Abidjan, L’ancien ministre ivoirien de la Défense (2000-2002), Moïse Lida Kouassi, mis aux arrêts à Lomé (Togo), mercredi, a été extradé à Abidjan le même jour dans la soirée, a constaté l’AIP à l’aéroport de la capitale économique ivoirienne.
Moïse Lida Kouassi a été embarqué, sous escorte policière, dans un véhicule dès sa descente d’avion. Il "a été interpellé ce jour (mercredi) par les autorités togolaises, qui ont décidé de le mettre à la disposition des autorités ivoiriennes", a déclaré à la presse, le ministre ivoirien de l’Intérieur, Hamed Bakayoko, après l’arrivée de l’ex-collaborateur de l’ancien chef de l’Etat, Laurent Gbagbo.
"Il faisait l’objet d’un mandat d’arrêt lancé contre lui par les autorités ivoiriennes", depuis juin 2011, a rappelé M. Bakayoko, soulignant que M. Lida Kouassi avait maintes fois violé l’astreinte au devoir de réserve que lui avait imposé les dirigeants du Togo, où il avait trouvé refuge à la faveur de la crise postélectorale.
Selon le ministre de l’Intérieur, l’ex ministre de la défense "avait en sa possession, au moment de son arrestation, des éléments qui le compromettent, qui prouvent son implication dans des projets de déstabilisation de la Côte d’Ivoire".
(AIP)
Moïse Lida Kouassi a été embarqué, sous escorte policière, dans un véhicule dès sa descente d’avion. Il "a été interpellé ce jour (mercredi) par les autorités togolaises, qui ont décidé de le mettre à la disposition des autorités ivoiriennes", a déclaré à la presse, le ministre ivoirien de l’Intérieur, Hamed Bakayoko, après l’arrivée de l’ex-collaborateur de l’ancien chef de l’Etat, Laurent Gbagbo.
"Il faisait l’objet d’un mandat d’arrêt lancé contre lui par les autorités ivoiriennes", depuis juin 2011, a rappelé M. Bakayoko, soulignant que M. Lida Kouassi avait maintes fois violé l’astreinte au devoir de réserve que lui avait imposé les dirigeants du Togo, où il avait trouvé refuge à la faveur de la crise postélectorale.
Selon le ministre de l’Intérieur, l’ex ministre de la défense "avait en sa possession, au moment de son arrestation, des éléments qui le compromettent, qui prouvent son implication dans des projets de déstabilisation de la Côte d’Ivoire".
(AIP)