Abidjan - Le président du comité scientifique de l’édition 2012 de la fête de la musique, Dr Goran Koffi, a déploré mercredi, à Abidjan, le manque de politique musicale et de promotion des musiciennes.
Lors d’un colloque initié par la direction de la Promotion des arts et de la culture du ministère de la Culture et de la Francophonie tenu à l’Institut national supérieur des arts et de l’action culturelle (INSSAC), à Cocody (Abidjan), Dr Goran Koffi a s’est félicité de ce que ce colloque vient "combler une injustice faite aux femmes de la musique" et leur rendre un véritable hommage .
Déplorant le déficit national de vulgarisation des pionnières de la musique ivoirienne, l’universitaire a expliqué cette insuffisance par le manque de "matière pour des études musicologiques et des activités sociales y afférentes".
Il a, pour ce faire, proposé l’amélioration du marché musical ivoirien par une analyse diagnostique de l’environnement musical, en tenant compte des objectifs stratégiques d’ordre politique, social, économique, culturel et géographique.
Ces objectifs permettront, a-t-il souligné, d’appréhender les menaces qui pèsent sur les marchés musicaux et les opportunités qui s’offrent aux politiques musicales.
De nombreux sous-thèmes, notamment "La femme dépositaire de la musique traditionnelle africaine", "Parcours des femmes dans la musique ivoirienne", ont été abordés lors de cette rencontre culturelle.
Lors d’un colloque initié par la direction de la Promotion des arts et de la culture du ministère de la Culture et de la Francophonie tenu à l’Institut national supérieur des arts et de l’action culturelle (INSSAC), à Cocody (Abidjan), Dr Goran Koffi a s’est félicité de ce que ce colloque vient "combler une injustice faite aux femmes de la musique" et leur rendre un véritable hommage .
Déplorant le déficit national de vulgarisation des pionnières de la musique ivoirienne, l’universitaire a expliqué cette insuffisance par le manque de "matière pour des études musicologiques et des activités sociales y afférentes".
Il a, pour ce faire, proposé l’amélioration du marché musical ivoirien par une analyse diagnostique de l’environnement musical, en tenant compte des objectifs stratégiques d’ordre politique, social, économique, culturel et géographique.
Ces objectifs permettront, a-t-il souligné, d’appréhender les menaces qui pèsent sur les marchés musicaux et les opportunités qui s’offrent aux politiques musicales.
De nombreux sous-thèmes, notamment "La femme dépositaire de la musique traditionnelle africaine", "Parcours des femmes dans la musique ivoirienne", ont été abordés lors de cette rencontre culturelle.