Une fusillade entre soldats et des hommes armés a fait quatre morts à Bangolo (ouest, 600 Kms d`Abidjan), ont confié lundi des témoins à Xinhua.
A en croire ceux-ci, des malfaiteurs armés ont attaqué le village de Gouégui situé à quelques kilomètres de Bangolo, et commis des exactions sur les populations.
Les éléments des Forces républicaines de Côte d`Ivoire (FRCI) alertés se sont rendus sur les lieux et un échange de tirs entre les deux parties s`en est suivi.
Un soldat, le caporal Koné Aboubakar, et trois assaillants ont été tués au cours des affrontements.
La zone ouest du pays qui a payé un lourd tribut à la grave crise post-électorale est le théâtre d`une insécurité grandissante depuis plusieurs mois.
Commandos armés, bandits et coupeurs de routes ont perpétré plusieurs attaques dans diverses localités de la région où les populations vivent la peur au ventre.
Fin avril, la descente d`inconnus armés dans le village de Sakré (sous-préfecture de Taï), dans la zone frontalière ouest du pays, avait fait huit morts parmi les villageois.
Cette attaque avait été précédée de plusieurs autres qui avaient également occasionné des pertes en vies humaines.
Les autorités du pays ont pris le taureau par les cornes et se sont engagées à renforcer la sécurité dans l`ouest à travers un appui logistique et un déploiement de troupes militaires pour soutenir la police et la gendarmerie dans le combat contre les malfaiteurs.
A en croire ceux-ci, des malfaiteurs armés ont attaqué le village de Gouégui situé à quelques kilomètres de Bangolo, et commis des exactions sur les populations.
Les éléments des Forces républicaines de Côte d`Ivoire (FRCI) alertés se sont rendus sur les lieux et un échange de tirs entre les deux parties s`en est suivi.
Un soldat, le caporal Koné Aboubakar, et trois assaillants ont été tués au cours des affrontements.
La zone ouest du pays qui a payé un lourd tribut à la grave crise post-électorale est le théâtre d`une insécurité grandissante depuis plusieurs mois.
Commandos armés, bandits et coupeurs de routes ont perpétré plusieurs attaques dans diverses localités de la région où les populations vivent la peur au ventre.
Fin avril, la descente d`inconnus armés dans le village de Sakré (sous-préfecture de Taï), dans la zone frontalière ouest du pays, avait fait huit morts parmi les villageois.
Cette attaque avait été précédée de plusieurs autres qui avaient également occasionné des pertes en vies humaines.
Les autorités du pays ont pris le taureau par les cornes et se sont engagées à renforcer la sécurité dans l`ouest à travers un appui logistique et un déploiement de troupes militaires pour soutenir la police et la gendarmerie dans le combat contre les malfaiteurs.