La Diaspora Camerounaise Ouest Africaine apporte son soutien au Président Ouattara
Dans ce courrier ci-dessous, le Président de la Diaspora Camerounaise Ouest Africaine, (DACOA) Victor Djadjo félicite les autorités ivoiriennes pour avoir engagé des poursuites contre Calixte Beyala qui aurait perçu en pleine crise postélectorale, la somme de 134 471 185 Fr CFA à la Banque de Financement de l’Agriculture (BFA) appartenant à Madame Appiah née Ehouman Berte, fille de Madame Simone Gbagbo.
Objet ; Calixte Beyala dans les cordes de la justice ivoirienne. (Mise au point de la DCOA)
Dans notre « lettre ouverte au Cardinal Christian Tumi et consorts», nous relevions déjà pour la condamner, l’intrusion d’une frange de Camerounais dans la crise ivoirienne, dont Calixte Beyala. Le scoop tombé le samedi 9 Juin, qui a barré la Une de la plupart des quotidiens paraissant à Abidjan ce jour, ne pouvait nous laisser indifférents, comme tous les Abidjanais d’ailleurs : Calixte Beyala, poursuivie par le parquet ivoirien, pour avoir perçu la somme de 134 millions de franc CFA en pleine crise postélectorale. Les faits : un communiqué du Procureur de la République de CI, indique qu’une commission rogatoire va être adressée aux autorités judiciaires françaises aux fins de son inculpation pour des faits de recel de fonds volés ou détournés et de blanchiment de capitaux.. En effet, une investigation révèle que courant Décembre 2010, en pleine crise postélectorale, elle a perçu la somme de 134 471 185 Fr CFA à la Banque de Financement de l’Agriculture (BFA) appartenant à Madame APPIAH née EHOUMAN Berte, fille de Madame Simone Gbagbo. Ainsi donc, c’est pour de l’argent que ces agitateurs sacrifiaient leurs compatriotes ? Assurément, Judas Iscariot (celui-là qui a livré le fils de Dieu pour quelques centimes), nous a laissé ses petits-fils et arrières petits fils. Heureusement que nous les connaissons.
1- Ananie Rabier Bindji
Lorsque nous recevions fréquemment ce frère en Côte d’Ivoire, l’impressionnant titre porté sur sa carte de visite qu’il distribuait à tour de bras, nous jetait de la poudre aux yeux : directeur de la coopération internationale, Canal 2 du Cameroun. Lorsque nous l’avions vu faire « des gros plans » sur le couple présidentiel d’alors ainsi que le Président du Cojep, nous croyions aux vertus d’un journaliste pugnace. Même quand il a participé à l’inauguration du siège du Cojep à Yopougon et que ses prises de position étaient sans équivoque, sur les antennes de Canal 2 où il publiait « le fruit de ses recherches » , cela n’avait toujours pas attiré notre attention. Or donc, il devrait certainement se remplir des poches ?
2- Jules Domche
Comme le premier, il était très fréquent en Côte d’Ivoire. Il a animé les émissions de débat au cours desquelles, il cachait mal sa prise de position pour l’ex-président. Qu’est-ce qui sous tendait toutes ces démarches ? Le désir d’informer ? D’éduquer ou de distraire ? Nous sommes aujourd’hui, en droit de douter de la bonne foi de Monsieur le journaliste, dès lors que nous commençons à voir le dos du nageur.
3- Charles Onana
«grand écrivain devant l’Eternel», ‘’Le coup d’Etat de la France en Côte d’Ivoire’’ (feuille de choux) édité sous forme de livre dédié à son dieu, l’ex président de Côte d’Ivoire, est commercialisé partout et constitue son gagne-pain. Peut-il maintenant nous dire la source de financement de ce livre préparé en pleine crise ivoirienne ? Il a affirmé au cours d’une émission sur Vox Africa, avoir été résident pendant tout ce temps en Côte d’Ivoire où il avait accès partout et se procurait tous les documents. Qui les lui remettait ? A quel prix ? Pour quel but ? «ça va se savoir ».
