Un projet de redécoupage administratif du département de Zuénoula a été présenté, lundi, à l’ensemble des élus et cadres de la région, aux chefs de communauté ainsi qu’aux leaders d'organisations de jeunes et de femmes, afin de recueillir leurs avis, a constaté l’AIP.
De la présentation faite par l’émissaire du gouvernement, le département devrait désormais compté sept communes, Zuénoula, Gohitafla, Zanzra, Kanzra, Vouéboufla, Maminigui et Iriéfla, en l’occurrence. Ces communes auraient été retenues par les autorités sur la base de "cinq critères", la densité (les localités retenues ont une population d’environ 1500 habitants), l’éloignement par rapport au chef-lieu de département (15 km) ainsi que le poids économique, a-t-il révélé.
Seules ont été pris en compte des localités qui sont déjà sous-préfectures, et qui forment comme un noyau central composé d’au moins deux villages reconnus, comme tels par le ministère de l’Intérieur. Les représentants des différentes couches sociales ont, pour leur part, salué cette démarche du gouvernement qui les associe aux prises des décisions les concernant directement, souhaitant toutefois que le précédent découpage, qui octroie 15 communes à Zuénoula, soit reconduit.
Ils ont par ailleurs demandé aux autorités de bien vouloir reconsidérer les critères de sous-préfecture et de distance par rapport au chef-lieu de département afin d’éviter que des localités, qui possèdent de nombreux atouts de par leur positionnement de villages Carrefour, Manfla, entres autres, ne subissent comme une "injustice".
(AIP)
akr/kg/nf
De la présentation faite par l’émissaire du gouvernement, le département devrait désormais compté sept communes, Zuénoula, Gohitafla, Zanzra, Kanzra, Vouéboufla, Maminigui et Iriéfla, en l’occurrence. Ces communes auraient été retenues par les autorités sur la base de "cinq critères", la densité (les localités retenues ont une population d’environ 1500 habitants), l’éloignement par rapport au chef-lieu de département (15 km) ainsi que le poids économique, a-t-il révélé.
Seules ont été pris en compte des localités qui sont déjà sous-préfectures, et qui forment comme un noyau central composé d’au moins deux villages reconnus, comme tels par le ministère de l’Intérieur. Les représentants des différentes couches sociales ont, pour leur part, salué cette démarche du gouvernement qui les associe aux prises des décisions les concernant directement, souhaitant toutefois que le précédent découpage, qui octroie 15 communes à Zuénoula, soit reconduit.
Ils ont par ailleurs demandé aux autorités de bien vouloir reconsidérer les critères de sous-préfecture et de distance par rapport au chef-lieu de département afin d’éviter que des localités, qui possèdent de nombreux atouts de par leur positionnement de villages Carrefour, Manfla, entres autres, ne subissent comme une "injustice".
(AIP)
akr/kg/nf
