La Fenacovici (Fédération nationale des coopératives du vivrier de Côte d’Ivoire), spécialisée dans la production et la distribution du vivrier sur les marchés a décidé de proposer ses recettes pour lutter efficacement contre la cherté de la vie.
Au cours d’une rencontre initiée récemment, la Présidente du conseil d’administration de la Fenacovici (Fédération nationale des coopératives du vivrier de Côte d’Ivoire a donné quelques recettes pour venir à bout de la cherté de la vie. Pour Irié Lou Colette, c’est l’agriculture qui pourra sortir le pays de la pauvreté ambiante dans laquelle il végète encore. En effet, selon la Pca, la fédération veut respecter l’engagement de nourrir les populations à moindre coût. C’est pourquoi elle a demandé à l’ensemble des coopératives-membres de redoubler davantage d’effort. Bien entendu, selon Irié Lou Colette, cet engagement de la Fenacovici passe par la réalisation du ‘’Retour du panier de la ménagère’’. Projet qui, selon elle, permettra de répondre suffisamment aux besoins alimentaires des populations. Dans ce projet, elle a indiqué que les coopératives mobiliseront suffisamment de moyens en vue d’aider nombre d’entre elles à entreprendre des activités rentables. Ainsi, en plus de venir à bout de la cherté de la vie par l’inondation massive des marchés avec les vivriers, la Fenacovici aidera aussi à lutter contre le phénomène du chômage grâce aux activités annexes. Notamment le convoyage des vivriers vers les marchés de grande consommation qui suscitera la création d’une société de transport. Dans cet ambitieux projet, Irié Lou Colette a indiqué que chaque coopérative aura à exploiter 3 ha en vue de produire suffisamment de denrées. « Avec ce projet, la Côte d’Ivoire va devenir le grenier alimentaire de l’Afrique », a-t-elle ajouté. Et de préciser qu’il est inadmissible que le pays vive l’insuffisance alimentaire, alors qu’elle a des atouts naturels pour venir à bout de ce fléau. A côté de cela, la Pca de la Fenacovici a décidé de remettre en marche l’usine de riz de Tiassalé qui a une capacité de production de 25 000 tonnes de riz par jour. A partir de cette unité de production, la Fenacovici veut relever le défi de mettre trimestriellement sur le marché du riz de bonne qualité disponible à toutes les bourses.
Les attentes de la Fenacovici
En dépit des efforts consentis par la fédération dans sa volonté de respecter ses engagements à nourrir les populations à moindre coût, force est de reconnaître qu’elle reste confrontée à des difficultés d’ordre structurelle. C’est à juste titre que la Pca Irié Lou Colette a souhaité plus d’implication de l’Etat aux côtés des acteurs du vivrier. Toute chose qui, selon elle, permettra à la Côte d’Ivoire d’exporter des vivriers dont le riz à l’horizon 2014. Mais surtout à créer des milliers d’emplois sur toute la chaîne qui part de la production à la transformation en passant bien entendu par la distribution des vivriers.
Idrissa Konaté
Au cours d’une rencontre initiée récemment, la Présidente du conseil d’administration de la Fenacovici (Fédération nationale des coopératives du vivrier de Côte d’Ivoire a donné quelques recettes pour venir à bout de la cherté de la vie. Pour Irié Lou Colette, c’est l’agriculture qui pourra sortir le pays de la pauvreté ambiante dans laquelle il végète encore. En effet, selon la Pca, la fédération veut respecter l’engagement de nourrir les populations à moindre coût. C’est pourquoi elle a demandé à l’ensemble des coopératives-membres de redoubler davantage d’effort. Bien entendu, selon Irié Lou Colette, cet engagement de la Fenacovici passe par la réalisation du ‘’Retour du panier de la ménagère’’. Projet qui, selon elle, permettra de répondre suffisamment aux besoins alimentaires des populations. Dans ce projet, elle a indiqué que les coopératives mobiliseront suffisamment de moyens en vue d’aider nombre d’entre elles à entreprendre des activités rentables. Ainsi, en plus de venir à bout de la cherté de la vie par l’inondation massive des marchés avec les vivriers, la Fenacovici aidera aussi à lutter contre le phénomène du chômage grâce aux activités annexes. Notamment le convoyage des vivriers vers les marchés de grande consommation qui suscitera la création d’une société de transport. Dans cet ambitieux projet, Irié Lou Colette a indiqué que chaque coopérative aura à exploiter 3 ha en vue de produire suffisamment de denrées. « Avec ce projet, la Côte d’Ivoire va devenir le grenier alimentaire de l’Afrique », a-t-elle ajouté. Et de préciser qu’il est inadmissible que le pays vive l’insuffisance alimentaire, alors qu’elle a des atouts naturels pour venir à bout de ce fléau. A côté de cela, la Pca de la Fenacovici a décidé de remettre en marche l’usine de riz de Tiassalé qui a une capacité de production de 25 000 tonnes de riz par jour. A partir de cette unité de production, la Fenacovici veut relever le défi de mettre trimestriellement sur le marché du riz de bonne qualité disponible à toutes les bourses.
Les attentes de la Fenacovici
En dépit des efforts consentis par la fédération dans sa volonté de respecter ses engagements à nourrir les populations à moindre coût, force est de reconnaître qu’elle reste confrontée à des difficultés d’ordre structurelle. C’est à juste titre que la Pca Irié Lou Colette a souhaité plus d’implication de l’Etat aux côtés des acteurs du vivrier. Toute chose qui, selon elle, permettra à la Côte d’Ivoire d’exporter des vivriers dont le riz à l’horizon 2014. Mais surtout à créer des milliers d’emplois sur toute la chaîne qui part de la production à la transformation en passant bien entendu par la distribution des vivriers.
Idrissa Konaté