4- René Kitoko
Celui-ci n’est pas passé par mille chemins pour organiser une émission sur Vox Africa en l’honneur du Président du Cojep et pour présenter le livre produit par ce dernier, dans sa cachette. Quelles sont les motivations réelles, sachant que le Président du Cojep sous le coup d’un mandat d’arrêt international, est soupçonné de crimes de sang ? Il a même promis au cours de l’émission, de faire intervenir en direct lors de la prochaine, l’auteur du livre. Ce qui veut dire qu’il sait où il se cache. La police est donc informée.
5- Christian Tumi
Il a demandé une retraite anticipée, abandonnant les brebis (les fidèles de l’église) qu’il est supposé protéger, pour prendre position dans une affaire où même l’épiscopat ivoirien était divisé. Au cours d’une émission sur Canal 2, il a affirmé qu’il n’avait pas d’argent et était logé gratuitement pour les loyaux services rendus à l’église catholique romaine. Question : d’où a-t-il pris de l’argent pour produire son livre sur l’alternance au Cameroun ? Alternance qui selon lui, doit se faire sans la participation du locataire actuel du palais d’Etoudi ? Considérant que ce dernier a donné son soutien au Président actuel de la Côte d’Ivoire, en assistant personnellement à son investiture, on peut se poser des questions. Sans argent perçu de son employeur, l’église, il s’offre des sorties médiatiques et des voyages d’agrément. Jésus Christ a averti : «ce n’est pas tous ceux qui disent Seigneur, Seigneur qui rentreront dans les royaumes des cieux».
6- Calixte Beyala
«Si Gbagbo perd les élections, je me suicide», avait-elle lancé répondant à une question du journaliste qui l’avait invitée au journal de 20 h sur la RTI. C’est dire jusqu’à quel point elle était engagée dans la campagne de celui qu’elle appelait panafricaniste, comme elle. C’est ce qui expliquerait sa présence au meeting du Cojep tenu en pleine campagne à Yopougon ? M. le Procureur, vous avez bien compris. C’est au nom du panafricanisme qu’elle a perçu cet argent. Elle n’a recelé quoique ce soit. Enquête donc bouclée
Nous, Camerounais, membres de la Diaspora Camerounaise Ouest Africaine (DECOA) , association dont le principal objectif est la défense, la promotion des valeurs camerounaises et ses institutions,
- Considérant la création au Cameroun de la Commission Nationale Anti Corruption ( CNAC) pour combattre la corruption sur toutes ses formes
- Considérant l’opération «épervier» enclenchée depuis quelques années et qui traque sans ménagement des «bandits à col blanc»
- Considérant la politique camerounaise basée sur la rigueur et la moralisation de la vie publique :
Apportons notre soutien sans faille au Président en exercice de la CEDEAO et Président de la République de Côte d’Ivoire, S.E.M. Alassane Ouattara, pour ses efforts énormes de justice, de paix, de prospérité et du respect des droits humains.
Invitons l’opinion ivoirienne et internationale à ne pas lier les positions politiques et actes de quelques citoyens camerounais à la vie nationale du Cameroun dans sa diplomatie étrangère, son développement et son Président, S.E.M Paul Biya. Les actes et soutiens d’un Camerounais à l’extérieur n’engagent que celui-ci et non le peuple camerounais.
Prêts à œuvrer à la consolidation des liens fraternels, historiques d’amitié entre les pays de la sous-région et le peuple camerounais notamment la Côte d’ivoire.
Prions afin que Dieu couvre cette partie de l’Afrique de sa main protectrice et consolatrice.
Paix la plus profonde aux africains.
Justice, paix et réconciliation aux Ivoiriens et Maliens.
Que Dieu bénisse l`Afrique.
