts, plus que déterminé.
Un jour du mois d’avril 2012, alors qu’il mène tranquillement son activité illégale, il va voir la brigade de répression du BURIDA (Bureau ivoirien des droits d’auteurs) descendre sur son lieu de ‘’travail’’. C’est la débandade chez tous les vendeurs du carrefour. Malheureusement dans sa course, il sera pris par les filets des forces de l’ordre, alors que ses compagnons d’infortune ont tous pris la poudre d’escampette. Pris sur les faits, Ibrahim ne niera pas devant les autorités judiciaires. 15 jours d’emprisonnement et 400 000 FCFA de dommages et intérêts à titre symbolique à reverser au BURIDA à sa sortie de prison. Sans oublier la destruction des œuvres saisies par la justice. Avis donc à tous les contrevenants, le Bureau des droits d’auteur veille sur ses intérêts, plus que déterminé.
