Élu en juillet 2002, Ibrahim Touré, président du Conseil général de Dabakala et ‘’faiseur’’ d’élus locaux a voulu dresser un bilan. Avant les prochaines joutes électorales attendues par tous et surtout par son parti, le RDR.
Avant de livrer ses réalisations de 2002 à 2012 dans le département de Dabakala, Ibrahim Touré, dernier président du Conseil général de Dabakala jusqu’aux événements postélectoraux d’avril 2011, a tenu à exprimer ses vifs remerciements et sa gratitude au secrétaire général intérimaire de son parti, le ministre Ahmadou Soumahoro. Qui a placé toute sa confiance en lui, ce qui lui a permis de faire du 100% au niveau des législatives quant au département de Dabakala dont il est le délégué départemental du RDR. Grâce à cette confiance, il a pu rafler les 3 sièges de député à l’Assemblée nationale et coiffer au poteau, l’allié au sein du RHDP, le PDCI-RDA et les autres partis politiques dont celui de Laurent Gbagbo. Il dit être respectueux des consignes de son parti que donne le ministre Ahmadou Soumahoro et reste à sa disposition pour les batailles futures (municipales et conseils régionaux). Interrogé par l’Intelligent d’Abidjan sur son propre bilan à la tête du Conseil général où il a été élu en juillet 2002, Ibrahim Touré déclare avoir bien fait ce qu’il doit pour son département situé au centre-Nord de la Côte d’Ivoire.
Au plan des infrastructures et équipements socio-économiques, 18 localités sur 240 ont été électrifiées dont 5 par le Conseil général. 339 pompes villageoises ont été réhabilitées, 17 infrastructures sanitaires (1 hôpital général, 5 centres de santé urbains, 11 centres de santé ruraux, équipements en matériel et une ambulance) ont été acquis. Il a donné 4 établissements pré-scolaires, 112 écoles primaires de 446 classes, 4 établissements secondaires (1 lycée, 2 collèges modernes et 1 collège privé, 3 hôtels) au département. En dépit des difficultés liées à la crise militaro-politique et à l’octroi des subventions de l’Etat, Ibrahim Touré et le Conseil général de Dabakala ont réalisé de nombreux projets d’investissements avec un budget de 2. 345. 845. 000 FCFA : éducation : 480. 010. 362 FCFA, soit 20%, routes : 141. 285. 189 FCFA soit 6% ; santé : 298. 243. 877 FCFA (13%) ; Agriculture 35. 048.000 FCFA (1%), électrification 869. 861. 500 CFA soit 37%, biens et services (386. 326. 266 FCFA soit 16%) ; hydraulique villageoise : 135. 069. 806 FCFA (5%).
En raison de la crise militaro-politique de 2002, le Conseil général délocalisé à Abidjan a rejoint sa localité d’origine seulement en août 2010. Durant toute la crise, le Conseil général a dû aussi faire face à de nombreuses charges sociales qui s’élèvent à 100 millions de FCFA pour des prises en charge des élèves et enseignants bénévoles ; l’aide au retour des fonctionnaires et agents de l’Etat dans le département ; l’organisation et le financement d’activités en faveur des jeunes ; l’organisation et le financement d’activités en faveur des jeunes, l’appui aux groupements féminins à vocation coopératifs, a relevé Ibrahim Touré. D’autres projets, a-t-il précisé, n’ont malheureusement pas pu s’achever pour diverses raisons. Ibrahim Touré dit dédier ce bilan à son parti, le RDR, qui lui a permis, malgré la crise, d’apporter le progrès et le bonheur aux populations Djimini et Djamala de Dabakala. Il déclare rester à la disposition de sa formation politique pour relever encore d’autres défis dans la région du Hambol pour le parti au pouvoir.
Maxime Wangué
Avant de livrer ses réalisations de 2002 à 2012 dans le département de Dabakala, Ibrahim Touré, dernier président du Conseil général de Dabakala jusqu’aux événements postélectoraux d’avril 2011, a tenu à exprimer ses vifs remerciements et sa gratitude au secrétaire général intérimaire de son parti, le ministre Ahmadou Soumahoro. Qui a placé toute sa confiance en lui, ce qui lui a permis de faire du 100% au niveau des législatives quant au département de Dabakala dont il est le délégué départemental du RDR. Grâce à cette confiance, il a pu rafler les 3 sièges de député à l’Assemblée nationale et coiffer au poteau, l’allié au sein du RHDP, le PDCI-RDA et les autres partis politiques dont celui de Laurent Gbagbo. Il dit être respectueux des consignes de son parti que donne le ministre Ahmadou Soumahoro et reste à sa disposition pour les batailles futures (municipales et conseils régionaux). Interrogé par l’Intelligent d’Abidjan sur son propre bilan à la tête du Conseil général où il a été élu en juillet 2002, Ibrahim Touré déclare avoir bien fait ce qu’il doit pour son département situé au centre-Nord de la Côte d’Ivoire.
Au plan des infrastructures et équipements socio-économiques, 18 localités sur 240 ont été électrifiées dont 5 par le Conseil général. 339 pompes villageoises ont été réhabilitées, 17 infrastructures sanitaires (1 hôpital général, 5 centres de santé urbains, 11 centres de santé ruraux, équipements en matériel et une ambulance) ont été acquis. Il a donné 4 établissements pré-scolaires, 112 écoles primaires de 446 classes, 4 établissements secondaires (1 lycée, 2 collèges modernes et 1 collège privé, 3 hôtels) au département. En dépit des difficultés liées à la crise militaro-politique et à l’octroi des subventions de l’Etat, Ibrahim Touré et le Conseil général de Dabakala ont réalisé de nombreux projets d’investissements avec un budget de 2. 345. 845. 000 FCFA : éducation : 480. 010. 362 FCFA, soit 20%, routes : 141. 285. 189 FCFA soit 6% ; santé : 298. 243. 877 FCFA (13%) ; Agriculture 35. 048.000 FCFA (1%), électrification 869. 861. 500 CFA soit 37%, biens et services (386. 326. 266 FCFA soit 16%) ; hydraulique villageoise : 135. 069. 806 FCFA (5%).
En raison de la crise militaro-politique de 2002, le Conseil général délocalisé à Abidjan a rejoint sa localité d’origine seulement en août 2010. Durant toute la crise, le Conseil général a dû aussi faire face à de nombreuses charges sociales qui s’élèvent à 100 millions de FCFA pour des prises en charge des élèves et enseignants bénévoles ; l’aide au retour des fonctionnaires et agents de l’Etat dans le département ; l’organisation et le financement d’activités en faveur des jeunes ; l’organisation et le financement d’activités en faveur des jeunes, l’appui aux groupements féminins à vocation coopératifs, a relevé Ibrahim Touré. D’autres projets, a-t-il précisé, n’ont malheureusement pas pu s’achever pour diverses raisons. Ibrahim Touré dit dédier ce bilan à son parti, le RDR, qui lui a permis, malgré la crise, d’apporter le progrès et le bonheur aux populations Djimini et Djamala de Dabakala. Il déclare rester à la disposition de sa formation politique pour relever encore d’autres défis dans la région du Hambol pour le parti au pouvoir.
Maxime Wangué
