Bouna -L’ex-ministre de la Défense, Moïse Lida Kouassi, a été transféré à la prison civile de Bouna après son arrestation à Lomé (Togo) et son extradition à Abidjan, a appris l’AIP de source proche de l’établissement pénitentiaire.
Lida Kouassi rejoint ainsi le président du Front populaire ivoirien, Pascal Affi N’Guessan, et le fils de l’ex-président ivoirien, Michel Gbagbo.
Arrivé dans la capitale de la région de Boukani aux environs de 17H à bord d’une 4x4 blanche estampillée UN, M. Lida Kouassi a regagné son nouveau lieu de détention sous haute surveillance, a précisé cette source.
En exil à Lomé depuis la crise postélectorale, l’ancien ministre de la Défense, de 2000 à 2003, a été interpellé à Lomé, le 6 juin, par la police togolaise, suite à un mandat d’arrêt international lancé par la justice ivoirienne.
Extradé et gardé à vue à la direction de la surveillance du territoire, Moïse Lida Kouassi, avait reconnu, dans une déclaration diffusée, le 11 juin, à la télévision ivoirienne, lors de l’émission "Les grands dossiers" dont l’invité était le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, Hamed Bakayoko, qu’il était membre d’un groupe qui s’apprêterait à déstabiliser le pays et avait demandé le pardon à la nation et au chef de l’Etat, Alassane Ouattara.
Lida Kouassi rejoint ainsi le président du Front populaire ivoirien, Pascal Affi N’Guessan, et le fils de l’ex-président ivoirien, Michel Gbagbo.
Arrivé dans la capitale de la région de Boukani aux environs de 17H à bord d’une 4x4 blanche estampillée UN, M. Lida Kouassi a regagné son nouveau lieu de détention sous haute surveillance, a précisé cette source.
En exil à Lomé depuis la crise postélectorale, l’ancien ministre de la Défense, de 2000 à 2003, a été interpellé à Lomé, le 6 juin, par la police togolaise, suite à un mandat d’arrêt international lancé par la justice ivoirienne.
Extradé et gardé à vue à la direction de la surveillance du territoire, Moïse Lida Kouassi, avait reconnu, dans une déclaration diffusée, le 11 juin, à la télévision ivoirienne, lors de l’émission "Les grands dossiers" dont l’invité était le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur, Hamed Bakayoko, qu’il était membre d’un groupe qui s’apprêterait à déstabiliser le pays et avait demandé le pardon à la nation et au chef de l’Etat, Alassane Ouattara.