Fait à Bamako le 10 Juin 2012
Le Président de la Diaspora Camerounaise Ouest Africaine
Victor Djadjo
djadjovicko@yahoo.fr
Dans ce courrier ci-dessous, le Président de la Diaspora Camerounaise Ouest Africaine, (DACOA) Victor Djadjo félicite les autorités ivoiriennes pour avoir engagé des poursuites contre Calixte Beyala qui aurait perçu en pleine crise postélectorale, la somme de 134 471 185 Fr CFA à la Banque de Financement de l’Agriculture (BFA) appartenant à Madame Appiah née Ehouman Berte, fille de Madame Simone Gbagbo.
Objet ; Calixte Beyala dans les cordes de la justice ivoirienne. (Mise au point de la DCOA)
Dans notre « lettre ouverte au Cardinal Christian Tumi et consorts», nous relevions déjà pour la condamner, l’intrusion d’une frange de Camerounais dans la crise ivoirienne, dont Calixte Beyala. Le scoop tombé le samedi 9 Juin, qui a barré la Une de la plupart des quotidiens paraissant à Abidjan ce jour, ne pouvait nous laisser indifférents, comme tous les Abidjanais d’ailleurs : Calixte Beyala, poursuivie par le parquet ivoirien, pour avoir perçu la somme de 134 millions de franc CFA en pleine crise postélectorale. Les faits : un communiqué du Procureur de la République de CI, indique qu’une commission rogatoire va être adressée aux autorités judiciaires françaises aux fins de son inculpation pour des faits de recel de fonds volés ou détournés et de blanchiment de capitaux.. En effet, une investigation révèle que courant Décembre 2010, en pleine crise postélectorale, elle a perçu la somme de 134 471 185 Fr CFA à la Banque de Financement de l’Agriculture (BFA) appartenant à Madame APPIAH née EHOUMAN Berte, fille de Madame Simone Gbagbo. Ainsi donc, c’est pour de l’argent que ces agitateurs sacrifiaient leurs compatriotes ? Assurément, Judas Iscariot (celui-là qui a livré le fils de Dieu pour quelques centimes), nous a laissé ses petits-fils et arrières petits fils. Heureusement que nous les connaissons.
1- Ananie Rabier Bindji
Lorsque nous recevions fréquemment ce frère en Côte d’Ivoire, l’impressionnant titre porté sur sa carte de visite qu’il distribuait à tour de bras, nous jetait de la poudre aux yeux : directeur de la coopération internationale, Canal 2 du Cameroun. Lorsque nous l’avions vu faire « des gros plans » sur le couple présidentiel d’alors ainsi que le Président du Cojep, nous croyions aux vertus d’un journaliste pugnace. Même quand il a participé à l’inauguration du siège du Cojep à Yopougon et que ses prises de position étaient sans équivoque, sur les antennes de Canal 2 où il publiait « le fruit de ses recherches » , cela n’avait toujours pas attiré notre attention. Or donc, il devrait certainement se remplir des poches ?
2- Jules Domche
Comme le premier, il était très fréquent en Côte d’Ivoire. Il a animé les émissions de débat au cours desquelles, il cachait mal sa prise de position pour l’ex-président. Qu’est-ce qui sous tendait toutes ces démarches ? Le désir d’informer ? D’éduquer ou de distraire ? Nous sommes aujourd’hui, en droit de douter de la bonne foi de Monsieur le journaliste, dès lors que nous commençons à voir le dos du nageur.
3- Charles Onana
«grand écrivain devant l’Eternel», ‘’Le coup d’Etat de la France en Côte d’Ivoire’’ (feuille de choux) édité sous forme de livre dédié à son dieu, l’ex président de Côte d’Ivoire, est commercialisé partout et constitue son gagne-pain. Peut-il maintenant nous dire la source de financement de ce livre préparé en pleine crise ivoirienne ? Il a affirmé au cours d’une émission sur Vox Africa, avoir été résident pendant tout ce temps en Côte d’Ivoire où il avait accès partout et se procurait tous les documents. Qui les lui remettait ? A quel prix ? Pour quel but ? «ça va se savoir ».
