Autour du grand commandement, le ministre auprès du président de la République, Paul Koffi Koffi a fait hier, le bilan sécuritaire de la Côte d’Ivoire, un an après l’investiture du président de la République. « Il y a un an que le gouvernement est au travail. Il était important pour nous de faire le point de la normalisation militaire, la normalisation en matière de sécurité », a indiqué Paul Koffi Koffi après un huis clos qui a duré une heure. Selon lui, il a été traduit en actes réglementaires, les instructions données par le chef de l’Etat concernant trois points.
D’abord, la discipline et la prise en main des hommes, pour que l’intolérance zéro soit appliquée. La deuxième mesure, selon lui, porte sur le comportement des populations vis-à-vis de la question de sécurité, notamment le port d’armes. « Vous avez encore des populations qui portent des armes. Nous avons décidé de lutter contre eux. A la fin juin, plus personne ne doit être vu en possession d’armes », a-t-il averti. Toute personne prise, sera poursuivie par la loi, a-t-il précisé. Cette mesure concerne les dozos, les miliciens et toute personne portant des armes. Enfin, la réunion a décidé de prendre à bras le corps la situation des jeunes démobilisés et jeunes associés. « Pour eux, nous allons procéder à un recensement exhaustif pour commencer les opérations de réinsertion. Ce qui est important, est que ceux qui ne viendront pas à ces recensements, ne seront pas pris en charge. Nous allons leur expliquer le bien fondé de cette opération», a-t-il poursuivi.
Thiery Latt
D’abord, la discipline et la prise en main des hommes, pour que l’intolérance zéro soit appliquée. La deuxième mesure, selon lui, porte sur le comportement des populations vis-à-vis de la question de sécurité, notamment le port d’armes. « Vous avez encore des populations qui portent des armes. Nous avons décidé de lutter contre eux. A la fin juin, plus personne ne doit être vu en possession d’armes », a-t-il averti. Toute personne prise, sera poursuivie par la loi, a-t-il précisé. Cette mesure concerne les dozos, les miliciens et toute personne portant des armes. Enfin, la réunion a décidé de prendre à bras le corps la situation des jeunes démobilisés et jeunes associés. « Pour eux, nous allons procéder à un recensement exhaustif pour commencer les opérations de réinsertion. Ce qui est important, est que ceux qui ne viendront pas à ces recensements, ne seront pas pris en charge. Nous allons leur expliquer le bien fondé de cette opération», a-t-il poursuivi.
Thiery Latt
