Où sont passés les 3 milliards décaissés pour la rénovation des commissariats de police? Le ministre de l’Intérieur a répondu à cette interrogation le 19 avril dernier à la tribune du Groupement des Editeurs de presse de Côte d’Ivoire (GEPCI). «Pour la réhabilitation des commissariats, devant l’urgence, nous avons demandé à des entrepreneurs de faire le travail. Et qu’après ils seront payés par l’Etat. A la fin des travaux, on a demandé les factures. Je regarde, je vois des factures de 200, 150 et 80 millions de FCFA. Je demande rapidement à la police économique de regarder ces factures et ensemble nous allons vérifier sur le terrain. Il y a des cas où il n’y a même pas eu une fenêtre changée. Après ce constat, ils ont commencé à demander pardon.
Et après une évaluation du travail qui a été fait, nous sommes revenus à 3 milliards et nous avons demandé au ministre de l’Economie et des Finances de l’incorporer aux dépenses de l’Etat. Il ne faut pas plomber l’efficacité du travail avec ce genre de situation. Si vous avez demandé 7 milliards et que l’Etat ne les a pas, ça ne sera pas payé et vous allez tournez en rond. Nous avons négocié et ils seront payés», a-t-il longuement expliqué. On le voit, par la vigilance et la rigueur, le ministre a permis à l’Etat de Côte d’Ivoire de rattraper 4 milliards. Au lieu de le féliciter pour cette vigilance et transparence dans la gestion des affaires publiques, il se trouve des gens qui cherchent des petites bêtes là où elles n’existent pas. Dommage pour eux !
LO
Et après une évaluation du travail qui a été fait, nous sommes revenus à 3 milliards et nous avons demandé au ministre de l’Economie et des Finances de l’incorporer aux dépenses de l’Etat. Il ne faut pas plomber l’efficacité du travail avec ce genre de situation. Si vous avez demandé 7 milliards et que l’Etat ne les a pas, ça ne sera pas payé et vous allez tournez en rond. Nous avons négocié et ils seront payés», a-t-il longuement expliqué. On le voit, par la vigilance et la rigueur, le ministre a permis à l’Etat de Côte d’Ivoire de rattraper 4 milliards. Au lieu de le féliciter pour cette vigilance et transparence dans la gestion des affaires publiques, il se trouve des gens qui cherchent des petites bêtes là où elles n’existent pas. Dommage pour eux !
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