Yamoussoukro - Les professeurs des 14 Centres d’animation et de formation pédagogique (Cafop) de Côte d`Ivoire ont refusé, lundi, d’interroger les 2.500 instituteurs stagiaires dont ils ont la charge, mettant ainsi exécution leur menace de boycotter les examens de fin d’année.
Le boycott des épreuves orales du diplôme d’instituteur stagiaire (DIS) et du diplôme d’instituteur adjoint stagiaire (DIAS) a été largement suivi par les grévistes.
Réunis au sein d’une coordination, les professeurs des Cafop de Côte d’Ivoire exigent la satisfaction de leurs principales revendications, notamment la signature d’un arrêté ministériel qui les implique entièrement et plus activement dans l’organisation des concours d’entrée dans les Cafop et le paiement des primes de correction des années 2009, 2010 et 2011 avant le début des épreuves orales.
Selon le président de la coordination, Sylla Yacouba, joint au téléphone lundi, les enseignants sont prêts à reprendre le travail dès que les primes de correction, au moins, seront payées, comme convenu vendredi lors d’une rencontre avec une délégation du ministère de l’Education nationale.
A Yamoussoukro, le mouvement de protestation a été largement, selon le délégué local de la coordination, Omer Aka.
Face à la situation, le directeur du Cafop de Yamoussoukro, Hamadou Kamagaté, a eu une rencontre avec son personnel qui dit attendre le mot d’ordre de la coordination.
Le boycott des épreuves orales du diplôme d’instituteur stagiaire (DIS) et du diplôme d’instituteur adjoint stagiaire (DIAS) a été largement suivi par les grévistes.
Réunis au sein d’une coordination, les professeurs des Cafop de Côte d’Ivoire exigent la satisfaction de leurs principales revendications, notamment la signature d’un arrêté ministériel qui les implique entièrement et plus activement dans l’organisation des concours d’entrée dans les Cafop et le paiement des primes de correction des années 2009, 2010 et 2011 avant le début des épreuves orales.
Selon le président de la coordination, Sylla Yacouba, joint au téléphone lundi, les enseignants sont prêts à reprendre le travail dès que les primes de correction, au moins, seront payées, comme convenu vendredi lors d’une rencontre avec une délégation du ministère de l’Education nationale.
A Yamoussoukro, le mouvement de protestation a été largement, selon le délégué local de la coordination, Omer Aka.
Face à la situation, le directeur du Cafop de Yamoussoukro, Hamadou Kamagaté, a eu une rencontre avec son personnel qui dit attendre le mot d’ordre de la coordination.