Touré Nassénéba, fille d’Odienné a vu le jour il y a bientôt 40 ans à Korhogo. Sportive, basketteuse émérite, elle a, après un cursus scolaire classique et bien mené à travers des villes de la Côte d’Ivoire, atterri aux Etats-Unis d’Amérique pour poursuivre ses études supérieures à l’université du district of Colombia (UDC). Ingénieur en télécommunications, elle est Conseillère du Président de l’Assemblée Nationale, Guillaume Soro.
Quel bilan faites-vous de cette journée consacrée par des dons au CHR et la pose de la 1ère pierre d’une ferme avicole pour la jeunesse du Kabadougou. Qu’est ce qui vous fait courir tant?
Je cours, je cours et je crois que je vais encore courir plus vite pour pouvoir arrêter ce grand fléau qui est en train d’envahir notre pays, d’envahir notre sous-région. Et envahir même le monde. C’est la pauvreté. Je vais toujours courir pour l’arrêter et la repousser le plus loin possible.
Pensez-vous qu’avec votre soutien à la femme pourrait suffire à l’aider et d’endiguer la pauvreté dans votre région ?
Bien sûr. Vous savez que la majorité d’un programme de société repose sur la femme. La femme est celle-là qui donne la vie. Nous avons un défi à réussir. C’est le défi de changer le quotidien de nos concitoyens. Je voudrais donc les aider à améliorer leur condition de vie.
A quel personnage voudriez-vous ressembler en posant tous ces actes de portée humanitaire ?
Je pose des actions parce que j’estime que le besoin est là. Il faut vraiment être quelqu’un qui ne soit pas sensible pour regarder la souffrance que vivent nos parents et de ne pas agir quand on la possibilité de le faire. Pourtant nous connaissons des gens qui peuvent les aider. Pour répondre à votre préoccupation, je veux ressembler à moi-même. J’ai des repères, il y a des personnages que j’aimerais saluer à travers votre micro qui sont des dames. Ce sont nos précurseurs. Nous avons de grandes dames de cette région. Je voudrais saleur madame la Grande Chancelière, Henriette Dagri Diabaté, qui est une fille de la région du Kabadougou. Elle est une femme d’abnégation, de courage et de parole. Deuxièmement, je voudrais saluer madame Touré Massogbê Diabaté, qui est un exemple. Aujourd’hui, elle peut porter la voix d’Odienné, de la Côte d’Ivoire et de la sous région. Elle est la présidente des femmes entrepreneurs de la CEDEAO. Il ya aussi Henriette Dao Coulibaly du Pdci. Nous sommes décidés à prendre la relève pour faire valablement le travail.
Madame Diané, vous organisez des cérémonies çà et là à Odienné. Et aujourd’hui l’on est en droit de s’interroger si vous serez candidate aux futures élections locales à Odienné ?
Aimer chez soi est une chose. Toute chose qui vous amènera à pouvoir aider votre région, à changer le quotidien de vos concitoyens, je pense qu’il le faut faire. Les réels postes politiques ne sont plus disponibles. Nous avons fait les élections présidentielles ; nous avons fait les élections législatives. Nous avons les municipales et les régionales. C’est deux élections d’agent de développement et d’agent social. Alors si Odienné me sollicite pour le travail que j’ai déjà commencé, j’ai dit aux parents d’Odienné que je ne les abandonnerai jamais. Je répondrai toujours positivement à leur appel. Si c’est pour le développement durable.
Réalisée par Adam’s Régis Souaga, Envoyé spécial à Odiénné (Source Lebanco.net)
Quel bilan faites-vous de cette journée consacrée par des dons au CHR et la pose de la 1ère pierre d’une ferme avicole pour la jeunesse du Kabadougou. Qu’est ce qui vous fait courir tant?
Je cours, je cours et je crois que je vais encore courir plus vite pour pouvoir arrêter ce grand fléau qui est en train d’envahir notre pays, d’envahir notre sous-région. Et envahir même le monde. C’est la pauvreté. Je vais toujours courir pour l’arrêter et la repousser le plus loin possible.
Pensez-vous qu’avec votre soutien à la femme pourrait suffire à l’aider et d’endiguer la pauvreté dans votre région ?
Bien sûr. Vous savez que la majorité d’un programme de société repose sur la femme. La femme est celle-là qui donne la vie. Nous avons un défi à réussir. C’est le défi de changer le quotidien de nos concitoyens. Je voudrais donc les aider à améliorer leur condition de vie.
A quel personnage voudriez-vous ressembler en posant tous ces actes de portée humanitaire ?
Je pose des actions parce que j’estime que le besoin est là. Il faut vraiment être quelqu’un qui ne soit pas sensible pour regarder la souffrance que vivent nos parents et de ne pas agir quand on la possibilité de le faire. Pourtant nous connaissons des gens qui peuvent les aider. Pour répondre à votre préoccupation, je veux ressembler à moi-même. J’ai des repères, il y a des personnages que j’aimerais saluer à travers votre micro qui sont des dames. Ce sont nos précurseurs. Nous avons de grandes dames de cette région. Je voudrais saleur madame la Grande Chancelière, Henriette Dagri Diabaté, qui est une fille de la région du Kabadougou. Elle est une femme d’abnégation, de courage et de parole. Deuxièmement, je voudrais saluer madame Touré Massogbê Diabaté, qui est un exemple. Aujourd’hui, elle peut porter la voix d’Odienné, de la Côte d’Ivoire et de la sous région. Elle est la présidente des femmes entrepreneurs de la CEDEAO. Il ya aussi Henriette Dao Coulibaly du Pdci. Nous sommes décidés à prendre la relève pour faire valablement le travail.
Madame Diané, vous organisez des cérémonies çà et là à Odienné. Et aujourd’hui l’on est en droit de s’interroger si vous serez candidate aux futures élections locales à Odienné ?
Aimer chez soi est une chose. Toute chose qui vous amènera à pouvoir aider votre région, à changer le quotidien de vos concitoyens, je pense qu’il le faut faire. Les réels postes politiques ne sont plus disponibles. Nous avons fait les élections présidentielles ; nous avons fait les élections législatives. Nous avons les municipales et les régionales. C’est deux élections d’agent de développement et d’agent social. Alors si Odienné me sollicite pour le travail que j’ai déjà commencé, j’ai dit aux parents d’Odienné que je ne les abandonnerai jamais. Je répondrai toujours positivement à leur appel. Si c’est pour le développement durable.
Réalisée par Adam’s Régis Souaga, Envoyé spécial à Odiénné (Source Lebanco.net)