La Création des unités de lutte contre le grand banditisme a fait reculer les malfrats du district d’Abidjan vers les villes de l’intérieur du pays et sur les principaux axes routiers.
Reconvertis désormais en coupeurs de routes, les bandits ne ménagent aucun effort pour troubler la quiétude des usagers de la route ainsi que des opérateurs économiques.
Face à la recrudescence de cette activité malsaine, la brigade de sécurité de la Gendarmerie Nationale a décidé d’étendre ses patrouilles dans les nouvelles zones d’opération de ces coupeurs de routes pour les mettre hors d’état de nuire et rassurer les usagers de la route.
Cette stratégie qui vise la traque des coupeurs de routes jusqu’à leur dernier retranchement, a eu des résultats positifs déjà en une semaine avec la mise en déroute de cinq (05) coupeurs de routes dont trois (03) abattus et deux (02) mis arrêts.
Tout commence dans la nuit du mardi 05 au mercredi 06 juin. Il est 23 heures lorsqu’un équipage de la brigade de sécurité de la Gendarmerie Nationale, revenant d’une patrouille sur l’autoroute du nord est signalée à quelques encablures du pont de Sikensi, par un individu aux allures peu commodes, demandant à ces derniers de marquer un arrêt. Cet individu qui, certainement servait de guet alerte à sa bande dissimulée aura moins de chance cette nuit là.
Alors qu’il croyait avoir en face des usagers de la route pour les détrousser de leurs biens comme il en a l’habitude, l’individu âgé de la trentaine environs est désagréablement surpris de se retrouver nez à nez avec la patrouille de la brigade de sécurité de la Gendarmerie Nationale. Il n’a pas d’autres moyens que de prendre la fuite non sans ouvrir le feu sur les gendarmes à l’aide de son fusil calibre 12 de canon scié qu’il avait pris soin de camoufler sous ses vêtements.
Aussitôt, les gendarmes ripostent par des tirs qui rattrapent le bandit dans sa fuite. Grièvement blessé, il continue sa course sur une cinquantaine de mètre avant que ses forces ne le lâchent.
Deux jours après la mort de ce gangster, une autre bande de coupeurs de routes est venue encore semer tristesse et désolation dans la nuit du vendredi 08 au samedi 09 juin, sur le même axe.
Mais hélas, une fois encore ces bandits ont eu en face d’eux les hommes du Général KOUASSI KOUAKOU Gervais. Plus aguerris et déterminés à en finir avec les coupeurs de routes, les gendarmes ont eu raisons des bourreaux des voyageurs.
Notons qu’avant la neutralisation de ces bandits, deux de leurs complices recherchés depuis un bon moment ont été mis aux arrêts toujours par la brigade de sécurité de la Gendarmerie Nationale. Il s’agit de Sawadogo Dassamsom de nationalité burkinabé et de Soro Adama, ivoirien. Le premier cité a été pris à Sikensi, la perquisition de son domicile a permis la saisie d’un fusil calibre 12 canon scié, un pistolet de fabrication artisanale ainsi que le matériel nécessaire pour accomplir sa funeste activité.
Reportage : Service Communication de la Gendarmerie Nationale (SECOM-GN)
Reconvertis désormais en coupeurs de routes, les bandits ne ménagent aucun effort pour troubler la quiétude des usagers de la route ainsi que des opérateurs économiques.
Face à la recrudescence de cette activité malsaine, la brigade de sécurité de la Gendarmerie Nationale a décidé d’étendre ses patrouilles dans les nouvelles zones d’opération de ces coupeurs de routes pour les mettre hors d’état de nuire et rassurer les usagers de la route.
Cette stratégie qui vise la traque des coupeurs de routes jusqu’à leur dernier retranchement, a eu des résultats positifs déjà en une semaine avec la mise en déroute de cinq (05) coupeurs de routes dont trois (03) abattus et deux (02) mis arrêts.
Tout commence dans la nuit du mardi 05 au mercredi 06 juin. Il est 23 heures lorsqu’un équipage de la brigade de sécurité de la Gendarmerie Nationale, revenant d’une patrouille sur l’autoroute du nord est signalée à quelques encablures du pont de Sikensi, par un individu aux allures peu commodes, demandant à ces derniers de marquer un arrêt. Cet individu qui, certainement servait de guet alerte à sa bande dissimulée aura moins de chance cette nuit là.
Alors qu’il croyait avoir en face des usagers de la route pour les détrousser de leurs biens comme il en a l’habitude, l’individu âgé de la trentaine environs est désagréablement surpris de se retrouver nez à nez avec la patrouille de la brigade de sécurité de la Gendarmerie Nationale. Il n’a pas d’autres moyens que de prendre la fuite non sans ouvrir le feu sur les gendarmes à l’aide de son fusil calibre 12 de canon scié qu’il avait pris soin de camoufler sous ses vêtements.
Aussitôt, les gendarmes ripostent par des tirs qui rattrapent le bandit dans sa fuite. Grièvement blessé, il continue sa course sur une cinquantaine de mètre avant que ses forces ne le lâchent.
Deux jours après la mort de ce gangster, une autre bande de coupeurs de routes est venue encore semer tristesse et désolation dans la nuit du vendredi 08 au samedi 09 juin, sur le même axe.
Mais hélas, une fois encore ces bandits ont eu en face d’eux les hommes du Général KOUASSI KOUAKOU Gervais. Plus aguerris et déterminés à en finir avec les coupeurs de routes, les gendarmes ont eu raisons des bourreaux des voyageurs.
Notons qu’avant la neutralisation de ces bandits, deux de leurs complices recherchés depuis un bon moment ont été mis aux arrêts toujours par la brigade de sécurité de la Gendarmerie Nationale. Il s’agit de Sawadogo Dassamsom de nationalité burkinabé et de Soro Adama, ivoirien. Le premier cité a été pris à Sikensi, la perquisition de son domicile a permis la saisie d’un fusil calibre 12 canon scié, un pistolet de fabrication artisanale ainsi que le matériel nécessaire pour accomplir sa funeste activité.
Reportage : Service Communication de la Gendarmerie Nationale (SECOM-GN)
