Le problème du pdci-rda, je persiste à le croire, ce sont ses cadres et dirigeants actuels, ceux qui ont dit un jour, dans un délire d’idiotie que le pdci n’avait pas la culture de l’opposition. Ces éternels pupilles de la nation, à la gueule ouverte en permanence et au gosier fortement incliné, sont toujours prêts à tendre la sébile. On les recrute parmi les militants de la onzième heure, les resquilleurs qui ne s’installent que lorsque le festin est prêt, ceux sur qui le président Bédié a toujours compté et qui l’ont conduit au Waterloo de 2010. Ces partisans du moindre effort qui préfèrent leur confort personnel au bonheur collectif obtenu dans la souffrance, la main dans le cambouis s’agitent et se répandent dans la presse où ils se précipitent pour défendre leur beefsteak au goût frelaté par des pratiques de préparation détestables. C’est vrai que tous les goûts sont dans la nature, les dégoûts dans la culture.
Mais ces cadres saprophytes mis à découvert au fil des épreuves n’empêcheront pas la marche de l’histoire. Qu’ils sachent que les portes du parti ne sont jamais hermétiquement closes. Ils y trouveront toujours le gite et le couvert après leurs escapades honteuses.
Guy Pierre NOUAMA
Mais ces cadres saprophytes mis à découvert au fil des épreuves n’empêcheront pas la marche de l’histoire. Qu’ils sachent que les portes du parti ne sont jamais hermétiquement closes. Ils y trouveront toujours le gite et le couvert après leurs escapades honteuses.
Guy Pierre NOUAMA