Abidjan -Le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) salue la décision des institutions financières de Bretton Woods d’élire la Côte d’Ivoire dans les pays ayant atteint l’initiative des pays pauvres très endettés (PPTE) et encourage le gouvernement à maintenir le cap de la rigueur et de la bonne gouvernance qui ont permis d'aboutir à ce résultat.
Dans une déclaration dont l’AIP a reçu copie, le secrétaire général du vieux parti ivoirien, Pr Alphonse Djédjé Mady, félicite "vivement tous les acteurs qui se sont engagés depuis plusieurs années dans ce processus PPTE dont le premier stade donne déjà l’espoir à tous les Ivoiriens et aux amis de la Côte d’Ivoire".
Au nom du président Henri Konan Bédié, allié politique du président de la République, Alassane Ouattara, le secrétaire général du PDCI demande au gouvernement de faire en sorte que ce résultat qui apporte certainement une croissance économique viable et une répercussion effective sur le cadre de vie et le bien-être des populations.
"Les ivoiriens et les ivoiriennes fondent leur espoir, au travers de cette remise de dette, en l'amélioration de leur vie quotidienne qui se traduit par le recul de la pauvreté, la baisse de la cherté de la vie, la performance du système de santé et du système éducatif, la restauration et le développement des infrastructures routières", énumère Djédjé Mady.
Tout en rappelant que l’accumulation des dettes qui pèsent sur la Côte d’Ivoire, remonte aux années 80, "lorsque les prix des matières premières agricoles, armature de notre économie nationale ont annoncé leurs chutes", le parti sexagénaire souhaite que cette remise de dette d’environ 64% "contribue à consolider notre économie, afin de la mettre à l’abri d’éventuels chocs".
Selon le premier ministre, Me Jeannot Kouadio-Ahoussou, le point d’achèvement de l’initiative PPTE pourrait permettre au pays d’obtenir un allègement de sa dette extérieure d’environ 4.051 milliards de FCFA sur un stock total, à fin juin 2012, de 6.373,8 milliards de FCFA.
"Cet allègement prend en compte, une annulation directe de 2.789,3 milliards de FCFA et un traitement, au titre des contrats de désendettement et de développement (C2D), pour un montant de 1.300 milliards de FCFA, destinés à financer des investissements prioritaires, retenus dans le Plan national de développement (PND)", a expliqué le chef du gouvernement.
(AIP)
kp
Dans une déclaration dont l’AIP a reçu copie, le secrétaire général du vieux parti ivoirien, Pr Alphonse Djédjé Mady, félicite "vivement tous les acteurs qui se sont engagés depuis plusieurs années dans ce processus PPTE dont le premier stade donne déjà l’espoir à tous les Ivoiriens et aux amis de la Côte d’Ivoire".
Au nom du président Henri Konan Bédié, allié politique du président de la République, Alassane Ouattara, le secrétaire général du PDCI demande au gouvernement de faire en sorte que ce résultat qui apporte certainement une croissance économique viable et une répercussion effective sur le cadre de vie et le bien-être des populations.
"Les ivoiriens et les ivoiriennes fondent leur espoir, au travers de cette remise de dette, en l'amélioration de leur vie quotidienne qui se traduit par le recul de la pauvreté, la baisse de la cherté de la vie, la performance du système de santé et du système éducatif, la restauration et le développement des infrastructures routières", énumère Djédjé Mady.
Tout en rappelant que l’accumulation des dettes qui pèsent sur la Côte d’Ivoire, remonte aux années 80, "lorsque les prix des matières premières agricoles, armature de notre économie nationale ont annoncé leurs chutes", le parti sexagénaire souhaite que cette remise de dette d’environ 64% "contribue à consolider notre économie, afin de la mettre à l’abri d’éventuels chocs".
Selon le premier ministre, Me Jeannot Kouadio-Ahoussou, le point d’achèvement de l’initiative PPTE pourrait permettre au pays d’obtenir un allègement de sa dette extérieure d’environ 4.051 milliards de FCFA sur un stock total, à fin juin 2012, de 6.373,8 milliards de FCFA.
"Cet allègement prend en compte, une annulation directe de 2.789,3 milliards de FCFA et un traitement, au titre des contrats de désendettement et de développement (C2D), pour un montant de 1.300 milliards de FCFA, destinés à financer des investissements prioritaires, retenus dans le Plan national de développement (PND)", a expliqué le chef du gouvernement.
(AIP)
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