4- René Kitoko
Celui-ci n’est pas passé par mille chemins pour organiser une émission sur Vox Africa en l’honneur du Président du Cojep et pour présenter le livre produit par ce dernier, dans sa cachette. Quelles sont les motivations réelles, sachant que le Président du Cojep sous le coup d’un mandat d’arrêt international, est soupçonné de crimes de sang ? Il a même promis au cours de l’émission, de faire intervenir en direct lors de la prochaine, l’auteur du livre. Ce qui veut dire qu’il sait où il se cache. La police est donc informée.
5- Christian Tumi
Il a demandé une retraite anticipée, abandonnant les brebis (les fidèles de l’église) qu’il est supposé protéger, pour prendre position dans une affaire où même l’épiscopat ivoirien était divisé. Au cours d’une émission sur Canal 2, il a affirmé qu’il n’avait pas d’argent et était logé gratuitement pour les loyaux services rendus à l’église catholique romaine. Question : d’où a-t-il pris de l’argent pour produire son livre sur l’alternance au Cameroun ? Alternance qui selon lui, doit se faire sans la participation du locataire actuel du palais d’Etoudi ? Considérant que ce dernier a donné son soutien au Président actuel de la Côte d’Ivoire, en assistant personnellement à son investiture, on peut se poser des questions. Sans argent perçu de son employeur, l’église, il s’offre des sorties médiatiques et des voyages d’agrément. Jésus Christ a averti : «ce n’est pas tous ceux qui disent Seigneur, Seigneur qui rentreront dans les royaumes des cieux».
6- Calixte Beyala
«Si Gbagbo perd les élections, je me suicide», avait-elle lancé répondant à une question du journaliste qui l’avait invitée au journal de 20 h sur la RTI. C’est dire jusqu’à quel point elle était engagée dans la campagne de celui qu’elle appelait panafricaniste, comme elle. C’est ce qui expliquerait sa présence au meeting du Cojep tenu en pleine campagne à Yopougon ? M. le Procureur, vous avez bien compris. C’est au nom du panafricanisme qu’elle a perçu cet argent. Elle n’a recelé quoique ce soit. Enquête donc bouclée
Nous, Camerounais, membres de la Diaspora Camerounaise Ouest Africaine (DECOA) , association dont le principal objectif est la défense, la promotion des valeurs camerounaises et ses institutions,
- Considérant la création au Cameroun de la Commission Nationale Anti Corruption ( CNAC) pour combattre la corruption sur toutes ses formes
- Considérant l’opération «épervier» enclenchée depuis quelques années et qui traque sans ménagement des «bandits à col blanc»
- Considérant la politique camerounaise basée sur la rigueur et la moralisation de la vie publique :
Apportons notre soutien sans faille au Président en exercice de la CEDEAO et Président de la République de Côte d’Ivoire, S.E.M. Alassane Ouattara, pour ses efforts énormes de justice, de paix, de prospérité et du respect des droits humains.
Invitons l’opinion ivoirienne et internationale à ne pas lier les positions politiques et actes de quelques citoyens camerounais à la vie nationale du Cameroun dans sa diplomatie étrangère, son développement et son Président, S.E.M Paul Biya. Les actes et soutiens d’un Camerounais à l’extérieur n’engagent que celui-ci et non le peuple camerounais.
Prêts à œuvrer à la consolidation des liens fraternels, historiques d’amitié entre les pays de la sous-région et le peuple camerounais notamment la Côte d’ivoire.
Prions afin que Dieu couvre cette partie de l’Afrique de sa main protectrice et consolatrice.
Paix la plus profonde aux africains.
Justice, paix et réconciliation aux Ivoiriens et Maliens.
Que Dieu bénisse l`Afrique.
Fait à Bamako le 10 Juin 2012
Le Président de la Diaspora Camerounaise Ouest Africaine
Victor Djadjo
djadjovicko@yahoo.fr