La mode féminine reste un vaste secteur qui chaque jour connaît une innovation pour faire ressortir la beauté de la femme. Si pour certain, la beauté d’une femme est un plaisir visuel qui se distingue par un simple coup d’œil, pour d’autres la beauté de la femme se façonne à partir de gestes, de l’habillement et surtout des accessoires. Et parlant d’accessoires, les femmes ont tendance à opter pour les bijoux de valeur (or, argent...). A l’occasion d’une de nos escapades, nous avons découvert des bijoux authentiques sans trop grande valeur mais qui ont attiré notre curiosité. Incursion donc dans l’univers de cette artiste nommée Sarah Kouamé qui présente une autre forme locale de parures.
Pour la petite histoire, la mère de Sarah Kouamé était une commerçante qui avait un magasin d’accessoires pour femmes et elle vendait des chaînes de valeurs et des fantaisies. « A force de fréquenter ce magasin, cette envie de créer m’est venue à l’esprit. C’est de là que tout est parti avec l’envie de faire de mes propres mains des accessoires », a précisé Sarah. Voilà le déclic dans la vie de cette jeune dame, ingénieur en management. « Quand je partais lui rendre visite au magasin, il y avait des perles qui traînaient de temps en temps avec lesquelles je m’amusais à faire des colliers. Tout le monde trouvait que j’avais du talent mais je négligeais ce don au départ jusqu’à ce que, je me décide un jour de m’adonner à cet art pour m’en sortir financièrement en tant que jeune fille », a relevé Sarah Kouamé. Un jour, elle a décidé de commencer par se ravitailler à Adjamé et c’est ainsi que débuta cette passion. « Je sentais que les femmes avait une préférence pour les bijoux mais pour pouvoir commercialiser ces bijoux de valeur, il fallait beaucoup de moyens. Alors que moi je voulais commencer quelque chose avec de petits moyens financiers, voilà comment m’est venue à l’esprit d’innover, de créer des parures par rapport aux tendances »., a expliqué Sarah Kouamé qui a ainsi débuté sa carrière en tant que créatrice de parures.
Transformer les matières locales en parure,
tout un art
«Je pense que j’avais déjà cet esprit de créativité et il fallait quelque chose pour me motiver et c’est grâce au commerce de ma mère que j’ai décidé de mettre mon talent en valeur. Je me suis inspirée de plusieurs personnes de ce milieu comme Jnet Callé et je me suis perfectionnée via le net pour comprendre un peu plus cet art. C’est au fur et à mesure que je m’instruisais dans ce domaine que j’ai pu juger ma propre valeur. En m’appuyant sur ces connaissances que j’ai eues et auxquelles j’ai ajouté ma touche personnelle », a-t-elle confié. Cet art, la jeune créatrice a su mettre en valeur tout en promouvant la consommation de nos produits locaux comme les verres, les perles et les fleurs. Une originalité propre mais qui, selon elle, peut permettre à l’homme de vivre de son art. Sarah Kouamé est partie d’une simple passion pour aboutir à des parures authentiques et tendance.
Jeune d’esprit et sens élevé de l’entrepreunariat
Jeune créatrice certes, Sarah Kouamé ne néglige pas l’aspect de la formation intellectuelle. Etre pluridimensionnelle pour elle, reste nécessaire. Avec son diplôme en communication, elle exerce actuellement dans une entreprise de la place mais cela ne l’empêche aucunement de s’adonner à sa passion en attendant d’installer sa propre maison de création. Pour elle, la jeunesse ivoirienne doit avoir l’esprit d’entrepreneuriat et nourrir une passion qui permet parfois de s’en sortir.
Larissa G
Pour la petite histoire, la mère de Sarah Kouamé était une commerçante qui avait un magasin d’accessoires pour femmes et elle vendait des chaînes de valeurs et des fantaisies. « A force de fréquenter ce magasin, cette envie de créer m’est venue à l’esprit. C’est de là que tout est parti avec l’envie de faire de mes propres mains des accessoires », a précisé Sarah. Voilà le déclic dans la vie de cette jeune dame, ingénieur en management. « Quand je partais lui rendre visite au magasin, il y avait des perles qui traînaient de temps en temps avec lesquelles je m’amusais à faire des colliers. Tout le monde trouvait que j’avais du talent mais je négligeais ce don au départ jusqu’à ce que, je me décide un jour de m’adonner à cet art pour m’en sortir financièrement en tant que jeune fille », a relevé Sarah Kouamé. Un jour, elle a décidé de commencer par se ravitailler à Adjamé et c’est ainsi que débuta cette passion. « Je sentais que les femmes avait une préférence pour les bijoux mais pour pouvoir commercialiser ces bijoux de valeur, il fallait beaucoup de moyens. Alors que moi je voulais commencer quelque chose avec de petits moyens financiers, voilà comment m’est venue à l’esprit d’innover, de créer des parures par rapport aux tendances »., a expliqué Sarah Kouamé qui a ainsi débuté sa carrière en tant que créatrice de parures.
Transformer les matières locales en parure,
tout un art
«Je pense que j’avais déjà cet esprit de créativité et il fallait quelque chose pour me motiver et c’est grâce au commerce de ma mère que j’ai décidé de mettre mon talent en valeur. Je me suis inspirée de plusieurs personnes de ce milieu comme Jnet Callé et je me suis perfectionnée via le net pour comprendre un peu plus cet art. C’est au fur et à mesure que je m’instruisais dans ce domaine que j’ai pu juger ma propre valeur. En m’appuyant sur ces connaissances que j’ai eues et auxquelles j’ai ajouté ma touche personnelle », a-t-elle confié. Cet art, la jeune créatrice a su mettre en valeur tout en promouvant la consommation de nos produits locaux comme les verres, les perles et les fleurs. Une originalité propre mais qui, selon elle, peut permettre à l’homme de vivre de son art. Sarah Kouamé est partie d’une simple passion pour aboutir à des parures authentiques et tendance.
Jeune d’esprit et sens élevé de l’entrepreunariat
Jeune créatrice certes, Sarah Kouamé ne néglige pas l’aspect de la formation intellectuelle. Etre pluridimensionnelle pour elle, reste nécessaire. Avec son diplôme en communication, elle exerce actuellement dans une entreprise de la place mais cela ne l’empêche aucunement de s’adonner à sa passion en attendant d’installer sa propre maison de création. Pour elle, la jeunesse ivoirienne doit avoir l’esprit d’entrepreneuriat et nourrir une passion qui permet parfois de s’en sortir.
Larissa G
