Abidjan -Le Rassemblement des républicains (RDR, parti au pouvoir) salue l’atteinte de la Côte d’Ivoire au point d’achèvement à l’initiative des "pays pauvres très endettés", décidée lundi et mardi par les conseils d’administration du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale.
"L'atteinte du point d'achèvement du PPTE constitue une étape dans le redressement économique de la Côte d'Ivoire", indique Joël N’Guessan, porte-parole principal dans une déclaration dont une copie est parvenue à l’AIP.
Selon le porte-parole du parti présidentiel, cet allègement de la dette extérieure va permettre au gouvernement "de concentrer son effort sur la mise en œuvre de grands chantiers créateurs de centaines de milliers d'emplois".
"L'espoir est maintenant permis", s’exclame-t-il tout en félicitant le président de la République, Alassane Ouattara, et le ministre de l'Economie et des Finances, Charles Diby Koffi, qui ont pu permettre au pays d’atteindre cet objectif dans un "environnement plus serein".
D’environ 2.250 milliards de FCFA, cet allègement de 24% du total de la dette extérieure du pays a été possible après la satisfaction des conditions "déclencheurs" comme "la mise en œuvre du document de stratégie pour la réduction de la pauvreté (DSRP), le maintien d’une politique macroéconomique saine, la publication régulière de données sur les finances publiques et la réforme de la gouvernance dans la filière cacao".
"Cela témoigne des progrès considérables qui ont été accomplis dans la gestion économique depuis l’accord de paix de Ouagadougou en 2007 et la fin de la crise postélectorale en 2011", a déclaré Doris Ross, chef de mission au FMI, qui recommande "une gestion macroéconomique judicieuse pour concrétiser le potentiel de croissance énorme du pays et rendre sa population prospère, tout en préservant la viabilité de la dette".
(AIP)
kp
"L'atteinte du point d'achèvement du PPTE constitue une étape dans le redressement économique de la Côte d'Ivoire", indique Joël N’Guessan, porte-parole principal dans une déclaration dont une copie est parvenue à l’AIP.
Selon le porte-parole du parti présidentiel, cet allègement de la dette extérieure va permettre au gouvernement "de concentrer son effort sur la mise en œuvre de grands chantiers créateurs de centaines de milliers d'emplois".
"L'espoir est maintenant permis", s’exclame-t-il tout en félicitant le président de la République, Alassane Ouattara, et le ministre de l'Economie et des Finances, Charles Diby Koffi, qui ont pu permettre au pays d’atteindre cet objectif dans un "environnement plus serein".
D’environ 2.250 milliards de FCFA, cet allègement de 24% du total de la dette extérieure du pays a été possible après la satisfaction des conditions "déclencheurs" comme "la mise en œuvre du document de stratégie pour la réduction de la pauvreté (DSRP), le maintien d’une politique macroéconomique saine, la publication régulière de données sur les finances publiques et la réforme de la gouvernance dans la filière cacao".
"Cela témoigne des progrès considérables qui ont été accomplis dans la gestion économique depuis l’accord de paix de Ouagadougou en 2007 et la fin de la crise postélectorale en 2011", a déclaré Doris Ross, chef de mission au FMI, qui recommande "une gestion macroéconomique judicieuse pour concrétiser le potentiel de croissance énorme du pays et rendre sa population prospère, tout en préservant la viabilité de la dette".
(AIP)
kp